Cher...STP, apporte-moi
une bonne nouvelle. Cette addiction, tu peux - tu en as le pouvoir de... –
Tiens comme promis
(en retombant sur un de mes anciens textes de "mesparaboles.blogspot.be" ... (et te l'envoie en
son intégralité), cette chanson Gosting dont je t'avais
vaguement parlé hier au Lac de Genval, en observant un couple, une femme et un homme se tenant par la main, plutôt
assez âgés ; qui marchaient comme des jeunes amoureux. Vers où, vers quelle destinée commune, quel projet
les animait à ce point de les voir si heureux ? - Nous ne le saurons pas, mais
eux sûrement ; l’avenir se dessinait dans leur regard !
« Il n'y a plus de vieillesse" t'avais-je
exclamé.
Bonne
écoute et porte toi bien
Métamorphose
Ce mercredi 29
septembre 2021, grand tournant ...Adieu cette morosité que je traîne depuis le
23 avril 2017. Il aura donc fallu près de cinq ans pour que ma
chanson Gosting où je crie ma douleur aux rythmes d’une
guitare débridée... mais qu’en final c’est plutôt sur des notes
douces que je chante en prière pour retrouver une âme honnête, convaincu,
depuis des décennies, qu’on devient quelqu’un à partir de
deux. Savoir que ce quelqu’un vous attend vous transforme votre
psyché complètement...Et aujourd’hui, j’ai eu beau me pincer, ce n’est pas un
simple rêve, elle existe. La soif de revivre me revient d’un coup,
comme sous l’effet d’un élixir d’amour ?
Cette rupture en
avril 2017 n’était pas la première, mais cette fois, maman nous ayant quitté
depuis 2012, où puis-je aller retrouver un peu de réconfort ?
(Quoi de plus doux
de plus tendre
Que le cœur d'une
maman
Qui donc sait mieux
nous comprendre
Et calmer tous nos tourments
? /...)
"Maman",
qu'on entendait sur les ondes radio dans les années cinquante par
Georges Guétary, Luis Mariano et Tino Rossi ... que j'interprète également
lors d'une fête au Collège Ste Gertrude à Nivelles. J'avais quatorze
ans.
Tout désemparé,
j’avais perdu ma personnalité, ma dignité de ne plus croire en moi...Rien
n’était plus vrai que les mots de Christophe André, écrivain et psychiatre et
coauteur avec Alexandre Jollien et Matthieu Ricard du livre « À nous la
liberté » que je lis en ce moment : .../...personne n’est
parfaitement et totalement autonome et indépendant sur le plan affectif.
Ça, ça n’existe pas dans l’espèce humaine : l’humain est un animal social,
qui ne peut survivre correctement en solitaire, /...
Un clic sur ce lien pour écouter la
chanson
.
Ghosting
Paroles et musique Georges
Salles
Créé à Rochefort lundi 12 juin 2017
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment
très mal …
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus.
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement crédible.
Comment c’est possible on s’aimait si fort
Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre
Elle toujours disponible de cœur et de corps
Oui nous étions amants … depuis si longtemps
Tout seul au matin, dans la triste demeure
Le pain quotidien n’a plus de saveur.
Et quand vient le soir dans le lit trop froid
Plus le moindre espoir d’être toi contre moi.
Pas encore une semaine et déjà l’avocat !
Un divorce ? C’est ton choix et… ma migraine
!
Refrain 2
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment
mal …très mal
Oh oui que j’ai mal… mal…
À vingt ans peut-être que…,
Mais à nos âges extrêmes,
Bien drôle cette époque
Des libertés souveraines
Des tempes grises !
Le temps n’a plus de prise
« Plus de jeunesse ? »,
Non surtout : « Plus de vieillesse ! »
Les aînés font la fête, voguent d’îles en
îles.
De vraies marionnettes de la mode qui défile.
Refrain 3
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement
crédible.
Partir …Moi aussi, je m’en irai… loin
des terres…
Loin des souvenirs où toujours
je te vois.
Il me faut oublier et pardonner ce
parjure !
Voguer loin, très loin … Une nouvelle
aventure ?
Qui sait ? Me restera-t-il
assez de force pour hisser la voile
Qui poussera l’esquif et mon cœur
meurtri vers une âme loyale ?
Si cela devait arriver, je sais déjà que
cela me fera encore plus mal
Quand je t’oublierai vraiment … que
tu ne seras plus que néant.
Oui nous étions amants…depuis
si longtemps
Souvenir de mon
bateau détruit en mer par un cargo en face du Surinam en 2005, le Spirit of
Sindbad, VIA 52, Cotre Alu dériveur intégral et puis j'ai connu Charlotte...On
s'est marié...enfin, pour un certain temps !
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