lundi 31 janvier 2022

 


Il fuma...jusqu’à soixante-sept ans...

Depuis que je l’avais un peu secoué, cela n’avait plus jamais été le grand amour entre mon beau-fils et moi... C’est vrai qu’alors j’avais les nerfs à vif : Charlotte, mon épouse venait de me quitter...disparue comme un fantôme, pour rejoindre une âme-sœur, qu’un mois auparavant elle ignorait l’existence.   Curieux ce   coup de cœur de se découvrir, si tardivement, une attirance où la gent masculine n’avait plus droit au chapitre !    Ressac d’un passé douloureux peut-être !  Avoir subi, dans sa plus tendre enfance, la perversité d’un oncle et, plus tard, d’un premier mari qui lui vida ses comptes d’épargne et qui l'a décidé de divorcer aux dix-huit ans de leur fils unique ... De bonne foi, me semblait-il, pendant la décennie de notre union, nous nous étions aimés et respectés le plus honnêtement possible ; Jamais il n’y eut la moindre remise en question de notre couple. Sur les conseils de nos avocats respectifs, sa seule lettre :  une accusation virulente de l’avoir manipulée. Effarant !  Cela ne lui ressemblait pas.      Bon, mais ne nous égarons pas. Que disais-je ?  Ah oui, à celui qui fit les frais de mes neurones brusquement en état d’alerte par mon inconfort soudain : la solitude, pas vraiment inscrite dans mes gènes. N’est-ce pas tellement précieux cette compagne pour nous les hommes ; sommes-nous assez attentifs à leur dévotion...à l’harmonie du foyer, leurs rires cristallins, à l’hygiène et la fraîcheur de l’habitat ; souvent nous laissant nos illusions et nos rêves sans les contredire...Oui, en quelque sorte dans notre majorité machiste, nous sommes des enfants gâtés.     Il fallait booster le bonhomme   qui avait été séduit par ma fille     et lui avait rendu le sourire (Eh oui !  Elle aussi sortait d’un divorce) ... qu’il    réalise la chance de partager sa vie avec cette fée du logis, et ne pas traîner en tenue négligée devant la télé, lorsqu’il m’avait ouvert la porte – mon aînée, dans sa sollicitude de ma récente séparation, m’avait invité, mais devait encore arriver. Évidemment qu’elle s’inquiétait pour son père qui se retrouvait, à plus de soixante-dix ans, brutalement seul -.et que bien sûr,  j’avais des envies suicidaires ! -    En l’attendant, j’avais droit à ce spectacle de cet homme avachi, en caleçon.  Il m’avait carrément mis en colère ; je le traite de tous les noms inappropriés qu’un humain puisse supporter.  Mon but : le choquer pour qu’il se réveille et retrouve sa dignité.  Peut-être la petite graine qui s’implanta dans son esprit, car plus tard il s’était repris en main jusqu’au mariage. Mais rancunier le Sapiens. il ne me pardonnera jamais.  Et maintenant, c’est trop tard, crise cardiaque.

Il fuma...jusqu’à soixante-sept ans !

Quoi tu fumes encore! 

"https://www.youtube.com/embed/OiF7kpNzaM8"

samedi 29 janvier 2022

 Janvier "Un mois sans fumer"???

28 janv. 2022 08:44 (il y a 1 jour)

À p.

Je refume après + de vingt ans d’abstinence !  Honte et mépris de moi...

  P.


 

 

-          Nom d’un chien !

 

 

 


09:36 (il y a 6 minutes)

À P.

 

-          -    Oui, nom d'un chien …La formule qui correspond le mieux, mais ils sont deux dans mon cas... et je les sorts le plus souvent possible pour échapper aux odeurs de cigarettes qui se répandent impitoyablement dans ce petit appartement où vit (ou survit - à n'y rien y comprendre mon hôtesse, septuagénaire, qui fume plus de trois paquets de cigarettes depuis ses quinze ans chaque jour ; qui n'arrête pas de tousser et que d'après les examens cliniques n'a toujours rien aux poumons ???). Oui de fumeur passif, cher ami professeur - ami, car je constate qu'à mon SOS tu réagis, merci -.  Depuis plus d'un mois, je suis passé à l'acte...par dépit, par fatalité. Je cherche encore ce moment de référence à A. Camus (probablement un de mes auteurs favoris) que tu mentionnes dans ce premier syllabus au sujet de l'absurdité.  Où est donc ma propre réponse où il écrit «, cette révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence et, " alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir".  

-           

Sans vouloir me plaindre pourtant, je croyais avoir été utile par mes chansons, mais tout cela disparaît comme probablement ma propre vie.


"https://www.youtube.com/embed/OiF7kpNzaM8"

dimanche 9 janvier 2022

Parfois, je ne sais comment, apparaît un de mes anciens textes... Pour ce jour sans inspiration avec cette seule question : être ou ne pas être vacciné -.  C'est vrai  que  cette polémique occupe mon esprit!  Comment échapper aux médias, aux visions des politiciens, des économistes inquiets, des avis rassurants ou inquiétants de nos éminents médecins ou chercheurs médicaux .  In fine je ne sais plus quoi penser!   Cette minorité qui refuse le vaccin, mais considérés par les plus hautes instances comme des anti citoyens...devenus les ennemis de la nation...qu'ils mettent en danger les autres!!!  Comment, si ceux-ci sont vaccinés,  où est le risque? Et encore parmi les inoculés, certainement qu’il y en a qui ne sont pas non plus convaincus mais qui par lassitude– c’est mon cas – accepteront la Big Pharma piqûre.  On devient fataliste et on s’en fout.  De toute façon on n’y échappera pas ; la mort est inévitable ; et mourir, c’est laisser la place à la vie.  Voilà ce que j’appellerais le vrai devoir du vieux et fragile citoyen du monde.  Encore que devoir ne soit pas le terme le plus adéquat.  Les contraintes ne sont pas systématiquement en adéquation avec notre psyché originelle qui est amour aussi pour les suivants.     Non tout cela n'est pas clair!  

 Oui, et  donc, à court d'idées, je me relis...

Évidemment, le plus facile serait d’allumer la télé ou cliquer sur Google

Pour échapper à l’ennui qui nous ronge dès qu’on ne se sent plus utile

Et laisser la question en suspens : « De pourquoi sommes-nous là ? »

Puisque selon d’éminents philosophes, nous sommes ici pour une raison.

Mais laquelle ? « La preuve par l’âme », de la plume de feu François de Witt,

Apporterait-elle la réponse déjà évoquée chez les anciens Grecs de Platon ?

Bien qu’Aristote émît quelques doutes aux visions du Maître quant à l’au-delà.

Le Néant, d’après lui, règlerait l’hypothétique avenir de notre si précieux esprit :

L’amour platonique en prime…et le Paradis !    Ce que réfuteront les cartésiens

Terre-à-terre, dont certains plus athées clameront : « Après-nous les mouches ! »

Bah, si cela ouvre le débat des religions, qui ne sont pas faites pour les chiens !

-          Encore qu’un St François d’Assise, pour cette idée, soupirerait de cette approche :

« -Plus importants que les bêtes, nous les humains ? » Au nom de Dieu !  Et l’Avant ?

Avant que nous puissions transmettre par l’écriture ce Verbe du Commencement

Qui nous permit de structurer nos pensées, notre Évolution et graver l’Histoire,

Ce qui n’empêchera pas – et serait même un frein -   les sophismes, poussant au désespoir,

Cette humanité aujourd’hui masquée,

Soumise aux nouvelles lois du Marché.  

 

Petit rappel d’une chanson, écrite à Paris, en 1988.

 

« Je lève le voile »

(Aujourd’hui, ce serait plutôt :

 Bas les masques)


 Un clic sur ce lien pour écouter la chanson

 

Arrangements :  Alan Booth

 

Je suis l’enfant d’un pays franc !

 

Je lève le voile des idées noires, dissipe ainsi tout le brouillard.

À visage frais et découvert mes yeux regardent la lumière

Perception vraie, action réelle ; sciences nouvelles je m’émerveille !

Ici j’apprends pour entreprendre.   Encore enfant que l’on m’entende.

 

Dites-moi pourquoi, pourquoi tout ça

Au nom des dogmes, au nom du Droit,

Je vois partout guerres et misères :

C’est plus la Terre, mais un traquenard.

Mon vrai visage n’est pas l’image

Des anciens mages rivalisant.

Je suis l’enfant d’un pays franc

Et serai maître de mon destin.

 

Je lève le voile des idées noires et suis les voies de l’Univers

Dans cet élan, j’oublie frontières et j’veux comprendre tous les mystères.

Un jour un sage me murmura, qu’il faut des lois et religions

Pour protéger populations, mais sans excès et sans émoi.

 

Alors dites-moi pourquoi, pourquoi tout ça,

Au nom des dogmes, au nom du Droit,

Je vois partout guerres et misères :

C’est plus la Terre, mais un mouroir

Mon vrai visage n’est pas l’image

Des anciens mages rivalisant.

Je suis l’enfant d’un pays franc

Et serai maître de mon destin.

 

Je mets le voile pour ne plus voir autour de moi tout ce cafard.

Dis-moi, homme sage, pour cet enfer, n’y-a-t-il donc rien à y faire ?

Petit enfant, ne sois pas triste.  Écoute en toi couler la vie ;

Et trouve en toi l’Originel de ton instinct qui te réveille.

 

Et comme un rêve, loin des soucis

Au fond des temps, loin dans la nuit,

Je mets le voile sans dévotion sur les tabous et religions 

Mon vrai visage n’est pas l’image des anciens mages rivalisant.

 

Ce monde nouveau, je veux le faire sans aucun voile, ni de frontière. 


mercredi 5 janvier 2022

 

Nouvel article pour action...
Nettoyer le corps et la nature... - Les Gardiens de Thau ses Ports et sa Lagune
GARDIENSDETHAUSESPORTSETSALAGUNE.OVER-BLOG.COM
Nettoyer le corps et la nature... - Les Gardiens de Thau ses Ports et sa Lagune
Nous voilà repartis pour une nouvelle année sportive pour la planète. Eh oui , ramasser les déchets de gens irrespectueux est aussi un moyen de faire du sport. Un sport que nous souhaiterions moins faire pour laisser place à d'autres plus sains. Un jour...


Hommage à Toi, ô ma reine Cathy 

Qui porte l’étendard suivie par tes amis

Sans relâche ton combat face aux nuisibles

Ces fanges de la faiblesse qu’aucune bible

N’a jamais vraiment mis en garde : les déchets

Oui faiblesses humaines : paresse et non-respect

Pour cette citadelle de la Nature ultime

Mais ta présence avec cette force qui t’anime

Réunissant tes troupes : les Gardiens de Thau

Comble ma joie pour protéger l’eau des Cachalots.

 

Bonheur que de t’avoir un jour rencontrée..

Que cette nouvelle année paire scelle la complicité

De tous les hommes de bonne volonté.


Pour rappel:

« N’gâche pas l’eau des Cachalots ! »


PM:

Échouage de quatre cachalots à Coxyde.
Novembre 1994.





Cliquez ici pour écouter cette chanson

Ne gâche pas l’eau des Cachalots

Histoire morbide / En novembre à Coxyde
Sur les plages / Une foule rendait hommage
À quatre cachalots / Sortis de l’eau
Des mâles c’est bizarre / Est-ce par hasard ?
Et je pense
Ne gâche pas l’eau des Cachalots

Je me dis aussitôt / Ça va faire mal à Cousteau
Terre qui pleure / Ses mers qui se meurent
Je pris mon auto / Pour voir ces baleines
Mais vingt kilomètres de bouchon / Pas de veine
Et je pleure
Ne  gâche pas l’eau des Cachalots (2X)

Ça ne fait plus rire /  Qu’une baleine puisse dire
C’est assez / et se cache à l’eau
Pour parler de veine / Je pense pipe-line
Celui de la Taïga / Bonjour les dégâts !
Et je gueule
Ne gâche pas l’eau des Cachalots

J’avais l’intention / D’écrire une chanson
C’était ma façon de bénir ces géants
Que ça rappelle que l’eau des océans
Se ronge comme notre sang
Et je crie
Ne gâche pas l’eau des Cachalots

Mais en venant les voir j'avais mon clebs infernal
Et n'ai plus qu'en mémoire cette odeur ah!,  tombale 
Hurlant comme  loup devenu fou
Cette vue insolite l'a rendu triste
Et je hurle
Ne gâche pas l'eau des Cachalots


De ces Cachalots sortis de l’eau / Ne reste que l’image
Comme une menace / Ils meurent en grimace
Étrange message / Aux habitants des terres
Pour protéger la mer des Cachalots

N’gâche pas l’eau des Cachalots  


N’gâche pas l’eau des Cachalots