dimanche 26 avril 2020


He oui, nous y voilà, cher Professeur Yuval Noah Harari, comme vous le décriviez dans votre livre « Homo Deus » (2017) !   C’est arrivé bien plus vite.  Nous avons bien troqué notre liberté au profit de la Santé...et c'est maintenant… non pas dans trente ou quarante ans, comme vous l'aviez prédit en 2017 en répondant à François Busnel sur le plateau  France 5 télévision du magazine la Grande Librairie, en présence également de Boris Cyrulnik. 


In fine Je retiens aussi de la revue, concernant la révolte des aînés dans   « Nature Santé » de Jean-Marc Dupuis :

Le coronavirus semble n’être que le déclencheur, le révélateur, d’un manque de capacité de réflexion, de sagesse, de préparation, à tous les niveaux (gouvernements, OMS, systèmes de santé débordés), avec des médias et des réseaux sociaux qui jettent en permanence du carburant sur les consciences déjà surchauffées, alimentant la psychose tandis que des banlieues s’embrasent.


Ne nous leurrons pas, le glas a sonné  la fin de l'Individu ...et bien sûr qu'elle commence par les plus anciens qui auraient encore quelques souvenirs nostalgiques des cultures du passé.  

Silence les vieux, on vous met à l'écart...plus droit au chapitre!  
 Aujourd'hui, seul compte le Dadaïsme.  

Pourtant, j'y crois encore à l'Homme naturellement bon


On retourne à la case départ.   Souvent,  c’est  la solitude.  Mais,  que l’on se rassure :  « Seul on est beaucoup plus, mais oui, alors,  on est vraiment plus  « naturellement bon ».
Enfin bon pour être mieux ensemble...et faire ce qu'il faut!




« un homme c’est naturellement bon » ; 

  Je le chante depuis juin 1987,  l’humanité fêta  alors ses cinq milliards d’individus.
  C’est la chanson qui modifia complètement ma vie qui fait, aujourd’hui, que je te rencontre toi et tous les autres.  

« Un Homme,  c’est naturellement bon ! »
(avec la guitare de Francis Goya)


Un Homme c’est naturellement bon
Deux hommes c’est déjà différent
À trois commencent les chuchotements
Quatre hommes peuvent devenir inquiétants
Pourtant un homme c’est naturellement bon
Un homme c’est naturellement bon

Deux hommes c’est déjà différent
À deux ils se prennent pour quelqu’un
Ici, commence l’anonymat
Qui fait des autres des forçats
Pourtant un homme c’est naturellement bon
À deux, c’est déjà différent

À trois commencent les chuchotements
Majorités, minorités, vous voilà !
Malheur qui transgressera les lois
La force n’est pas dans l’isolement
Un homme seul n’a jamais raison
À trois commencent les chuchotements

Quatre hommes peuvent devenir inquiétants
Le droit exalte les passions
Éclate en combat de mille ans
Ces guerres abattent les sentiments
Ici on tue sans émotions
Des hommes naturellement bons

À cinq* en comptant par milliard
Cinq milliards d’hommes seuls dans le brouillard
Qui cherchent sans trop bien le savoir
La flamme qui redonnera l’espoir
Qu’un homme c’est naturellement bon
Un homme c’est naturellement bon


Mais quand les fléaux de la terre
Surgissent comme des cris de colère
S’éveillent soudain des hommes nouveaux
Des hommes qui feront ce qu’il faut
Ils redeviennent tous solidaires

Ensemble des hommes c’est beau ! 






* crée en 1987,  à cette époque nous étions cinq milliards à peupler la planète



samedi 25 avril 2020


Confinement ?

Un môme qui n’a pas encore l’âge de raison
Et que son premier mouvement à son réveil
Est de vous tendre les bras et que vous direz non
Parce que vous en avez soixante-dix de plus
C’est un réflexe qui n’est franchement pas naturel
Qui vous fait violence comme un coup de massue !

Et qu’alors, un certain doute risque de vous révolter contre cette coercition.
Que vos questions au sujet de l’info, d’avis des experts, des dirigeants, vous estimerez leurs réponses peu satisfaisantes.
 Que les fakes news n’hésiteront pas à prendre la relève, pour prétendre à la manipulation des masses – ce qu’elles font elles-mêmes.
Que vous risquerez de sombrer.
  Ne permettez pas à la haine de prendre la barre de ce vaisseau Humanité qui, aveuglément, vous mènera droits sur les écueils.

Pensons, comme l’a dit un certain Maître Eckart :

« Chaque homme est un lieu saint »  

  (À la limite d'être excommunié, il y a plus de 500 ans).


arrangements: Alan Booth


Hommage à Maître Eckart



On continue à chanter on continue à danser
On gloutonne on exulte le faux le faire semblant
Même si on aime les enfants on continue à briser
Ces élans de la vie pour d’autres besoins
Que ceux que la terre  nous donne pour rien
Pourtant chaque homme est un lieu saint, disait le Maître
Même si on ne l’a pas dit à Kyoto (bis)

On continue à pleurer on continue à hurler
On continue à causer de philo d’avant-guerre
L’Avoir ou l’Être restent la grande question
Comme rien n’a changé dans la consommation
Ou Bon Dieu au contraire elle a bien augmenté
Pourtant chaque homme est un lieu saint disait le Maître
Même celui qui ne pense qu’à son auto (bis)

On continue à flirter on continue à chercher
On continue à courir auprès de l’âme sœur
Et ces scénarii on les connaît que trop bien
Mais on continue à faire le joli cœur
Pour l’instant présent on se fout du lendemain
Pourtant chaque homme est un lieu saint, disait le Maître
Même lorsque s’éveille sa libido (bis)

Et toi dont la souffrance t’impose ce regard de haine
Dès lors trompe ton âme dans une prison l’enchaîne
Je parle de Maître Eckart pour dissiper ce doute
Que trop d’hommes ont d’eux-mêmes me voilà sur ta route
Pour chanter cette complainte de l’Être Suprême :
Chaque homme est un lieu saint disait le Maître

Que cette chanson te loue pour te bénir toi-même

vendredi 24 avril 2020

Lettre 
Au Présentateur du magazine la Grande Librairie, sur France 5


Cher François Busnel,

Bonjour,

" Faire son métier d'homme"

En ce temps de confinement, sûrement une bonne idée de relire la Peste de Camus comme vous le suggérez ce dernier mercredi soir du 22 avril, au magazine « La Grande Librairie », émit par France 5.      Lauréat du Prix Nobel de 1957, il sera l’invité d’honneur dans différents milieux littéraires dont à Bruxelles, probablement entre 1958 et 59 puisque nous savons qu’il succomba, avec le fils Gallimard, le 4 janvier 60, dans l’Yonne suite à un accident de la route.   À voir les photos de la Facel Vega complètement disloquée contre un platane, ils devaient être très pressés.  Pour revenir à son passage dans la capitale belge, à l’heure du déjeuner, sans doute avait-il remarqué le slogan : "Manger portugais dans le plus parisien des restaurants bruxellois » de Lucio, mon père, qui de dessinateur talentueux deviendra restaurateur à 40 ans et patron du Mouton d'Or, situé au cœur même de la cité à deux pas de la Grand-Place.
L’ouverture se fera le 21 juillet 1958, au moment de l’Expo 58.  Donc, Albert Camus n’avait pu qui passer entre ces deux dates. Je le vois encore, en discussion très sérieuse avec son voisin de table, ses yeux planant sans attention particulière vers ce jeune homme qui s’efforçait de servir le mieux possible la centaine des autres clients du midi et qui n’aura pas le temps de lui demander un autographe, vu qu’à moins d’un quart d’heure des cours de l’après-midi à l’Athénée Royal d’Ixelles, il s’éclipsait en vitesse. 
    M’aurait-il, en ce temps-là, transmis cette fièvre de l’écriture, je ne crois pas ? À dix-sept ans, j’abandonnerai des études plus du tout prometteuses dans cette institution laïque, alors que l’année précédente, au Collège Ste Gertrude à Nivelles, les abbés me félicitèrent en me remettant mon diplôme avec Prix d’excellence du cycle inférieur en secondaire, avec un « Bravo, continue comme ça ! »    Je tenterai de consoler ma mère déçue de ne plus voir ce fils en futur agronome, en prétendant naïvement que le métier de serveur, m’offrait l’occasion   de perfectionner mes connaissances, non plus des plantes et des forêts, mais du genre humain (à table).  Cependant, j’avoue que depuis peu, mon plus grand regret, par les temps qui courent de voir la planète se dégrader par l’action des hommes, c’est de ne   pas avoir rejoint     la communauté   scientifique, en vue de mieux la protéger.  C’est vrai, qu’aux regards de la bonne bourgeoisie, j’avais réussi d’une autre manière, en créant une chaîne de restaurants ! Jusqu’au jour, confronté par la maladie de mon épouse, - l’avis de l’oncologue « deux à trois ans, à moins d’éliminer la cause » -, je me suis immergé à fond dans toutes sortes de lectures pour mieux comprendre ce mal qui venait ébranler ma famille. Une conclusion alors s’imposa à moi, par   cette phrase pleine de sagesse d’Hippocrate « chercher la cause … ».   Clair qu’ici en Belgique, en France et bien d’autres nations , la façon de nous nourrir était une, si pas la principale,  cause des maladies… Moi qui m’enrichissais grâce au métier de la bonne chair, je me suis brusquement senti coupable de gagner ma vie au détriment de la vie des autres, Sapiens et autres espèces animales… et tournai le dos à la boutique, très lucrative pourtant.  


 Y avait-il ce virus du besoin d’écrire qui sommeillait, attendant le moment propice ?  Qui sait si l’âme du célèbre écrivain ne m’avait pas un peu contaminé ?  Cependant, ma conscience avait à faire face à un autre dilemme. Les livres ?  Oui pour les érudits peut-être, mais les forêts qui se déboisaient pour cette industrie effrénée du papier ?   N’allais-je pas être, par mes manques de bases, l’un de ces écrivaillons médiocres ?  Pourtant il me semblait avoir ce besoin de transmettre, et me suis dit : pourquoi pas les chansons qui peuvent être perçues par les ondes et toucher le plus grand nombre ?  Coup de chance, j’avais la guitare !

Merci pour votre émission qui me fait le plus grand bien dans cette contrainte du Confinement (oui avec une majuscule !)

Votre téléspectateur très reconnaissant. 

lundi 20 avril 2020


 Sorry d’avoir rêvé de Vous, à mon âge ce n’était pas sérieux !
Enfin, je m’adresse à la psychologue universitaire qui sait que parfois certains engrammes refont surface.
En tenant votre main dans la mienne, cela me rappela la femme que j’ai le plus aimé et pour laquelle, j’avais écrit cette chanson « Miséricorde » (n°10 de l’album Lampedusa).
Sans doute que dame Charlotte, qui divorça de moi, ne l’avais-je pas assez aimée comme Martine.

Sachant ce que vous vivez en ce moment, ce à quoi je compatis, pour votre documentation, cela fera exactement trois ans, le 22 avril, que Charlotte me quitta (ce qui m’inspira une autre chanson « Gosting ») :

Suite à la comparution au Tribunal des Familles, mardi 27 février 2018, pour notre divorce par consentement mutuel


Courrier électronique envoyé à l'avocat de ma très bientôt future ex-épouse.  (Je n'avais pas d'avocat - et je signai les yeux fermés les conventions du divorce présentées par la partie adverse)


Maître,


Je tiens à vous présenter mes excuses d'être parti précipitamment après cette comparution, sans, ce qui aurait été la moindre des corrections, vous dire au revoir ainsi qu'à mon épouse et à la dame qui l'accompagnait.  Navré, je me sentais craquer et voulais éviter de me montrer comme un homme affligé.   Le cœur a ses revers, alors que ce matin du 27 février 2018 j’étais sûr de montrer un visage conciliant, détendu, - m'attendant effectivement au scénario de cette rencontre -, les émotions, comme un boomerang, m’assommaient une fois de plus.   Mais soyez assurée que depuis cette rencontre, la page est définitivement tournée.  Nous vivons dans un monde hybride, il faut s'en faire une raison. 



Oui, je ne m’étais pas trompé, Charlotte m’avait bien quitté à l’époque, ce 22 avril 2017, par amour.  Tout son comportement, la semaine précédant son départ, trahissait ce sentiment :  son cœur battait ailleurs.  Les confidences de mon ami Luc - de ces rumeurs de Waterloo : partie pour une femme -, s’avéraient bien exactes.  Une de plus qui se vengeait ou se protégeait et répudiât ainsi ces hommes qui l’avaient maltraitée, en commençant par son père méprisant, son oncle pervers et son premier mari tyran. (J'étais le second ... certainement pas un tyran...Évidemment,  les amalgames ont la vie dure...pour les femmes, comme pour   hommes!)   Les seuls réconforts qu’elle connut dans sa jeunesse venaient de la gente féminine :   sa mère, sa sœur aînée et sa cousine germaine, toutes disparues pendant ses études supérieures.

Avec cette inconnue (à mes yeux) qui l’accompagna jusqu’avant d’entrer face au Juge   pour cette audition, je compris qu’elle avait retrouvé une âme sœur.   Néanmoins, un peu dommage cet amalgame !  Mais ne devais-je pas payer aussi pour mes propres erreurs ?  Sûrement. 



Miséricorde


Ah !  J’ai adoré la réponse de Michel Arditi quand Catherine Ceylac, dans son émission de ce dimanche 26 novembre 2017 « Thé ou Café », demanda à son invité, ce qu'il ferait si un jour il était une femme !    


« - Mais je suis femme tous les jours de l’année ! »


Une des réactions les plus avisées que je retiendrai dorénavant ; et me fait comprendre l’une des clés de la réussite de ce grand comédien.  Quel réconfort !  Cela me confirmait, une fois de plus, que les acteurs sont bien plus présents dans la réalité, car eux savent qu’ils jouent des rôles, alors que la majorité des autres ne s’en rendent pas compte, en endossant le manteau de personnages qu’ils croient profondément être au détriment de leur véritable nature. 

Mes sources :  « Quand il s’agit de se comprendre » et "Allô moi, ici les autres",  ouvrages signé  SIRIC :

Société

Internationale de

 Recherche

Interdisciplinaire sur la

Communication

 (Éditions Empirika 1985).


Hier, journée de la femme…surtout pour toutes celles battues, violées, victimes de discriminations, rabaissées…voire tuées par des compagnons fous vexés qu’elles ne se veulent pas soumises … et qui perdent tout contrôle.

Par contre   - encore un grand comédien !  -  cette pensée de Sacha Guitry :


« À vouloir ressembler aux hommes, les femmes se sont diminuées ! »,


À vous, Mesdames de méditer sur ce… Merci.


Entre-temps, au nom de tous les mâles de la planète, donnez-nous votre


Miséricorde



Pour trop souvent vous avoir mal aimés



Hommage à Prévert.
À Martine

Miséricorde

(Subsidiairement :  chanson d’autrefois)


Lorsque je l’ai vue sur le pas de sa porte

Le soleil se berçait dans ses cheveux d’or

Comme la vierge apparue surprend l’âme qui dort

Lui montre la voie que cachent les feuilles mortes

C’était la première fois


Quand j’ai voulu timidement la revoir

Lui demandant sans y croire son téléphone

Elle me regarda étonnée avec des yeux de madone

-         Pourquoi on va se quitter déjà ce soir ?

C’était la deuxième fois


Encore aveuglé par les envies de voyages

Le bateau m’attendait ainsi que ma guitare

Nomade avant tout je pensais aux départs

J’évitais de trop l’aimer elle qui était plus sage

C’était mon manque de foi


Plus important qu’une femme qui t’aime

Me dit-elle en sanglot je n’étais qu’un salaud

J’ai trahi comme un sot et lui fit de la peine

Son cri d’agonie m’éveilla en sursaut

J’avais perdu la foi


En ce temps-là elle rappela cet homme

Meurtri de son crime qui la pleure par ces rimes

Mais inconsciemment l’inquiétude prit forme

Notre nid d’amour plus qu’un lit d’infirme

Elle n’eut plus foi en moi


Un autre que moi a pris cette place de roi

Mais saura-t-il comme moi que t’es vraiment une reine

Je ne voudrais pas que cette fois t’aies de la peine

Ou sinon mon amour je reviendrai près de toi

Encore une fois


Humblement j’implore ta miséricorde

Sans ton pardon mon cœur bat en désordre

Je suis un amant perdu qui marche de travers

Sur des feuilles mortes comme disait Prévert

Elles se ramassent à la pelle dans cette chanson d’autrefois



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Gosting

.


LA DH du jeudi 27 mars 2008. Article de presse de Jean-Philippe de Vogelaere.
Ghosting
Paroles et musique Georges Salles  
Créé à Rochefort lundi  12 juin 2017

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment très mal …

Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus.
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?  
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement crédible.   

Comment c’est possible on s’aimait si fort
Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre
Elle toujours disponible de cœur et de corps  
Oui nous étions amants … depuis si longtemps

Tout seul au matin, dans la triste demeure
Le pain quotidien n’a plus de saveur. 
Et quand vient le soir dans le lit trop froid
Plus le moindre espoir d’être toi contre moi.
Pas encore une semaine et déjà l’avocat !   
Un divorce ?  C’est ton choix et… ma migraine !

Refrain 2
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment mal …très mal
Oh oui que j’ai mal… mal…

À vingt ans peut-être que…,  
 Mais à nos âges extrêmes,
Bien drôle cette époque
 Des libertés souveraines 
 Des tempes grises !  
 Le temps n’a plus de prise.
 « Plus de jeunesse ? », 
 Non surtout : « Plus de vieillesse ! »
Les aînés font la fête, voguent d’îles en îles. 
De vraies marionnettes de la mode qui défile.   



Refrain 3
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps



Partir …Moi aussi, je m’en irai… loin des terres…
  Loin des souvenirs où toujours je te vois.   
Il me faut oublier et pardonner ce parjure !
Voguer loin, très loin … Une nouvelle aventure ?    
Qui sait ?  Me restera-t-il assez de force pour hisser la voile
Qui poussera l’esquif et mon cœur meurtri vers une âme loyale ?
Si cela devait arriver, je sais déjà que cela me fera encore plus mal  
Quand je t’oublierai vraiment … que tu ne seras plus que néant.

 Oui nous étions amants…depuis si longtemps   


Souvenir de mon bateau détruit en mer par un cargo en face du Surinam en 2005, le Spirit of Sindbad, VIA 52, Cotre Alu dériveur intégral et puis j'ai connu Charlotte...On s'est marié...enfin,  pour un certain temps!   
Publié par georges à 09:39