Ô Cathy !
J’aurais dû…
Sur les remparts du
port de Sète ce n’était pas un mirage
Plus d’une décennie
déjà, mais toujours cette image
Ce tableau ce doux
souvenir de te voir arriver au loin
Silhouette encore floue
pourtant mais je sais que c’est toi
Toi que j’aurais dû
serrer dans mes bras
Pas que pour te
remercier de cette vidéo
« N’gâche pas l’eau des cachalots »
Complicité de deux
êtres voués aux mêmes objectifs :
L’amour de la mer…
Oui j’aurais dû te
prendre la main
Plonger mes yeux dans
les tiens
S’évader un peu de ce monde amer
Hélas ! les aléas de la
vie…parfois les récifs
Tu sais !
Silhouette, silhouette l’amour survient dès l’instant
Qu’une silhouette te met en fête quand tu t’aperçois qu’un aimant
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
C’est quelque chose
Qu’il faut laisser agir en soi
Comme une pause
Silhouette, silhouette un moment de flou relâchement
L’âme tranquille qui cache l’éveil dirige tes pas vers ta belle ;
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
C’est ce moment-là, sans que tu le veuilles
Il brûle en toi comme un soleil
Silhouette, silhouette réponds à ton cœur tout en fête
N’attends pas, fais le premier pas ; elle te sourira. C’est comme ça
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
Ne pas penser ; va spontanément
N’freine pas l’élan au droit d’aimer
Silhouette, silhouette, même si elle s’en va n’t’en fais pas
D’autres silhouettes, silhouettes passeront bien souvent près de toi
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Jusqu’à ce que la tienne te vienne par le vent
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Belle silhouette
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