dimanche 28 avril 2024

 



Noyons l'hostilité dans la lueur du soleil

Velimir Khlebnikov(Poète russe 1885 1922)

- Lorsque tu es dans le doute tourne toi vers le beau!" 

  et quoi de plus beau que de voir apparaître le Soleil
Oui Soleil, je te bénis. 



Un clic sur ce lien pour écouter cette chanson

Arrangement feu Gérard Sabbe
guitare solo Jérôme Munafo 


Les quatre bienfaits du soleil : bon (avec modération)  pour la peau; pour la formation osseuse; la bonne humeur;  et tue les microbes. Le docteur vous le dira… et pourquoi pas le chanter ?


Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Toute la nuit, les pas de l’ennui
Cadencent le cri des amants déchus
Leurs yeux un peu flous cherchent dans le vague
La dernière drague.  Soleil reviens-nous !

Soleil où es-tu ?
J’ai perdu ta trace
Et ma peau se lasse
Soleil que fais-tu ?
Que grand bien me fasse
De revoir ta face

Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Les taxis s’effacent, leur dernier office
Et cèdent la place aux tramways complices
Déjà dans la ville les bruits se faufilent
Des premiers chantiers on entend chanter :

Soleil où es-tu ?
J’ai les os tout froid
Chauffe mon émoi
Soleil que fais-tu ?
Ta lumière en moi
C’est mieux que mon toit !

Soleil où es-tu ?
Quand tu n’es pas aux cieux
Je me sens nerveux
Soleil que fais-tu ?
Tes rayons gracieux
Ça me rend heureux !

Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Sans ton puissant feu, plus le moindre jeu
Le stress et l’angoisse, ce serait l’impasse
Si tu te prélasses, oubliant le jour
Alors de guerre lasse, s’éteindrait l’amour.

Soleil où es-tu ?
Comble mon bonheur
Fais rire mon cœur
Soleil que fais-tu ?
Donne l’énergie


Donne-moi la vie.

samedi 27 avril 2024

 

« Messieurs, encore un effort »

Certes, Elisabeth Badinter a raison... mais cette interpellation, à mon humble avis, est bien plus révélatrice qu’un simple message pour régler des questions d’ordre ménager ?  Mon imagination me porte à croire que cela pourrait être comme une graine qui s’implante dans notre ADN  « pour le meilleur des mondes », déjà suggéré le siècle dernier par Aldous Huxley.

Oui, en ce troisième millénaires, tous les ingrédients me semblent réunis pour qu’enfin nous soyons capables de prendre les bonnes décisions et assurer le règne du Vivant ; comme prendre conscience que l’envoi de migrants au Rwanda, proposé par le Gouvernement de Rishi Sunak ne fasse pas l’unanimité et provoque des polémiques ; ce qui me réconforte de croire en l’Homme de ce XXIème siècle.  La Livre Sterling servirait-elle à livrer quelques-uns de nos frères d’Afrique en pâture dans un pays qui se relève à peine du massacre des Tutsis ?  La moindre étincelle ou la goutte d’eau qui déborderait dans ces pays en quête d’industrialisation,  pourrait se déclencher comme un volcan en éruption .   Ces raz de marée de cette jeunesse (en majorité subtropicale) débarquant dans nos cités de l’UE ou des Îles britanniques n’agit-elle pas par élan mimétique propre au genre humain ?  Il paraît que ce serait une des conditions indispensables à la survie de notre espèce… et pas qu’elle d’ailleurs. 

Cette grande Dame, veuve depuis peu de Maître Robert Badinter, qui rehaussa la noblesse de l’esprit de la France dans sa Constitution par l’abolition de la peine de mort, au début des années quatre-vingt, m’incite, par le titre de son ouvrage littéraire, à dévoiler une pensée qui depuis bien des décennies ne me lâche pas concernant ces exodes massifs qui, suite aux problèmes climatiques, ne feront que s’accentuer. Défis auxquels la communauté scientifique et politique se doivent de se concerter évidemment, avec cette réflexion en amont:  qu’à tout problème, il existe une solution ;   sinon le problème n’existerait pas !     L’éminent professeur médecin physiologiste Claude Bernard, ami de Balzac, avait conclu : « Il y a quelque part une idée directrice qui préside à la conservation des êtres… ».  Aux vues des avancées technologiques, j’ai tendance à croire qu’il y en aurait autant (de ces idées) que le nombre de galaxies au-dessus de nos têtes… que le télescope James Webb ne démentirait certainement pas. Aussi cette hypothèse (fiat lux de ma bonne étoile, sans doute), du fait que ce sont nos villes démocratiques qui attirent cette jeunesse bouillonnante de besoin d’être et de faire parmi nous,  citoyens protégés et urbanisés… mais, continuellement en désaccord.  Nous voyons que  les débats politiques et économiques  n’aboutissent  à rien d’autre que de trouver les millions, voire les milliards d’euros, à dresser des remparts,  des ghettos et des primes pour les rapatriements et soudoyer quelques dirigeants avides, exporter nos villes ne serait-ce pas la meilleur solution ? C’est une métaphore évidemment pour en ériger de nouvelles à taille humaine au milieu de nulle part.

Qu’est-ce qu’une ville après tout ?  Un agglomérat de commerces, d’entreprises, lieu de culture et de rencontre, d'habitats, d’écoles et d’universités, d'hôpitaux, des bureaux de police  et des Tribunaux (des bons et des méchants, il  y en aura toujours),  etc. .   Avec les moyens dont nous disposons actuellement,  ne dites pas que c’est impossible d'éduquer des volontaires afin de  bâtir des micros cités, les nouvelles villes du futur autonomes et utiles.  

Un exemple pour construire une de ces micro villes d’utilité planétaire :

Encore un problème majeur de notre époque nucléarisée… Projet, qui devrait être, en grande partie, financé par les entreprises exploitant les centrales nucléaires.  En effet, à ma connaissance, le stockage des résidus reste un sujet tabou, avec de nombreuses inconnues quant à la sécurité à long terme pour notre biosphère.  En plus, ces déchets radioactifs sont enfouis pas très loin des zones humides à grande densité d’activité humaine.   Pourtant, sur la surface de notre globe, des déserts arides, en raison de la sècheresse, hostiles à la vie, tapissent des millions d’hectares qui ne profiteront pas de la moindre goutte d’eau parfois pendant des décennies.  Je vous pose la question  que vous soyez dirigeants politiques, scientifiques, d’entreprises ou d’un empire du WEB (GAFAM), est-ce que   bâtir des pyramides dans ces lieux ensablés pour y enfouir, sous leurs pentes, véritables boucliers à l’épreuve du temps, ces déchets radioactifs serait-ce une idée utopique ?

 Il faudrait que s’y implante une cité à proximité pour abriter les milliers de travailleurs avec leur famille.    Enfin, selon l’humaniste Théodore Monod (qui traversait encore à plus de   quatre-vingt-dix ans à dos de méhari, le Sahara), l’utopie est quelque chose qui n’est pas encore arrivé.  

 Les Pyramides »,

 sur une musique rock de Jean-Marie Dorval, (quel talent ce devenu ami, dès lors ! Oui l’amitié c’est une question de projet en commun).  Une véritable symphonie, où j’ai même réussi à y placer mes mots.  

Bon réveil pour ce dimanche prometteur pour la Planète.

(Je sais, vous avez raison, je mérite le prix Nobel, avec Jean-Marie, bien sûr !...)

Pas d'accord? Bon, la chanson du siècle... Non plus? ...Bien, juste celle de maintenant à partager avec vous.  Merci amis lecteurs!




  Les pyramides,  bibles de pierre.

Homme,  homme tu cours bien vite  pour lancer tes satellites
Aucun progrès ne peut se faire  si le passé t’indiffère
Regarde un peu ces pyramides  qui furent bâties bien avant Rome
N’est-il pas là ce précieux guide : le Grand ‘œuvre  qu’on cherche en somme
Parmi les sept merveilles du monde que les poètes glorifièrent
Victor Hugo des plus lucides

Décrit la Grande Pyramide  la surnomma Bible de pierres
Observez bien les pyramides  des  blocs de pierre tellement parfaits
Grâce à l’outil qui les taillait  Certaines rumeurs  parlent de laser
Le message me semble clair  Permettez-moi cette hypothèse

De la chanter me met à l’aise
Qui dit laser dit nucléaire pour éclairer ce grand mystère
Comment pourquoi ces pyramides ?

Des pyramides…suis-je stupide
Mais je m’inquiète pour les techniques
Qui gèrent les déchets atomiques
Ça ressemble plus à du suicide

Chers marchands de nucléaires  pourquoi ne pas faire des pyramides
Pour y stocker toutes ces matières dans les endroits les plus arides
Loin des rivières sources de vie
De toutes les mers qui en ont marre des marées noires

Des pyramides
Allons bâtirent des pyramides
Avec tous ceux qui cherchent à faire
Avant que tout ne soit plus que désert
Sauvons la Terre avec l’aide des pyramides

Rien que de penser aux pyramides
On oublierait de faire la guerre
Les nations même les plus rudes
Devront s’unir du Nord au Sud

Les bâtisseurs d’empires le défi est de taille
Le germe de vos idées naîtrait des entrailles
De celles que le poète perçut comme une bible
Une bible de pierre pour retrouver la Foi
De plusieurs millénaires… sonne bien fort le glas

De toutes ces guerres pour qu’on puisse enfin vivre en paix.

mardi 23 avril 2024

 Et comme toujours le dollar va-t'en guerre (61 milliards pour l'Ukraine, 13 pour Israël et 8 pour Taïwan)  


Un clic pour écouter la chanson

Dollars !  Dollars !

Dollars ! Dollars !   Dollars ! dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollars ! dollars

J’avais un rencart
Avec une belle qui n’fume pas
De plus végétarienne
Moi qui mange comme une hyène
Hormis les insectes !
On est plutôt charognard
Quoi c’est infect?
Mais nous vivons du trépas

Dollars ! Dollars  Dollars ! Dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollars ! dollars

Du sang et des cris
Défilent dans mon  esprit
Je vois des chevaux qu’on abat
Comme du vulgaire bois
À grands coups de masse
Par des hommes d’autrefois
Qui n’ont rien compris
Que voulez-vous que la bonne y fasse ?

Dollars ! Dollars !   Dollars ! Dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollars ! dollars

De la politique de l’autruche
Ressurgissent les extrêmes
Qui « nazisent » les « je t’aime »
Même si l’Euro les condamne
Ils dansent toujours dans la ruche
Du quartier de Notre dame
Les dollars te vaguent à l’âme
C’est une question de « How much ? »

C’est que du papelard
Soufflerait Gainsbar
Allumant sa gitane
Pour se cacher de ses fans
Mais en réalité cette timidité
Te mène sur le billard

Et j’oubliai la clop
Dans l’dernier « sex-shop »
Plus d’habit de cowboy
Qui me collait  à la peau
Mon Smith & Wesson
Jeté dans la Seine
Je partis comme un homme
Aimer Marie-Madeleine

-Quoi tu n’as pas de dollars ?
Me dit-elle au plumard
Hélas !, je n’suis pas Johnny
Et m’exilai tout petit
Et je pris la guitare
En pensant aux  dollars

C’est ici que finit cette histoire
Mais ce n’est qu’une histoire de dollars

Guitare-basse: Alan Booth ;
Guitare : Roland Kert ;
Piano : Rudy Mynaerts ;
Batteries :  Bob Darch

dimanche 21 avril 2024

 


Avec l'OTAN en prime...Et on croyait que ce serait la dernière… Enfin, cela remonte aux années 90 !

« You, Gosses, la Vie ».   
Un clic pour écouter la chanson

Arrangements et guitare-basse:  Alan Booth
Pierrot de Biesme guitare 
Batterie Bob Darch
Piano Rudy Mynaert
Duo avec,  pour la partie en anglais, Joëlle Neef

…/…en fait la langue yougoslave n’existe pas, que finalement je trancherai par « Anglais, Français pour vous le dire ! » :

La Vie, la Vie...la Vie…

Yougoslavie, Yougoslavie

You, Gosses, la Vie !

Anglais, Français pour vous le dire :

La vie, la vie, la vie !

 

Yougoslavie, 

Faut-il traduire

You, gosses, la vie ;

C’est bien le contraire de mourir.

La vie, la vie, la vie !

You’s -for the friends

Gosses -Means the children

You, gosses, la vie

La vie -The life and not the end!

You, gosses, la vie!

Yougoslavie!

 

Y-a-t-il sur Terre plus joli nom

Yougoslavie

Each land would love to sheare his name

Yougoslavie!  Yougoslavie!

 

Yougoslavie Yougoslavie!

You, gosses, la vie!

Anglais, Français pour vous le dire :

La vie, la vie, la vie !

Yougoslavie...You !

 

mercredi 17 avril 2024

 

À l’aube du 15 avril dernier, j’avais écrit sur mon blog, « mesparaboles.blogspot.be » : .../... Notre psyché est totalement en infraction avec la vie sur la planète.  Notre cerveau est comme un moteur mal alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son manque de discernement.../...

Oui, entre autres ?

Et nous pourrions, quoique l’un découlant des autres, également citer – oui je dis bien citer, car c’est de l’agglomérat excessif, les cités, les villes de plus en plus tentaculaires qui croissent comme des furoncles, des tumeurs, résultat d’une sédentarisation excessive et engendrant des politiques impuissantes à résoudre la bonne entente entre les humains -.  Ne nous leurrons pas, nous le savons parfaitement bien que le « chacun pour soi » est la tendance qui prime dans nos esprits et qui peut entraîner les pires actes dont l’Histoire est parsemée d’écueils.

 Donc revoir l’évolution des villes pour l’ensemble du Vivant me semble une grande priorité.


Ah, ces villes surpeuplées ...(et les conséquences)!


Envers et contre tous…Peut-être, le cheminement du vers
Me plonge parfois dans des décors – Non, pas imaginaires ! –
Non !  Je précise, bien au contraire, plutôt très terre-à-terre. 
Le « tous » et pas « tout » ; le premier désignant l’humanité
Avec tout ce qu’elle a engendré, en bien ou en mal ;
L’autre, le monde du vivant et vibrant dans sa globalité
De notre planète, qui dans l’univers avec sa bonne étoile:
Le soleil, danse comme une amoureuse à son premier bal.
C’est vrai qu’elle semble, aux yeux du cosmos, si juvénile…
Pourtant déjà, pareille à une vieille en fin de vie près du poêle,
Toute ridée ; se souvenant de ses garçons et même de ses filles
Qui l’ont abandonnée, préférant les tentations des villes.


Ô ville!


Arrangements: Jean-Marie Dorval

Ô ville !

Dans une ville de fracas, où les chantiers battent
Le rythme des vies qui viennent, ou qui partent
Sous ce ciel enfumé que percent des sirènes
D’ambulances folles, d’ambulances trop pleines.
Pour faire face aux buildings, les petits toits des logis
Veulent tenir bon, mais craquent sans oraison.
Refrain :
La ville se transforme et nous transforme
La ville change son cœur de pierre
La ville voudrait devenir énorme
La ville s’écoule vers une autre ère.

Dans cette ville de fracas, qui trop tôt nous réveille,
On n’a plus besoin de réveille-matin :
Des grues gigantesques nous tirent du sommeil
Et nous lâchent pêle-mêle aux ingrats lendemains.
Les bosses et les fosses, que l’on côtoie,
Ressemblent à des tombes ; il ne manque que les croix.

Dans cette ville de fracas de travail éternel,
L’orgueil va bon train dans ces tours de Babel.
On y chasse la nature à grands coups de pioches.
On y chasse la vertu à grands coups dans les gosses.
On y prend son parti, se croyant libéré;
Mais la pleine liberté, c’est surtout d’être entier!

Les besoins de la ville, non contente des hommes,
Pour jouer au Soleil s’en est prise à l’atome :
Cette ville de lumière nucléaire débile,
N’a-t-elle rien compris après Tchernobyl ?
C’est aussi dans cette ville, au service de Caïn,
Que l’on dit à Dieu : « Non !  Retourne d’où Tu viens ! »

Ô ville !  Cité d’autrefois, quelle que soit ta culture,
Les rires d’enfants résonnaient dans l’air pur.
Ô ville !  Toi qui servais la vie et protégeais nos filles
Déterminais si bien la tâche et le maintien ;
Délimitais tes droits à de simples murailles,

Ton cœur avec le nôtre, battait dans tes entrailles.

lundi 15 avril 2024

 

À la fin de sa vie, Badinter disait :

L’Homme est un animal qui tue...

Oui, ce gigantesque être vivant qu’est la Terre est bien frappée d’un cancer que sont ces radicaux libres :  nous les Homo Sapiens.

Notre psyché est totalement en infraction avec la vie sur la planète.  Notre cerveau est comme un moteur mal alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son manque de discernement.  Au vu des événements...  

Adieu ce fameux cinquième commandement :

« Tu ne tueras point ! »

Coupables ?

 Mais bien sûr que nous sommes coupables...Moi comme les autres !

Déjà, il y a plus de vingt-et-un siècle, sous les yeux des apôtres,

Un Ponce Pilate s’en lavant les mains, abandonna à la plèbe et aux marchands

Qui décidèrent du sort de ce Fils de l’Homme – et de Dieu pour les croyants .../...

On l’appelait   

L’Essénien ? 

  Un clic sur ce lien pour écouter cette chanson

  Une voie, un chemin très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.

Ont-ils survécus ?  Oui, par l’oubli de leur propre identité.

Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps. 

 

Écoutez les amis un instant

J’ai trouvé le chemin éternel

Que nous soyons de simples mortels

Dans l’ensemble nous restons vivants

 

Je vous parle au nom du Tout Puissant

L’Homme ne peut agir en mesure

Qu’en chassant cet enfer du dedans

Pour « bien faire »,  il doit être pur

 

Que du fond de l’abîme où nous sommes

On puisse encore y trouver des hommes

Est la preuve de l’amour infini

De Celui qu’on appelle ainsi

 

J’ai le remède pour vivre longtemps

Suffit d’être dans le mouvement

Manger du frais et du vivant

Vous garderez toutes vos dents

 

Ce qui permet d’être souriant

Dilate le nez évidemment

Il faut que l’air entre en dedans

Et nous aurons l’air bien portant

 

J’évite de cuire les aliments

Avant de les prendre je les sens

Je recherche les vrais artisans

Le moins possible le tout-venant

 

Le lait de vache je le laisse aux veaux

Le sein de maman pour les poupons

Quant à l’alcool et le tabac

Faut être fol pour aimer ça

 

Méditation sans référence

Oublie l’ennemi c’est ta puissance

Esprit tranquille bien au repos

Permet d’agir sans confusion

 

Vibre dans le vent comme les saisons

Le vrai bonheur est au présent

Se manifeste alors l’Originel

De ton instinct qui te réveille

 

Et tu seras bien dans ta peau

Pourra aimer tout comme il faut

Quant à la Terre pour les suivants

Vaut mieux mourir sainement