Tiens, ce 31 mai... la journée sans tabac!
C'est vrai, contrairement à ce que je croyais,
cette chanson n'a jamais fait de "tabac"!
Justement,
un 8 mai (2012), mais depuis ce jour, nous ne pouvons plus vraiment
l'embrasser...Notre Maman ...
Ma toute première
chanson écrite à 18 ans, sur la suite d'accords de la Mer de Charles Trenet :
Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
arrangements : Alan Booth
Oui maman, c’était moi !
C’était un petit gars
Qui partit au loin si loin là-bas
Oui maman c’était moi
Oui maman c’était moi
Comme un matelot sur un grand bateau
Comme un oiseau vers d’autres paysages
C’était un petit gars
Qui partit au loin Si loin là-bas
Oui maman c’était moi
Oui maman c’était moi
J’ai bien changé après vingt ans
J’ai rencontré toutes sortes de gens
Pourtant mon âme de p’tit gars
Est restée près de toi
Toi qui es toujours la même
J’ai beau chercher à voir un changement
Dans tes yeux que j’aime
Tu es toujours ma petite maman
C’était un petit gars
Qui partit au loin Si loin là-bas
Oui maman c’était moi
Oui maman c’était moi
Voyez ces p’tits gars dans tous les
coins du monde
Qui recherche quelque chose
Peut-être bien une maman
Pourquoi pas une maman
Voyez ces mamans sans jamais une pause
Qui travaillent à la ronde
N’peuvent plus vivre autrement
Sont pourtant des mamans…
C’était un petit gars
Qui partit au loin Si loin là-bas
Oui maman c’était moi
Oui maman c’était moi
Quand,
en plus, ce 8 mai (capitulation des nazis) tombe sur un dimanche, cette
nostalgie du passé me remonte encore plus loin – surtout que votre narrateur
réside à deux pas de la butte du Lion de Waterloo –, et Victor Hugo réapparaît au grand
galop dans mon esprit.
Toi,
le poète qui sensibilisa ce 19ième Siècle,
visionnaire ou prophète !
Pour
mémoire, ta pensée gravée sur la face sud de la colonne érigée sur la « morne
plaine » de Waterloo :
Un jour viendra Où Il n'y Aura Plus
d'Autres Champs De Bataille Que
Les Marchés s'Ouvrant Au Commerce*
Et Les Esprits s'Ouvrant Aux Idées
Paris 22 août 1849
Discours au Congrès de la Paix »
*Bien que le commerce des armes au XXIème S. ne se soit jamais aussi bien porté (Voir en Ukraine) ...à se demander si...
Hélas, au 20ième Siècle,
ce fut des champs de batailles encore plus
sanglants ! Merci de
me permettre, Grand honorable Maître, de me glisser dans les pieds et rimes d' Océano Nox pour fixer cette dérision au sujet de nos débats
démocratiques actuels qui n’apportera néanmoins pas encore la réponse : « du
pourquoi la politique décide de tout ? »
« On
ne résout pas les problèmes avec les modes de pensées qui les ont
engendrés. » (Albert Einstein)
Politico-Nox
Oh ! Combien
de thèses, combien d’hypothèses
Qui
sont parties joyeuses pour qu’on soit plus à l’aise,
Dans
ce morne inconscient, se sont endormies !
Combien
ont disparu, dans une triste cellule,
Suite
à des débats houleux, mais entourés de bulles,
Sous
d’aveugles convictions à jamais enfouies !
Combien
de lettres mortes avec tant de messages,
L’ouragan
des avis a chassé toutes les pages
Et
d’un souffle il a tout chamboulé dans le lot !
Nul
ne sera assez fin pour comprendre liberté.
Chaque
achat, sans merci, obligera à travailler,
L’un
pour le crédit, l’autre pour les impôts !...
…Où
sont-ils les malins sombrés la nuit dans les bars ?
Suppôts
de Satan qui souffle les bougies de l’espoir,
Dans
les bistrots redoutés des maires en courroux,
Vous
leur envoyez des policiers armés,
Et
c’est ce qui nous fait ces lois désespérées
Qui
obligent le peuple à souffrir à genoux.
Oui, trouver un
nouveau mode de pensée en politique, me semblerait une bonne idée. Mon
souhait ? Que les décideurs soient des hommes hors du commun,
des stoïciens en quelque sorte. On ne peut instaurer des lois dans
un état d’esprit issu de cerveaux qui, on le sait, ne peuvent vraiment
fonctionner correctement à partir du moment où ceux-ci, ces cerveaux, sont
constamment pollués par toutes les erreurs de l’Histoire
humaine. Déjà quant à la question de la façon de nous nourrir, mais
aussi, ce que je trouve déplorable et fragilise la position gouvernementale du moment,
c’est que l’Opposition, à savoir les partis frustrés qui n’ont pas obtenu la
victoire aux élections, est là continuellement à critiquer toutes les décisions
prises… et ainsi ne fait qu’accentuer le dysfonctionnement.
Lettre électronique à mon ami Christian (éditeur de BD)
Bonjour
Christian,
(Et Toi cher
Jean-Michel, merci de transmettre à qui tu veux des Anciens du quartier)
Oui, sur quelle
partie du monde évolues-tu en ce moment ? Hier midi, j'ai eu le bonheur
de partager la table avec Jean-Michel Argoud et sa délicieuse épouse Chantal
pour parler de plus de cinquante années de bons souvenirs. Évidemment que
Tu y avais ta place dans ce passé tout en couleur. Le but de cette
rencontre, en plus de la sincère amitié pour cet ancien collaborateur et admiration
de voir sa réussite aussi bien sur le plan familial que professionnel, que sans
prétention néanmoins, j’en retire moi-même une certaine fierté. "
- Tu es ma plus belle réussite", avais-je soufflé sur le ton
de la plaisanterie à celui qui aurait pu être mon beau-frère et, plus tard,
beau-fils (grâce à ma petite sœur Claudine qui me l'avait présenté et
devenir ainsi mon principal collaborateur ... et ensuite par son union
avec Brigitte ma belle-fille pour que naisse un petit Nicolas qui
m'appellera grand-père ; et décidera alors de s'établir à son compte.)
Jean-Michel a ce don de s'intéresser à tout le monde et partant récolte et
retient quantité d’informations sur le quartier de la Petite rue
des Bouchers qui pourraient m'aider à rédiger cet essai autobiographique mais
pas que... (Je nourris toujours l'idée d'une BD avec Toi)
Ce projet je
l'avais mis aux oubliettes depuis un certain temps. Hélas ! le suicide de
Rudy, patron du restaurant Léon, dernièrement, me rappelle à l'ordre. Projet
utopique au départ de proposer que la Petite rue des Bouchers soit
baptisée dorénavant : rue des Végétariens et convaincre les
autorités communales et les restaurateurs frappés d'opprobre par les
Bruxellois pour qu'ils réfléchissent à cette nouvelle réalité que le monde
change et qu'il faille s'y conformer et que cela devrait leur
être profitable. Cette singularité audacieuse attirerait les
médias et il faut savoir qu'à ce jour, il y a plus de 10 pour cent de
Végétariens dans notre monde occidental (à mon époque 1986, seulement 2 pour
cent... ce qui me semblait alors suffisant pour ouvrir un sanctuaire végétarien
dans un quartier où une centaine de restos se font de la concurrence).
Selon Héraclite " Si tu ne l'espère pas, jamais tu n'atteindras
l’inespéré", ...Et voilà : Déjà par l'écriture pour convaincre
! Donc je m'y remets... à la plume.
"Il était une
fois la Petite rue des Bouchers"