samedi 27 juin 2020


La divine m’avait répondu :

Je souris amicalement de tes messages et ne m’en offusque à aucun moment.
C’est un brin de légèreté dans la tourmente que je vis actuellement à cause de ma séparation.
Parfois, prendre quelques années de plus est un espoir d’un avenir meilleur.
Belle journée à toi,
V.





Ah chère V., 

 Je reviens vers toi, cette phrase où tu souhaites prendre quelques années de plus.  Moi qui, bien au contraire, en voudrais moins pour me rapprocher de toi. Mais nous savons que c'est l'instant présent qui compte évidemment ;   qui nous ramène à la raison (ce qu'un cœur passionné ignorera) .
 Je lis le passage d'un écrivain que je découvre, Marek Halter*, publiant ses mémoires sous le titre

"Je rêvais de changer le monde" :

" Je me suis souvent demandé ce que je recherchais dans les bras d'une femme et j'arrivais toujours à la même conclusion : la reconnaissance.  Quand une femme me choisit parmi tant d'autres hommes, et accepte de coller son corps contre le mien, elle me sort de l'anonymat.  Elle me fait être, au moins le temps de notre relation. » 

Donc par la rupture d’un couple, il y aurait cette perte d'identité pour l'Un comme pour l'Autre. Passage obligé où tout s’en mêle : l’incompréhension, la frustration, la haine… la compassion peut-être aussi avec un rien de culpabilité et beaucoup de maladresse qui creusera l’abîme infranchissable ; mais, te parlant d'expérience, puis-je te dire qu’on finit toujours par s'en sortir.  Zut, cette dernière phrase !  N’est-ce pas une projection du futur, et delà ton envie de quelques années de plus ?   Bref que dire, que faire ?  Au fond, je ne le sais pas !  L’avant, l’après ?  Mais il y a la magie du présent.  Non ?  Où, par exemple, le plaisir de communiquer vers celle qui envahit mes pensées juste en ce moment.

*Peintre-écrivain juif polonais, né en 1936 à Varsovie.  Chassé par le nazisme, vivra dans les républiques de l’Union soviétique et débarquera à Paris dans les années 50.  Auteur d’une vingtaine d’ouvrages vendus à des millions d’exemplaires, internationalement reconnu, il se bat depuis toujours pour la réconciliation des trois grandes religions monothéistes. 


En 1996,  l’affaire Dutroux, alors que  je participais avec ma guitare à la marche blanche à Bruxelles,  voulant hurler « À mort Dutroux ! », message qui risquait d’accroître cette montagne de  haine humaine, j’eus le sentiment que  Julie et Melissa m’envoyaient du ciel cette  illumination :    Le Droit d’aimer  et d’autres mots que je placerai sur le swing 42 de Django Reinhardt. 




Le Droit d'aimer
(arrangement Jean-Marie Dorval)

De plus en plus dans nos villes
Des femmes et hommes vivent isolés
Et sans famille
Auraient-ils peur du privilège
Du droit d'aimer
De croire tomber dans un piège

Le droit d'aimer n'est pas un leurre
Qu'une bonne parole de Pèlerin
Prêchant le bonheur
Ferait-il rire quelques coquins "Au nom de Dieu ! "
Qui jure que seul c'est mieux qu'à deux
Pour être heureux

Le droit d'aimer vient droit du cœur
Rapproche les amants
Sans qu'ils soient volages
Protège l'enfant
Qui dans leur sillage
Pourra aimer sans armure et sans peur
 

Si on refuse ce droit d'aimer
On pourrait bien tomber dans le trou
Des préjugés
On court, on court à devenir fou
On vit le martyre
Des petits voleurs à la tire

Le droit d'aimer vient droit du cœur
Rapproche les amants
Sans qu'ils soient volages
Protège l'enfant
Qui dans leur sillage
Pourra aimer sans armure et sans peur
 

Le mode d'emploi du droit d'aimer
Ne donne pas lieu de se forcer
Bien au contraire
Permet d'agir sans confusion
La bonne raison

C'est le premier droit de la Terre 

vendredi 26 juin 2020


Tu vois petite sœur, notre problème depuis qu'André nous a quittés, était un lien très fort d'amitié qui nous unissait, surtout par cette complicité qu'il nous témoignait au sujet de mes chansons.  Il était vraiment mon soutien et cela formait une sorte de symbiose familiale.  Je crois honnêtement qu'il faisait partie des rares personnes qui comprenaient mes textes et toi aussi par la même occasion de fusionner par l'esprit avec lui.   C'est vrai que son départ t'a brusquement créé un manque et que ce déséquilibre avait quelque peu perturbé notre bonne entente fraternelle ...et que nos réactions furent très souvent maladroites - surtout que moi-même, j'étais encore en état de choc par la fuite de Charlotte.   Sorry encore.   Et notre vrai souci actuellement c'est que l'Autre, ma femme ou ton compagnon de vie, ne sont plus là pour assurer notre propre identité, - notre psyché. 
Avec qui échanger, communiquer, faire part de projet, de rêver à deux ?  Je constate les difficultés à m'intégrer ici chez Jean-François.  Tu sais à quoi on réalise qu'on est devenu transparent, c'est quand dans une discussion, l'autre te parle, mais n'écoute jamais tes réponses.  Un sentiment de vacuité te submerge alors.  Le Covid-19 ?  Pourquoi pas... qu'il m'emporte le plus vite possible encore que je ne voudrais pas être une charge à mon enterrement...et qu'aussi, je souhaite disparaître en mer.  Évidemment, il y a encore ma chienne fidèle qui ne me quitte jamais des yeux... qui vit tjrs à près de 14 ans ... que je ne pourrais abandonner jusqu'à....  Enfin, tu vois !

dimanche 21 juin 2020


Courriel destiné au Professeur Jacques Attali, 
après lecture de son dernier livre : À tort et à raison. 
(sorti d'imprimerie en février 2020)
Cher Professeur,

Bonjour,

Voilà, ce dimanche matin, je méditais sur votre phrase finale du dernier entretien avec F. Taddéï, « Vivre ses vies, conjurer sa mort » et que perplexe à tort je comprenais mal… de l’avoir mal lue ?,  et que, finalement,  j’ai eu raison de la relire puisqu’il n’était pas question, bien au contraire, de se résigner, ce qui condamnerait l’espèce humaine, dites-vous.
 Suite à ce neuvième chapitre qui clôture ce très précieux ouvrage « À tort et à raison », permettez-moi de vous faire part de cette pensée personnelle, mise en chanson au sujet de la grande question de l’Après.

Merci


« La Vie après la Mort, c’est vraiment l’Aventure ! »
(En valse légère,  pas encore enregistrée)
    
« Quand Jésus passa là expliquant toute la vie
Mais les hommes gourmands n’ont pas bien compris
Ils le mirent sur la croix inventant une foi
Refoulant leur instinct pourtant bonne thérapie

Écoutez les amis qui me croyez déjà mort
J’ai encore dans le corps des milliards d’êtres forts
Qui préparent leur voyage emportant leur trésor
Par l’insecte et même l’eau comme moyen de transport

Refrain 1 :
La vie après la mort c’est vraiment l’aventure
Ne me mettez pas en boite isolé de la terre
Et si vous ne pouvez pas jetez-moi à la mer
Surtout ne me brûlez pas c’est peut-être l’Enfer

Il y en a qui s’en vont se cacher des vivants
Disparaissent dans les airs ou au fond des océans
Ceux qui se sont sauvés voyant ces enterrements
Ont préservé leur chair de ces commerces florissants

En lisant l’Évangile de cet Homme sur la croix
Paraît-il que jamais on ne retrouva son corps
Symbolique ou non ça conforte ma foi
De protéger mon corps même après ma mort
Refrain 2:…
Il est clair cette musique n’est pas très romantique
À mon corps défendant ça me vient de l’inconscient
Ah cette plume    qui défie les coutumes
Si l’idée n’est pas bonne que les dieux me pardonnent

Qui voudrait que sa fin soit une longue agonie
Trépasser en souffrant ou pire encore par ennui ?
Finalement je préfère tomber face aux fusils
Vaut mieux mourir vivant que vivre mort en sursis
Refrain 3 :…
Mais encore ici-bas bien vivant je peux dire
Que cette mélodie a pour but de faire rire
N’est-ce pas ce qu’il y a de mieux pour le bien des mortels
Et que cette chansonnette devienne une ritournelle

Épilogue :

Mais lorsque dans l’Au-delà débarquera mon âme
Trouverais-je la réponse à ces lois qui condamnent
Les élans les idées survolant les frontières 
Des États languissants qui perturbent la Terre.  

mercredi 10 juin 2020


Mail adressé à la Directrice des éditions musicales H., au sujet de ma nièce Maëlle qui se cherche un pseudo d’artiste.

Chère A.,

…/…
Mais encore, sans vouloir abuser de ton temps, elle fait sans doute partie de cette génération qui veut chanter en anglais   - et c'est, comme tu le sais, toucherait un plus grand public et offre plus de facilités pour la musicalité de la voix, nous sommes bien d’accord…Cependant, pour la langue de Shakespeare, un petit bémol, en tant que parolier, je ne pourrais pas être très efficace (donc je m’efface - petite rime au passage 😂 -).

  Mais voilà, je reviens à toi au galop sur mon destrier avec cette fameuse Hildegarde - Pourquoi pas ?  Nom que j’avais cité cette sainte du Moyen-âge au hasard, suite à ta suggestion de femmes célèbres et combattantes d’une autre époque, car tu n’adhérais pas trop à  Gaëlle, pseudo, que souhaitait Maëlle pour être identifiée dans le milieu artistique...(De mon côté, j'avais proposé "Salwa"¨, pour qu'elle puisse, ma nièce,  porter cette cause des enfants traumatisés au milieu des bombes en Syrie*) -    J’argumente en faveur de celle de Molière… qu'en anglais presque tout a été chanté depuis Paul Anka à U2 en passant par Joan Baez, les Beatles et Armstrong sur l'Amour, la Paix et l'Écologie et que la concurrence est énorme (et pardon de ne pas citer les nombreuses  super Divas) .  Si tu maîtrises le moyen pour faire connaître notre artiste en herbe par cette philosophie du plus grand nombre, foncez - tu vois ici, je conjugue au vous et pas nous -.  Moi, je me cantonne dans la douce France et reste fidèle à Montaigne, Trenet, Brassens, Brel... et maintenant Pierre Perret pour sa dernière innovation " Les Confinis" (à voir sur YouTube.com).  C'est clair, on est loin du "tout sur le zizi"...Plutôt très fâché le gentil chansonnier  au sujet de la façon que les choses se passent. Il y en a qui en prennent pour leur grade...Très fort l'artiste!


*

mardi 9 juin 2020


Courrier électronique adressé au Professeur Jacques Attali


Cher Professeur, 


Sans doute mon émotionnel primaire me donne cette impulsion (un peu d'audace aussi - avec toutes mes excuses, si je dérange) de vous exprimer ma totale adhésion en lisant "À tort et à Raison" (et je ne suis qu'à la page 238).  Merci de combler mes vides intellectuels et me donner un certain courage à croire aux Hommes et donc à moi-même avec cette certitude d'être, - puisqu’encore vivant à 78 ans - , un maillon   de cette chaîne de fraternité et d'altruisme, ayant toute son utilité.  Cependant, il y a des portes qu'il m'a toujours été impossible d'ouvrir jusqu'à hier.  Mais aujourd'hui, avec ce privilège de ces connaissances que vous me transmettez et me rassure,  d'avoir fait ce qu'il fallait : en me refusant de gagner ma vie aux détriments de la vie des autres espèces du Vivant (ancien  restaurateur et donc diffuseur de nourriture toxique) ; en écrivant des chansons pour le Bien de la planète et des familles; de rappeler que chaque homme est un lieu saint (Maître Eckhart); de chanter le  droit d'aimer et d'être utile...etc. , votre livre ouvre une brèche dans cette muraille  de torts et me donne raison de la franchir pour aller de l'avant.

Merci 

lundi 8 juin 2020



Très chère V.

C’est peut-être ça l’histoire de « La Belle et la Bête » ! 
Celle d’un vieil homme qui retrouve ses traits de jeunesse  
Du moins dans ses rêves lorsqu'il revoit la divine silhouette
De nouveau prince charmant succombant à la belle prêtresse !



Silhouette, silhouette l’amour survient dès l’instant
Qu’une silhouette te met en fête quand tu t’aperçois qu’un aimant
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est quelque chose
Qu’il faut laisser agir en soi
Comme une pause

Silhouette, silhouette un moment de flou relâchement
L’âme tranquille qui cache l’éveil dirige tes pas vers ta belle ;
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est ce moment-là, sans que tu le veuilles
Il brûle en toi comme un soleil

Silhouette, silhouette réponds à ton cœur tout en fête
N’attends pas, fais le premier pas ; elle te sourira. C’est comme ça
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

Ne pas penser ; va spontanément
N’freine pas l’élan au droit d’aimer


Silhouette, silhouette, même si elle s’en va n’t’en fais pas
D’autres silhouettes, silhouettes passeront bien souvent près de toi
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Jusqu’à ce que la tienne te vienne par le vent
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Belle silhouette



Ainsi une image se fixe en vous et, pour le restant de vos jours, elle s'y ancrera définitivement.




mercredi 3 juin 2020


Cher Monsieur F. 

 Grâce à un essaim d’abeilles, et voilà une  agréable rencontre !
 Surtout lorsque que vous voyez pour la première fois l’Autre,
Une personne venue juste pour enlever cette ruche sauvage ;
S’établit très vite cette envie sympathique de bons bavardages.
On trouve des points communs, bien sûr, d’abord les abeilles !
Ce qui m’amène tout naturellement, causant à votre ami Michel,
De parler de l’une d’elles, en l’ayant observée à moitié groggy,
Attirée par l’arôme d’un de ces petits parfumeurs à bougie.
Délicatement, je réussis à l’extraire de ce piège - mais aurait-elle
Pu reprendre son vol vers d’autres parfums de fleurs plus naturels?  -,
Pour ces dernières, elle n’aurait pas eu la force de les rejoindre :
Nous sommes au milieu de la baie de Villefranche-sur-Mer,
Au mouillage à près d’un mile de la côte…  Tout est à craindre !
Il n’est pas question pour moi d’abandonner la petite ouvrière !
Vite dans l’annexe avec cette nouvelle copine sur mon doigt !
Je mets le cap vers le rivage le plus proche animé de cette foi :
« La Vie avant tout ! ».  À quelques brasses des pins parasols,
Avait-elle repris des forces grâce au soleil ? voilà qu’elle s’envole.
De-là m’est venue cette idée de créer la montre Phosomètre,
Qu’à plus de trois décennies de ce jour vous désirez connaître.
Que cette médaille de bronze fasse de moi un heureux récipiendaire,
Je ne suis  capable d’en donner qu’une description sommaire,

Par cette chanson « Soleil où es-tu ? »




Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Toute la nuit, les pas de l’ennui
Cadencent le cri des amants déchus
Les yeux un peu flous cherchent dans le vague
La dernière drague.  Soleil reviens-nous !

Soleil où es-tu ? J’ai perdu ta trace et ma peau se lasse
Soleil que fais-tu ?  Que grand bien me fasse de revoir ta face

Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Les taxis s’effacent, leur dernier office
Et cèdent la place aux tramways complices
Déjà dans la ville les bruits se faufilent
Des premiers chantiers on entend chanter :

Soleil où es-tu ? J’ai les os tout froids, chauffe mon émoi
Soleil que fais-tu ? Ta lumière en moi c’est mieux que mon toit!

Soleil où es-tu ?  Quand tu n’es pas aux cieux,
Je me sens nerveux.  Soleil que fais-tu ?
Tes rayons gracieux ça me rend heureux !

Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Sans ton puissant feu, plus le moindre jeu
Le stress et l’angoisse, ce serait l’impasse
Si tu te prélasses, oubliant le jour
Alors de guerre lasse, s’éteindrait l’amour.

Soleil où es-tu ? Comble mon bonheur, fais rire mon cœur.
Soleil que fais-tu ? Donne l’énergie, donne-moi la vie.

Arrangement : feu Gérard Sabbe
Guitare solo :  Jérôme Munafo 


PR , Extrait de mon blog du 24 janvier dernier.

Le soleil et mon cru

Sûrement que de ce récit autobiographique me reviendront des souvenirs pour apporter plus de précisions de ma métamorphose en créateur d’arias, mes chansons avec leurs orchestrations, plus en recherche de vérités que de gains par mes restos…Et devenir « crudivore » ...  À savoir, ne plus me nourrir de la manière classique ; de ne plus cuire mes aliments …Suite à ces changements, malgré nos deux enfants, notre couple chavira après vingt ans.   Mon épouse décida de vivre avec son thérapeute.  Ah, ce cher Michel V., amoureux des beaux yeux d’Hélène, plein de zèle, qui passera quelques soirées chez nous pour m’aider à matérialiser un appareil que j’avais imaginé – suite aussi à mes réflexions quant à la santé en général et nos habitudes parfois à son détriment -, un genre de compteur Geyser sous forme de montre bracelet.  Je le baptiserai « Phosomètre ».  Ce gadget devait informer son porteur - bien sûr de l’intensité du rayonnement   solaire qui peut, on le sait, être dangereux, - et là ça n’apporterait rien d’innovant –, mais surtout que s’il résidait et travaillait habituellement dans des lieux privés de soleil, il ou elle pouvait, grâce à cet objet, prendre conscience de son manque et y remédier au bénéfice de sa propre santé, en s’y exposant le plus possible.
Ce Phosomètre fut réalisé en 1987, mais c’est sous l’insistance d’Hélène (qui depuis lors, vit avec ce génial partenaire), que j’irai présenter enfin cette invention au 19ième Salon des Inventions et Techniques nouvelles de Genève en avril 1991.  Surprise : le jury m’octroie une médaille de bronze.  France Info commentera toute la journée cette montre.  Comme convenu, ma part de travail accomplie, ayant pris à Genève les contacts pour que cette invention puisse intéresser des fabricants et distributeurs, je laisse le soin à Hélène, la femme d’affaires, et Michel, le médecin, de poursuivre les investigations pour concrétiser notre projet.  Ils étaient mieux armés que moi pour les éventuelles transactions que cela allait susciter.   Je ne suis plus un homme d’affaires, mais un artiste avec sa guitare, son bateau sur lequel Jean-Lou le skipper m’attend impatiemment en Guadeloupe pour le grand départ.
Et de toute façon, d’après moi, rien n’est mieux qu’une chanson pour pénétrer l’inconscient collectif.   Sur des jolies notes, je pense qu’on retiendra mieux les quatre bienfaits du soleil :    pour la peau, le sang, les os, le système nerveux et qui déclenche la bonne humeur.