mardi 29 janvier 2019


 Tu ne peux gagner ta vie au détriment de celle des autres !

 Comment espérer un revirement total du comportement de cette majorité d’humains, ces masses perturbées par ce mauvais carburant qu’est la malbouffe dont ils ne peuvent  s’en passer ?

La Vie devant soi…ce pari

Conversion d’un industriel de la bouffe.

Oui chers amis Sapiens, ce revirement total j’y fus contraint.    Ce qui amorça ce changement de ma psyché fut le rapport d’analyse du Dr H. oncologue de Bordet pour ma femme.   Il pronostiqua une septicémie annonciatrice d’une leucémie en veilleuse dans les trois prochaines années…et ce fidèle disciple d’Hippocrate précisa tout de même : « - à moins d’éliminer les causes ».   Les causes, les causes !   Fou de douleur à l’idée de perdre ma compagne et que nos jeunes enfants soient privés de leur mère à brève échéance, je me suis plongé avec la naïveté des incultes sur tout ce qui avait trait à la santé.  Après plus d’une année de recherche, en m’isolant complètement de mes affaires, l’évidence me sauta aux yeux.   Je dénicherai l’un de ces fameux perturbateurs de vie. Oui, le premier grand coupable, sous des artifices très attrayants, car le Diable a toujours bien caché son jeu : c’est notre délicieuse cuisine, la base même de notre culture, de nos mœurs. 

Mon âme, mes pensées, mes réflexions, tout cela se chamboula dans ma petite tête de bourgeois consommateur, au point d’inquiéter mes partenaires d’entreprises de restos traditionnels qui tournaient à plein rendement.  En effet, je leur fis part de vouloir métamorphoser l’un ou l’autre de nos ateliers culinaires pour produire uniquement des plats végétariens et sans cuisson si possible.  Inquiétude d’autant plus grande qui gagna tous les salariés également. Pour eux je devenais fou, moi leur P. DG, animateur et créateur, me voilà brusquement à leurs yeux comme un imprécateur !   Et je démissionnai.  Pour moi c’était claire. À ce dilemme de gagner ma vie au détriment de celle des autres, il fallait prendre une décision.   Ma réponse : écrire des chansons.   Voilà comment un restaurateur devient chanteur.

 « L’Essénienne »

Oui, pour ce début d'année 2019, un esprit neuf.  Puisse-t-il atteindre le plus grand nombre ?      Parfois je l'intitule: "Au nom du Tout".
  




Une voie, un chemin très ancien…oublié… Comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref, sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite, peut-être Terriens...si notre Planète tiendra le coup évidemment!  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant

J’évite de cuire mes aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le toutvenant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement
Publié par georges à 19:27 https://resources.blogblog.com/img/icon18_edit_allbkg.gif 

lundi 28 janvier 2019

Ah j'ai aimé,  suite à l'annonce à Paris de l'installation d'une boucherie végétarienne!


s réactions


  1. dany DIT :
    Sales gens, Assassiner sans pitié, carottes, navets et autres choux, c’est inadmissible.
    Les plantes elles aussi sont sensibles et absolument sans défense.
    Ancré dans le sol ils n’ont aucun moyen d’échapper à leurs bouchers.
    NON à l’assassinat de ces malheureuses plantes, protégeons-les et restons carnivores.
    • Jannick POUPARD DIT :
      Bonjour Dany,
      Votre petit commentaire sarcastique vis à vis de la « protection » des plantes que nous mangeons (fruits frais et secs, légumineuses, céréales, légumes, aromates…) est bien mal renseigné.
      Vous dites que les plantes sont des êtres « sensibles », absolument sans défense :
      – Oh que si, elles ont des défenses : épines, sucs toxiques parfois, enveloppe indigeste, champignons
      vénéneux …et bien d’autres défenses encore.
      – La « sensibilité », quant à elle, est l’apanage des seuls êtres possédant un Système Nerveux Central,
      lequel est doté d’un réseau de nerfs, qui SEULS, peuvent induire de la douleur.
      Les végétaux totalement dépourvus de SNC et de nerfs, ne ressentent donc aucunement ce que
      nous appelons la douleur physique.
      Le règne animal, contrairement au règne minéral et au règne végétal, est le seul à présenter ce
      réseau nerveux, réseau qui lui permet de prendre conscience d’un danger pour sa survie et donc
      de tout mettre en oeuvre pour s’en écarter (brûlure, coupure, écrasement, …).
      Les végétaux sont donc complètement à l’abri du ressenti de la douleur telle que la connaisse les
      êtres vivants du règne animal.
      De plus, notre système digestif d’humain est très long (7 m.) et ressemble beaucoup plus de celui des herbivores (9 à 11 m.), que de celui des animaux uniquement carnivores (loups, tigres, lions …),
      dont le système digestif est particulièrement court (parfois moins d’un mètre).
      Un système digestif court est parfaitement conforme aux animaux ne mangeant que de la viande, car
      la digestion des chairs carnées doit s’effectuer très rapidement, évitant ainsi la stagnation prolongée de chairs en décomposition, laquelle engendre putréfaction et toxines, si les résidus du bol alimentaire ne sont pas évacués très rapidement.
      Les êtres humains, dotés d’un système digestif d’environ 7 m. de long sont donc morphologiquement parlant (dentition comprise), beaucoup plus adaptés à la consommation de végétaux que de chair animale.
      Se nourrir de « viande » était autrefois l’apanage des riches, qui possédaient des bois et forêts pour la chasse (et avaient de multiples maladies dues à une alimentation essentiellement carnée).
      Or, le petit Peuple a toujours envié les conditions d’existence des riches châtelains, leurs terres, leurs château, leurs chevaux, leurs carrosses, leurs magnifiques vêtements, leurs bons vins – BIO forcément, à ces époques).
      De là à souhaiter se nourrir de la même façon, il n’y a qu’un pas (viande à outrance, pain blanc, sucre, produits laitiers bien riches en cholestérol, vins – HYPER TRAITÉS avec des produits toxiques…).
      Aussi, dès que les privilèges accordés aux riches furent abolis, le Peuple a cherché par tous les moyens à acquérir un mode de vie ressemblant au plus près à ceux qu’il a enviés pendant des siècles, nourriture comprise, bien entendu. Et c’était là sa plus grande erreur.
      Donc, que nenni, les carottes, les brocolis, le blé, les lentilles, les haricots, le maïs, les fruits frais et les fruits frais ne ressentent pas plus de douleur à la cueillette que les galets de nos rivières.
      D’instinct, d’ailleurs, les enfants n’aiment pas manger de la « viande » et les adultes que nous sommes devraient bien plus prendre le temps de les écouter réellement.
      Bien cordialement vôtre,
      Nicolas, Jannick, Ellen et Marie

jeudi 24 janvier 2019


J’m’en fous

Mais de tout alors.
Fin de vie, de projets, d’être avec…
Oui, je m’en fous d’un devenir, d’un progrès, d’une complicité, d’une suite !
J’y avais cru pourtant…apporter ma goutte d’eau, ou plutôt ma goutte d’huile, pour ce rouage des bonnes volontés.  Et il y en a.  Des intelligences, des génies, des chanceux, des courageux, des travailleurs athlétiques forcenés, des super doués, des nés au bon endroit- au bon moment, des qui s’adaptent, des qui se maintiennent, des mystiques heureux, des reconnus, des qu’on aime, des utiles, des bourrés de talent, des beaux, des philosophes, des savants, des bons, des gentils, des amoureux, des perspicaces, des qui nous amusent, des qui nous font oublier, des qui nous construisent…mais ce n’était pas moi.
Je l’ai dit : j’m’en fous,  même de la mort.  

dimanche 20 janvier 2019



Que dire de toutes ces polémiques ?

Les Gouvernements, les Scientifiques, les Économistes, le Populo …ça parle, ça dispute, ça accuse, ça diffame, ça casse…
OK, bagarrez-vous, entre Gilets jaunes et Force de l’Ordre.

 Mais alors choisissez vos champions... que le combat se déroule sur un terrain de foot !  Peut-être que par toutes ces confrontations germerait cette fameuse intelligence collective. 

Et si le vrai responsable de la discorde…la vraie, la grande, celle qui provoque les guerres…

On en parle de plus en plus, mais pour moi, cette Révélation remonte déjà à au moins trois décennies.


Cause première des cerveaux perturbés :  mauvais carburant:

La malbouffe!

L’avenir des Nations dépend de la façon dont se nourrissent ses peuples.  (Brillat-Savarin)


jeudi 17 janvier 2019

Encore et toujours
« N’gâche pas l’eau des cachalots «

Sur mon blog du 14 janvier dernier, j’écrivais cette anecdote de « Êtes-vous marié ? » suite à la récupération de deux pupitres d’enfants laissés à disposition près d’une poubelle à l’entrée de l’accès plage de Saint-Gabriel.    Le fait d’avoir déposé ensuite ces deux petits bureaux auprès d’une famille nombreuse à Dante, à une dizaine de kilomètres, une dame en visite, pour rappel, chez Nathalie et Serge, les parents, m’avait posé cette question, et m’avait quelque peu interpellé sur le moment-même.    Je dois avouer qu’à l’âge de la retraite cette interpellation féminine inattendue    avait déclenché une certaine allégresse et réveilla un bref instant le vieux démon mâle oublié depuis belle lurette.   Certes la livraison en surprise de ces deux meubles plastiques offrait un tableau moins morose que d’habitude dont J’étais, sans l’avoir voulu, l’acteur et bénéficiai dès lors d’une certaine sympathie au regard d’une personne qui me voyait à peine et pour la première fois (et probablement la dernière).     Il n’est plus possible de rêver à une quelconque relation de couple à ce stade de ma fin de vie. Et j’en reviens à mes ballades en solitaire sur les plages de la Côte d’Opale, avec néanmoins Cléopâtre, ma grande et fidèle chienne.    Il est rare de ne pas ramasser au moins deux ou trois bouteilles en plastique à chacune de mes promenades pour les déposer dans la poubelle à l’entrée.   Cette fois, après le retrait des vagues, la mer avait laissé deux vieux morceaux de filet de pêche que, bien sûr, malgré leur encombrement, je ramènerai tant bien que mal vers le dépotoir.   Et, je  pense toujours à ces cachalots échoués à Coxyde (Belgique)  au milieu des années quatre-vingt-dix,  qui m’avait inspiré cette chanson à l’époque  « N’gâche pas l’eau des cachalots » …et que malgré cette prise de conscience  dont les nombreux comme moi promeneurs qui ramassent  le moindre objet en plastique avant qu’on les découvre dans le ventre des cachalots – encore dernièrement  en fin novembre dernier en Indonésie , six kilos de plastique,  dans l’estomac de l’un deux dont des tongs, (à quand une loi qui interdise de se baigner en ce chaussant de la sorte ?)     - C’est encore, on le sait, huit tonnes chaque jour de ce type de déchets qui envahissent les océans.  


PM:

Échouage de quatre cachalots à Coxyde.
Novembre 1994.




Ne gâche pas l’eau des Cachalots


Histoire morbide / En novembre à Coxyde

Sur les plages / Une foule rendait hommage

À quatre cachalots / Sortis de l’eau

Des mâles c’est bizarre / Est-ce par hasard ?

Et je pense

Ne gâche pas l’eau des Cachalots


Je me dis aussitôt / Ça va faire mal à Cousteau

Terre qui pleure / Ses mers qui se meurent

Je pris mon auto / Pour voir ces baleines

Mais vingt kilomètres de bouchon / Pas de veine

Et je pleure

Ne  gâche pas l’eau des Cachalots (2X)


Ça ne fait plus rire /  Qu’une baleine puisse dire

C’est assez / et se cache à l’eau

Pour parler de veine / Je pense pipe-line

Celui de la Taïga / Bonjour les dégâts !

Et je gueule

Ne gâche pas l’eau des Cachalots


J’avais l’intention / D’écrire une chanson

C’était ma façon de bénir ces géants

Que ça rappelle que l’eau des océans

Se ronge comme notre sang

Et je crie

Ne gâche pas l’eau des Cachalots


Mais en venant les voir j'avais mon clebs infernal
Et n'ai plus qu'en mémoire cette odeur ah!,  tombale 
Hurlant comme  loup devenu fou
Cette vue insolite l'a rendu triste
Et je hurle
Ne gâche pas l'eau des Cachalots


De ces Cachalots sortis de l’eau / Ne reste que l’image

Comme une menace / Ils meurent en grimace

Étrange message / Aux habitants des terres

Pour protéger la mer des Cachalots


N’gâche pas l’eau des Cachalots  


N’gâche pas l’eau des Cachalots
        

mardi 15 janvier 2019




Hommage aux soldats du feu


Ce samedi 12 janvier 2019 c'était à Paris   rue de Trévisse, pour Simon  et Nathanaël ..et un 1 mai 1985,  c'était à Bruxelles rue des Soles pour Karel et Marcel...et tous les autres




Vous n'étiez pas de simples travailleurs
Vous étiez des héros
Hommes d'honneur face à l'horreur
Luttiez sans mots
La vie des autres ou la vôtre
Mais votre vie c'est un peu la nôtre

lundi 14 janvier 2019


Êtes-vous marié ?

J’avoue avoir été assez surpris par cette question, en rendant visite à Nathalie et Serge, vu leur nombreuse descendance, pour leur offrir deux petits pupitres d’enfants.   Ces deux petits bureaux en plastique, en parfait état, décorés de Cendrillon et de Bambi, je les avais trouvés par hasard près de la poubelle de l’accès plage Saint-Gabriel à Sainte-Cécile, chemin emprunté   quotidiennement    pour la ballade (des gens heureux) avec Cléopâtre, ma grande chienne Gascon pour nous lancer sur ces étendues de sable à perte de vue.    Merci parents pour cet acte complaisant, dont vos petits brigands sont sans doute passés à la vitesse supérieure ! Merci d’en faire profiter des mômes plus jeunes et moins riches plutôt que de les stocker dans les greniers, et permettre des économies à d’autres parents.    Bonnes vibrations assurées!   Sans doute justement celles à l’instant où je passais la porte avec les deux objets - qui retrouvaient une famille -  qui firent que cette amie de Nathalie en visite également, voyait en moi un homme actif par cette opportunité, et non le septuagénaire qui pensait encore il y a quelques jours que le seul être qui vous regarde est votre chien, me demanda si j’étais marié.  Eh bien, je vous assure que ça fait du bien.


vendredi 11 janvier 2019


Non, je ne mangerai plus de chocolat

À cette addiction, je pense avoir résolu le problème, en apprenant, grâce à Envoyé spécial, présenté par Elise Lucet, ce jeudi dernier sur France 2 que finalement en Côte d’Ivoire, le premier producteur mondial du cacao, malgré les pressions des ONG sur l’industrie du chocolat, que celle-ci s’était engagée depuis 2001, à faire disparaître le travail des enfants dans les plantations.  Et qu’en plus, à ce jour, ces jeunes esclaves à l’âge de scolarité préparatoire, qui sont vendus par leur famille, doivent également répandre, sans la moindre protection, le fameux Glyphosate, ce désherbant interdit, contribuant ainsi à détruire leur santé et celle de la planète, non merci !  C’est comme la cigarette à proscrire définitivement…
Et j’invite mes chers amis consommateurs qui luttent pour maigrir que ce moyen est radical;  il suffit que, face au bel étalage  très tentant,  de visionner  un bref instant l'image de ces enfants esclaves et de verser nos soudaines économies pour ces ONG qui se battent pour eux.  



mercredi 9 janvier 2019

Extrait de GoodPlanet  

Et moi je chante ou plutôt je pleure :





L’ACTUALITÉ ENVIRONNEMENTALE

turquie Hasankeyf

Turquie : Hasankeyf, une ville de 12 000 ans bientôt engloutie

Depuis la citadelle qui domine la vallée, Ridvan Ayhan observe le Tigre avec une ride au front. Après avoir subvenu aux besoins de ses ancêtres pendant des siècles, le fleuve s'apprête à engloutir sa ville, Hasankeyf.

Alors on danse?  Non,  moi je chante,  avec en plus cette question qui me vient à l'esprit,  posée à la Communauté scientifique:  Est-ce que de tels barrages ne provoqueraient pas un déséquilibre par le poids de ces milliards de tonnes d'eau qui s'agglutineraient au lieu de s'écouler naturellement?     

Ce que la Terre désire, le vœu de cette chanson:

Est-ce vraiment le désir de la Terre?

Tango Terre

Le désir la Terre?
C'est de voir comme elle est belle
De la contempler et s'y trouver bien
Que les hommes y prospèrent 
Dans une entente fraternelle
Écoutent leur âme et maîtrisent leur destin
Le désir de la Terre
C'est de penser comme elle
Libre de toutes frontières pour établir les liens

Refrain:
Mais elle est comme une femme 
Qu'on a violée
Par des bombes et des flammes 
Pour l'aseptiser
Car nous les petits hommes
Croquant la pomme...de la Connaissance? 
La Connaissance!  N'est pas ce que tu penses
La Connaissance ! N'est pas que l'expérience
La Connaissance?  Peut-être une simple question...d'aimer

Le désir de la Terre 
C'est de vivre comme elle
Sans vouloir changer le cours de son Histoire
Laissons couler les rivières
Nul besoin de tutelle
Plus de barrages trop lourds ni de villes trop noires
Le désir de la Terre c'est d'être en communion
On saura quoi faire pour gérer les nations

Le désir de la Terre
C'est se sentir en elle
Au paradis comme elle aux travers les cieux
Dansante dans l'univers 
Amoureuse du Soleil
Que femmes et hommes ensembles
Soient vraiment heureux
Le désire de la Terre
C'est perpétuer l'instant
De l'amour mères et pères pour la vie d'un enfant

Et s'accomplira sa voie sa destinée
Fière de nous porter dans l'immensité
Nous devenus sages presque des anges
D'être une étoile parmi les étoiles. 







Fière de nous porter dans l'immensité
Nous devenus sages presque des anges