vendredi 27 novembre 2020

 Coupables ?

 

Mais bien sûr que nous sommes coupables...Moi comme les autres !

En 1987, il y a trente-trois ans, l’âge du Christ quand, sous les yeux des apôtres,

Un Ponce Pilate s’en lavant les mains, L'abandonna à la plèbe et aux marchands

Qui décidèrent du sort de ce Fils de l’Homme – et de Dieu pour les croyants -,

Oui, il y a trente-trois ans, j’écrivais inconsciemment ce texte à l’aide de la guitare :

« Un Homme c’est naturellement bon » -   On avait atteint la barre des cinq milliards –

Je m’étais juré, à cette époque, ce mot d’ordre ferme : que jamais ma plume

Ne puisse être un élément déclencheur à accentuer un sentiment d’amertume.

Nous savons que la rancœur fait partie des agents perturbateurs de la santé.

À ce jour, tant pis pour le parjure, je décide de renoncer à cet élan de solidarité !

De toute façon les parjures, chose courante, font   la queue au Tribunal des divorces !

À ce propos d’ailleurs, - j’y étais aussi -, c’est fou, pendant que se morfondent les morses

De la banquise qui disparaît, les guerres   de ces aînés qui réfutent leur mariage

Sont majoritaires.  Il est vrai que les jeunes, comme pour suivre dans son sillage

La chanson de Brassens « Nous ne signerons pas nos noms au bas d‘un parchemin ! »,

S’est transmise dans leurs gènes : que rien n’est moins sûr que de vouloir fixer les destins.

Que la Covid-19 fasse des ravages surtout pour les plus de soixante-cinq ans faut-il s’affoler ?

Qu’un Maradona décida de quitter la scène des près des huit milliards de Sapiens emmêlés

Cinq ans de moins, ne serait-ce pas là le message ?  Selon l’économiste Jacques Attali :

 À partir d’un certain âge, on se sentirait coupable de survivre ?  Certainement un délit ?

Ce grand intellectuel avait osé lever un débat terrible...Mais sera vite étouffé par les Médias.

Non grand Jacques ne renonce pas. Ce n’était pas pour une question d’éthique, hélas !

Les initiés m’ont parfaitement compris... Et qu’ils me pardonnent de préciser lourdement :

Les pépères sont une aubaine pour le monde des affaires où s’activent des cerveaux déments.

 

À quand le vaccin de l’immortalité ? (Qui servirait à quoi sur cette planète à l'agonie!)

 Oui, tout cela devient ridicule à mourir; mais cette fois pas d'ennui.  Les dommages collatéraux ?  C'est face aux contraintes promulguées provoquant cette pression infernale, où inexorablement nos cerveaux fragiles finissent par ne plus pouvoir nous maîtriser; déjà en constatant ces bévues policières où se déchaîne la haine de l'autre. Je plains autant  ces quelques recrues du service de l'Ordre que ce Michel tabassé presqu'à mort...Et de quel ordre?   Celui de la délectation d'un pouvoir qui profite de cette aubaine qu'est la santé publique? L'exaltation d'un système coercitif ? Ne nous trompons pas: l'Homme est bien un loup pour l'Homme -  et cela fut dit bien avant Hobbes ou Voltaire, du temps des Romains!  Mais d'après moi, c'est une insulte à l'égard des animaux que l'on considère comme des êtres inférieurs. L'évolution sociale humaine est totalement perverse....Pour moi, ce qui est sûr,  on est de moins en moins  heureux sur Terre!

 À propos de nous, simples mortels, cette chanson écrite déjà aussi trente-trois ans auparavant avec, un peu plus tard, la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)


L’Essénienne ? 






Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui,  par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,  vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref,  sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite ,  peut-être Terriens...si  notre  Planète tiendra  le coup encore.  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air* bien portant

J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la Terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement

* (ou l'heur qui serait plus conforme à la langue de Molière, mais comme il est question de respiration, permettez-moi de profiter de cette confusion populaire).

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