UKRAINE
NO COMMENT...Enfin, ou presque !
Cela me rappelle une chanson écrite en 1988 où je mentionne aussi Katyn qui rime avec Staline...Pourquoi pas Poutine aujourd'hui?
Mars 1988
Saddam Hussein, formé en Russie par le KGB, donna l'ordre de bombarder, à l'aide de bombes à gaz moutarde, la ville d'Halabjã et d'anéantir toute la population kurde ...Mais on n'en parla pas trop à l'époque. Je suppose même que mon cri fut plutôt censuré dans le monde médiatique.
Halabjã
Avec la précieuse collaboration de Francis Goya pour les arrangements
cliquer ici pour écouter cette chanson
Halabjã, Halabjã !
Entends-tu l’ami ce cri de là-bas ?
De l’au-delà, cinq mille voix
Qui crient très fort : arrêtez ça
Combien de morts faut-il encore
Pour arrêter cette violence ?
Combien de morts faut-il encore
Pour arrêter ces expériences ?
Halabjã, Halabjã
Entends-tu l’ami ce cri de là-bas ?
Mais toi cet autre qu’as-tu fait là ?
Ce que tu tues, c’est toi qui meurs
Mais toi cet autre qui crois sans voir
Replonge-toi dans ta mémoire
Revois l’Histoire, y a pas d’erreur
Il y a bien eu Hiroshima
Halabjã, Halabjã
Entends-tu l’ami ce cri de là-bas ?
Mais toi cet autre te souviens-tu
De ces « Hitler » brûlant la terre
Les survivants qui en restèrent
Plus forts encore, les dominèrent
De ces ghettos, sûrs d’une mission
Des fils nouveaux firent une nation
Halabjã, Halabjã
Entends-tu l’ami ce cri de là-bas ?
Mais toi cet autre qui joues Staline
Te souviens-tu de ce Katyn
Combien de bourreaux a-t-il fallu
Pour tirer dans dix-mille nuques
Combien de temps a-t-il fallu
Pour rappeler ces disparus ?Halabjã, Halabjã
Entends-tu l’ami ce cri de là-bas ?
Ô Halabjã relève toi
De tes souffrances pas de passion
Du génocide pas de vengeance
Montre à ces monstres l'indifférence
De l'au-delà des millions de voix
Qui crient très fort
Arrêtez-ça
Ô Halabjã relève toi
De tes souffrances pas de passion
Du génocide pas de vengeance
Montre à ces monstres l'indifférence
De l'au-delà des millions de voix
Qui crient très fort
Arrêtez-ça
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire