Tu ne
peux gagner ta vie au détriment de celle des autres !
Comment espérer un revirement total du comportement de cette majorité d’humains, ces masses perturbées par ce mauvais carburant qu’est la malbouffe dont ils ne peuvent s’en passer ?
Comment espérer un revirement total du comportement de cette majorité d’humains, ces masses perturbées par ce mauvais carburant qu’est la malbouffe dont ils ne peuvent s’en passer ?
La
Vie devant soi…ce pari
Conversion
d’un industriel de la bouffe.
Oui chers amis Sapiens, ce revirement total j’y fus contraint. Ce qui amorça ce changement de
ma psyché fut le rapport d’analyse du Dr H. oncologue de Bordet pour ma femme.
Il pronostiqua une septicémie annonciatrice d’une leucémie en veilleuse dans
les trois prochaines années…et ce fidèle disciple d’Hippocrate précisa tout de
même : « - à moins d’éliminer les causes ». Les causes,
les causes ! Fou de douleur à l’idée de perdre ma compagne
et que nos jeunes enfants soient privés de leur mère à brève échéance, je
me suis plongé avec la naïveté des incultes sur tout ce qui avait trait à la
santé. Après plus d’une année de recherche, en m’isolant complètement de
mes affaires, l’évidence me sauta aux yeux. Je dénicherai l’un de
ces fameux perturbateurs de vie. Oui, le premier grand coupable, sous des
artifices très attrayants, car le Diable a toujours bien caché son jeu :
c’est notre délicieuse cuisine, la base même de notre culture, de nos
mœurs.
Mon âme, mes pensées, mes réflexions, tout cela se chamboula dans ma
petite tête de bourgeois consommateur, au point d’inquiéter mes partenaires d’entreprises
de restos traditionnels qui tournaient à plein rendement. En effet, je
leur fis part de vouloir métamorphoser l’un ou l’autre de nos ateliers
culinaires pour produire uniquement des plats végétariens et sans cuisson si
possible. Inquiétude d’autant plus
grande qui gagna tous les salariés également. Pour eux je devenais fou, moi
leur P. DG, animateur et créateur, me voilà brusquement à leurs yeux comme un
imprécateur ! Et je
démissionnai. Pour moi c’était claire. À
ce dilemme de gagner ma vie au détriment de celle des autres, il fallait
prendre une décision. Ma réponse :
écrire des chansons. Voilà comment un restaurateur devient
chanteur.
« L’Essénienne »
Oui, pour ce début d'année 2019, un esprit neuf. Puisse-t-il atteindre le plus grand nombre ?
Parfois je l'intitule: "Au nom du
Tout".
?
Une voie, un chemin
très ancien…oublié… Comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils
survécus ? Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non
affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des
temps. En bref, sortir du nationalisme...dans un premier temps:
être Européens...ensuite, peut-être Terriens...si notre Planète tiendra le coup évidemment!
Écoutez les amis un
instant
J’ai trouvé le
chemin éternel
Que nous soyons de
simples mortels
Dans l’ensemble
nous restons vivants
Je vous parle au
nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut
agir en mesure
Qu’en chassant cet
enfer du dedans
Pour « bien
faire », il doit être pur
Que du fond de
l’abîme où nous sommes
On puisse encore y
trouver des hommes
Est la preuve de
l’amour infini
De Celui qu’on
appelle ainsi
J’ai le remède pour
vivre longtemps
Suffit d’être dans
le mouvement
Manger du frais et
du vivant
Vous garderez
toutes vos dents
Ce qui permet
d’être souriant
Dilate le nez
évidemment
Il faut que l’air
entre en dedans
Et nous aurons
l’air bien portant
J’évite de cuire
mes aliments
Avant de les
prendre je les sens
Je recherche les
vrais artisans
Le moins possible
le toutvenant
Le lait de vache je
le laisse aux veaux
Le sein de maman pour
les poupons
Quant à l’alcool et
le tabac
Faut être fol pour
aimer ça
Méditation sans
référence
Oublie l’ennemi
c’est ta puissance
Esprit tranquille
bien au repos
Permet d’agir sans
confusion
Vibre dans le vent
comme les saisons
Le vrai bonheur est
au présent
Se manifeste alors
l’Originel
De ton instinct qui
te réveille
Et tu seras bien
dans ta peau
Pourra aimer tout
comme il faut
Quant à la terre
pour les suivants
Vaut mieux mourir
sainement
Les plantes elles aussi sont sensibles et absolument sans défense.
Ancré dans le sol ils n’ont aucun moyen d’échapper à leurs bouchers.
NON à l’assassinat de ces malheureuses plantes, protégeons-les et restons carnivores.
Vous dites que les plantes sont des êtres « sensibles », absolument sans défense :
vénéneux …et bien d’autres défenses encore.
lequel est doté d’un réseau de nerfs, qui SEULS, peuvent induire de la douleur.
Les végétaux totalement dépourvus de SNC et de nerfs, ne ressentent donc aucunement ce que
nous appelons la douleur physique.
Le règne animal, contrairement au règne minéral et au règne végétal, est le seul à présenter ce
réseau nerveux, réseau qui lui permet de prendre conscience d’un danger pour sa survie et donc
de tout mettre en oeuvre pour s’en écarter (brûlure, coupure, écrasement, …).
êtres vivants du règne animal.
dont le système digestif est particulièrement court (parfois moins d’un mètre).
la digestion des chairs carnées doit s’effectuer très rapidement, évitant ainsi la stagnation prolongée de chairs en décomposition, laquelle engendre putréfaction et toxines, si les résidus du bol alimentaire ne sont pas évacués très rapidement.
Or, le petit Peuple a toujours envié les conditions d’existence des riches châtelains, leurs terres, leurs château, leurs chevaux, leurs carrosses, leurs magnifiques vêtements, leurs bons vins – BIO forcément, à ces époques).