La valse des
missiles...mais quelle superbe voix tu as Georges... Et enfin, enfin des
chansons qui racontent quelque chose...je suis heureuse de t'avoir rencontré
grâce à ma contrebasse ...d'avoir pu rencontrer un grand philosophe, chanteur-
poète, écrivain, penseur...
Je me sens riche de
ce que tu m’enseignes…
-Merci Françoise...Là tu me fais rougir.
Pourtant je me sens si petit à côté de ta grâce avec ta contrebasse... J’aurais vingt ans de moins, je te dirais :
- Viens, allons conquérir le monde !
Et c’est formidable cher Stromae,
tu as mille fois raison... Que l’on puisse s’évader en Zorba le Grec, en
derviche tourneur, enfiévré un samedi soir ou se retrouver tendrement
enlacés à en perdre la tête comme les amants de la Saint-Jean – et merci Bruel
de nous faire revivre ce moment d’extase ! - oui, un peu de dérision n’est pas à exclure
pour dénoncer l’inacceptable.
Ma Valse des
Missiles pour la Xième fois ?
Mais en valse musette
cette fois... nettement plus léger et dansant !
Aussi, à cette évidence, cela risque de contrarier mes visions
soudaines... Vous savez, celles du matin au saut du lit. Le dilemme, car il y en a un, et de taille ! Sont-elles issues, ces idées, d’une
imagination débordante en manque de reconnaissance - et donc pas vraiment
objective – ou se dire qu’en chacun de nous, les individus, confrontés à ce
« ici et maintenant », - pas toujours très réconfortant pour
le ailleurs et plus tard-, ont, en eux, une partie de la pensée cosmique,
et qu’ils se doivent, pour la bonne évolution du Vivant, de la partager avec le
plus grand nombre ? Alors, par ce titre en amont, serais-je un
homme de peu de foi, en total contradiction avec sa psyché primitive et commune
à tous ses frères Sapiens ? Not at
all ! Cette phrase, au
contraire, me rassure. Elle s’intercala
automatiquement par la rime au troisième couplet de cette complainte :
« Un
Homme, c’est naturellement bon »
.../...
À trois, commence les chuchotements
Majorité, minorité vous voilà
Malheur qui transgressera les lois
La force n’est pas dans l’isolement
Un homme seul, n’a jamais raison
Un homme, c’est naturellement bon
.../...
Au cap des cinq milliards d’humain en 1987, soudain un
flash avec ma guitare, oubliée pendant plus de quinze ans. Sûr que c’est elle, reconnaissante qui me
murmura cette mélodie... et les mots s’y glissèrent comme par magie ! Si bien qu’en moi, le sentiment (ou la grâce)
d’un appel vers une autre voie, je troquai mon bel habit de commerçant-bourgeois
aisé pour la redingote du chanteur-errant au petit bonheur la chance... Et très
solitaire, puisque femme et enfants ne me suivront pas.
Que dire à mon
fils alors pour ses dix-huit ans, réalisant son trouble, suite à la
séparation de ses parents ?
In fine pour la fin de cette COP 27 au pays des
Pharaons... et que je n’ai pu m’empêcher (alors qu’un homme vrai s’empêche,
selon A. Camus, et je plaide donc
coupable) de rappeler en boucle ma chanson « Les Pyramides », et
sans doute avais-je provoqué une certaine irritation, vu qu’il n’y avait pas
très longtemps qu’elle fut replacée sur mon blog ...Un autre Maître, pas
lauréat du prix Nobel, lui... cinq cent ans plus tôt, à une époque où le bûcher
était la sentence comme réponse à ceux qui osaient penser (ce qu’il risqua et presque
excommunié par ses dires « Chaque
homme est un lieu saint ») , je ...Merci de l’écouter .Pour une fin de COP, à mon humble avis, elle
me semble à sa place.
Pourtant chaque homme est un lieu
saint, disait le Maître
Même si on ne l’a pas dit à Kyoto
(bis)
On continue à pleurer on continue à
hurler
On continue à causer de philo
d’avant-guerre
L’Avoir ou l’Être reste la grande
question
Comme rien n’a changé dans la
consommation
Ou Bon Dieu au contraire elle a bien
augmenté
Pourtant chaque homme est un lieu
saint disait le Maître
Même celui qui ne pense qu’à son auto
(bis)
On continue à flirter on continue à
chercher
On continue à courir auprès de l’âme
sœur
Et ces scénarii on les connaît que
trop bien
Mais on continue à faire le joli cœur
Pour l’instant présent on se fout du
lendemain
Pourtant chaque homme est un lieu
saint, disait le Maître
Même lorsque s’éveille sa libido
(bis)
Et toi dont la souffrance t’impose ce
regard de haine
Dès lors trompe ton âme dans une
prison l’enchaîne
Je parle de Maître Eckart pour
dissiper ce doute
Que trop d’hommes ont d’eux-mêmes me
voilà sur ta route
Pour chanter cette complainte de
l’Être Suprême :
Chaque homme est un lieu saint disait
le Maître
Que cette chanson te loue pour te
bénir toi-même
dimanche 20 novembre 2022
Ah !La fin de
la COP 27...
Toujours une question de
sous.Les pays riches vont indemniser
les plus pauvres – une autre faim, quoi ? - . Nous voilà rassurés aux pieds des Pyramides !Les
pyramides, les pyramides ?Au fond,
cela ne nous rappelle-t-il pas le fameux mythe, cent ans auparavant, de la
Malédiction deToutankhamon? Aujourd’hui,
mes chers contemporains, Terriens, consommateurs exploitants ou exploités, j’en
constate une autre : « La malédictiondetout
en camion » ! Eh oui ! les appétits énergivores de
nos mégapoles frappées d’Alzheimer de nos belles contrées d’antan. Oui, les quasi huit milliards à l’instinct grégaire !
mais surtout agglutinés jusqu’à l’asphyxie.
Et moi l’opportun (je sais,
c’est un adjectif, mais opportuniste ??? non !), j’en profite encore
une fois - Il nous casse les oreilles ce « troubadourix » !
- pour jeter à la foule délirante ma chanson
« Les pyramides » dans ce cirque « Qatarophique ».
Eh oui ! lorsque le peuple essaye de faire de l’esprit,
c’est sauf qui peut, selon Voltaire .La preuve... Pardon !
« Les Pyramides »,
sur une musique rock de Jean-Marie Dorval, (quel talent ce devenu ami, dès lors ! Oui l’amitié c’est une question de projet en commun).Une véritable symphonie, où j’ai même réussi à y placer mes mots.
Bon réveil pour ce dimanche prometteur pour la Planète.
(Je sais, vous avez raison, je mérite le prix Nobel, avec Jean-Marie, bien sûr !...)
Pas d'accord? Bon, la chanson du siècle... Non plus? ...Bien, juste celle de maintenant à partager avec vous. Merci chers Cop ...
Les pyramides, bibles de pierre.
Homme, homme tu cours bien vite pour lancer tes satellites
Aucun progrès ne peut se faire si le passé t’indiffère
Regarde un peu ces pyramides qui furent bâties bien avant Rome
N’est-il pas là ce précieux guide : le Grand ‘œuvre qu’on cherche en somme
Parmi les sept merveilles du monde que les poètes glorifièrent
Victor Hugo des plus lucides
Décrit la Grande Pyramide la surnomma Bible de pierres
Observez bien les pyramides des blocs de pierre tellement parfaits
Grâce à l’outil qui les taillait Certaines rumeurs parlent de laser
Le message me semble clair Permettez-moi cette hypothèse
De la chanter me met à l’aise
Qui dit laser dit nucléaire pour éclairer ce grand mystère
Comment pourquoi ces pyramides ?
Des pyramides…suis-je stupide
Mais je m’inquiète pour les techniques
Qui gèrent les déchets atomiques
Ça ressemble plus à du suicide
Chers marchands de nucléaires pourquoi ne pas faire des pyramides
Pour y stocker toutes ces matières dans les endroits les plus arides
Loin des rivières sources de vie
De toutes les mers qui en ont marre des marées noires
Des pyramides
Allons bâtirent des pyramides
Avec tous ceux qui cherchent à faire
Avant que tout ne soit plus que désert
Sauvons la Terre avec l’aide des pyramides
Rien que de penser aux pyramides
On oublierait de faire la guerre
Les nations même les plus rudes
Devront s’unir du Nord au Sud
Les bâtisseurs d’empires le défi est de taille
Le germe de vos idées naîtrait des entrailles
De celles que le poète perçut comme une bible
Une bible de pierre pour retrouver la Foi
De plusieurs millénaires… sonne bien fort le glas
De toutes ces guerres pour qu’on puisse enfin vivre en paix.
vendredi 18 novembre 2022
Il faut que je te dise :
En pleine lecture du dernier livre du Professeur
Daniel Cohen : « Homo
Numericus » et ainsi pouvoir mieux cerner mon « Homo Laboris *»,
une de mes chansons du siècle passé,cet
auteur qui enseigne l’économie à la Sorbonne,à son chapitre , « Le capitalisme de la surveillance »
(pages de 58 à 64) , il nous mentionne une certaine Shoshana Zuboff,
auteure américaine , professeure émérite à la Harvard Business School.Curieux, comme je me dois pour tenter de me
tenir un peu à flot (bien qu’il y ait belle lurette que ton correspondant, gît au fond
des abysses océaniques du savoir numérique), je fonce donc sur Wikipédia et constate que c’est justement aujourd’hui
son anniversaire pour ses 71ans . C’est
toujours, par les temps qui courent, réconfortant de découvrir ces prises de
conscience de ces intellectuels pris de remords face à la folie expansive des GAFA
et CO... etc.
*Homo Laboris
Homo Laboris :
De tous les animaux
Un seul sur cette Terre
Pleure pour trouver du boulot
Homme à tout faire
Parfois la guerre
Homo Laboris serait son nom ?
Refrain :
Fana du boulot
Oui c’est le temps de l’Homo Laboris
Homme qui suis-je
Causa le litige
Qui fâcha Dieu
Qu’on soit curieux
Malédiction :
Pour cette question
(Coup de sifflet)
Allez, tous au boulot !
Fana du boulot
Oui c’est le temps de l’Homo Laboris
(../...)
Mais où est ce temps
Où Brel nous chantait
C’était au temps
Où on rigolait
Main dans la main
Les hommes les femmes
Imaginaient
D’autres programmes
Que le boulot
Ah le bon temps
De l’Homo Erectus !
(Chûût, ils dorment !)
dimanche 13 novembre 2022
Julie de Funès
Egarés
L’exigence permanente de reconnaissance, de respect, de déférence, d’égalitarisme, de parité, de diversité, d’inclusion est le symptôme d’un pays en désir de considération identitaire de plus en plus vif. Si notre société occidentale est aujourd’hui considérée par certains comme discriminatoire, raciste, sexiste, hétéronormative, colonialiste, etc., c’est qu’une quête de reconnaissance identitaire y est invariablement à l’œuvre. Comment l’identité est-elle devenue ...
Merci Cher Professeur pour cet envoi:
Les égarés...D'accord pour ce constat de Julie de Funès...
- mais, n'ayant pas lu son livre à part cet extrait qui me laisse donc sur ma faim, et qu'à ce niveau, par mon ego (ou mon individualisme) me vienne cette question simpliste de moi, l'ignare : et après? Un doute de plus?
Il fut un temps où pour toutes ces réflexions , je me consolais en chantant .
Sur une Musique de Jean-Marie Dorval qui m'inspira ces mots en 1999:
Le Mal ou le Bien
C’est une vieille histoire
Le Mal ou le Bien
Fin d'un millénaire
Et toujours ce refrain
Des hommes sur des routes
Qui ne mènent à rien
Parce qu’ils ont des doutes
Est-ce mal ou bien
Combien de ruptures
Complices du Malin
Croyant être pures
Ont fait pire que bien
Est-ce bien ou mal
Question de maintien
Ou réponse fatale
Qui fait mal aux seins
Là-bas pas très loin
Ils quittent leurs biens
Envahis de haine
Alourdit leur peine
Que répondre à ça
Plus en plus de soldats
Défilent dans ce bal
Font-ils bien ou mal
Armée qui fait mal
Armée qui fait bien
On choisit son camp
Ou on fait semblant
Est-ce plus mal encore
Question de faire bien
Toute façon les morts
Ne nous diront rien
dimanche 6 novembre 2022
COP 27
au Pays des Pyramides !
Mais si, mais si, cher Abdel Fattah Al-Sissi, priorité à l’esprit très
poétique d’un certain Georges quand il chantait « Les Copains d’abord »
puisque c’est chez Toi, qu’à partir d’aujourd’hui, ce dimanche 6 novembre 2022,
(ah ces deux qui font la paire !), tous nos grands Pairs de chaque
pays se réunissent à l’ombre des pyramides pour la COP 27...donc, tous des
Copains, sur un pied d’égalité...Chouette !
C’est
peut-être l’occasion, un autre Georges - moi en l’occurrence - ...Mais noooon !!!,
je ne suis pas un opportuniste, mais quand il s’agit de notre Terre bien aimée,
ne faut-il pas tout essayer... même passer pour ridicule ? Lui au moins, ne tue pas !
SVP, tous mes chers Sapiens- Copains, à l’unanimité, merci d’écouter ma
chanson :
« Les Pyramides »,
sur une musique rock de
Jean-Marie Dorval, (quel talent ce devenu ami, dès lors ! Oui l’amitié
c’est une question de projet en commun).Une véritable symphonie, où j’ai même réussi à y placer mes mots.
Bon réveil pour ce dimanche prometteur pour la Planète.
(Je sais, vous avez raison, je mérite le prix Nobel, avec Jean-Marie,
bien sûr !...)
Pas d'accord? Bon, la chanson du siècle... Non plus? ...Bien, juste celle de maintenant à partager avec vous. Merci chers Cop ...
Les pyramides, bibles de pierre.
Homme, homme tu cours bien vite pour lancer tes satellites
Aucun progrès ne peut se faire si le passé t’indiffère
Regarde un peu ces pyramides qui furent bâties bien avant Rome
N’est-il pas là ce précieux guide : le Grand ‘œuvre qu’on cherche en somme
Parmi les sept merveilles du monde que les poètes glorifièrent
Victor Hugo des plus lucides
Décrit la Grande Pyramide la surnomma Bible de pierres
Observez bien les pyramides des blocs de pierre tellement parfaits
Grâce à l’outil qui les taillait Certaines rumeurs parlent de laser
Le message me semble clair Permettez-moi cette hypothèse
De la chanter me met à l’aise
Qui dit laser dit nucléaire pour éclairer ce grand mystère
Comment pourquoi ces pyramides ?
Des pyramides…suis-je stupide
Mais je m’inquiète pour les techniques
Qui gèrent les déchets atomiques
Ça ressemble plus à du suicide
Chers marchands de nucléaires pourquoi ne pas faire des pyramides
Pour y stocker toutes ces matières dans les endroits les plus arides
Loin des rivières sources de vie
De toutes les mers qui en ont marre des marées noires
Des pyramides
Allons bâtirent des pyramides
Avec tous ceux qui cherchent à faire
Avant que tout ne soit plus que désert
Sauvons la Terre avec l’aide des pyramides
Rien que de penser aux pyramides
On oublierait de faire la guerre
Les nations même les plus rudes
Devront s’unir du Nord au Sud
Les bâtisseurs d’empires le défi est de taille
Le germe de vos idées naîtrait des entrailles
De celles que le poète perçut comme une bible
Une bible de pierre pour retrouver la Foi
De plusieurs millénaires… sonne bien fort le glas
De toutes ces guerres pour qu’on puisse enfin vivre en paix.