Je
faiblis… Oui je faiblis ! Que les
dieux et mes quelques lecteurs silencieux me pardonnent cette bouderie depuis
plus de deux semaines. Néanmoins,
constatant que certains continuent à visiter mon blog, merci. En effet, cela m’oblige à me ressaisir face à mon plus grand
ennemi : ce diable d’ego qui
paralyse ma plume, prétextant qu’il est bien inutile d’en rajouter aux
innombrables infos plus souvent déprimantes qu’innovatrices de bonnes
nouvelles.
En
pleine rétrospection, je me prépare pour la suite ; mais j’avoue être assez perplexe de constater qu’en pleine
prise de conscience de l’humanité face à la souffrance animale pour nos faux
besoins alimentaires ; que la communauté scientifique nous informe
régulièrement de diminuer notre consommation de viande pour l’équilibre de la
planète en privilégiant par ailleurs la permaculture. Il apparait par exemple sur
la chaîne de France 2 à Télé Matin un de nos grands chefs étoilés, Alexandre Gauthier
présentant sa recette de cuisses de grenouilles ; à Météo à la carte sur France
3 qui nous fait découvrir par la même occasion les cuisines du terroir, nous
voyons surtout de succulentes côtes de bœuf rôties bien appétissantes. Bref, comme l’énonça Brillat-Savarin : « L’avenir des nations dépend de la façon de
ses peuples à se nourrir », à mon humble avis, la France qui se veut
leadership d’un monde meilleur, devrait peut-être, même culturellement parlé
(ou politiquement si vous voulez), revoir cette question quant à la diffusions
d’infos sur l’esprit de ses propres masses censées gouverner cette petite
partie du globe.
L’Essénienne ?
Arrangement digital: Jean-Marie Dorval
Une voie, un chemin très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ? Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps. En bref, sortir du nationalisme...dans un premier temps: être Européens...ensuite , peut-être Terriens...si notre Planète tiendra le coup encore.
Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants
Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire », il doit être pur
Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi
J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents
Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’heur bien portant
J’évite de cuire mes aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le toutvenant
Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça
Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion
Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille
Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement