Arrangement feu Gérard Sabbe guitare solo Jérôme Munafo
Les quatre bienfaits du soleil : bon (avec modération) pour la peau; pour la formation osseuse; la bonne humeur; et tue les microbes. Le docteur vous le dira… et pourquoi pas le chanter ?
Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Toute la nuit, les pas de l’ennui
Cadencent le cri des amants déchus
Leurs yeux un peu flous cherchent dans le vague
La dernière drague. Soleil reviens-nous !
Soleil où es-tu ?
J’ai perdu ta trace
Et ma peau se lasse
Soleil que fais-tu ?
Que grand bien me fasse
De revoir ta face
Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Les taxis s’effacent, leur dernier office
Et cèdent la place aux tramways complices
Déjà dans la ville les bruits se faufilent
Des premiers chantiers on entend chanter :
Soleil où es-tu ?
J’ai les os tout froid
Chauffe mon émoi
Soleil que fais-tu ?
Ta lumière en moi
C’est mieux que mon toit !
Soleil où es-tu ?
Quand tu n’es pas aux cieux
Je me sens nerveux
Soleil que fais-tu ?
Tes rayons gracieux
Ça me rend heureux !
Soleil où es-tu ? Soleil que fais-tu ?
Sans ton puissant feu, plus le moindre jeu
Le stress et l’angoisse, ce serait l’impasse
Si tu te prélasses, oubliant le jour
Alors de guerre lasse, s’éteindrait l’amour.
Soleil où es-tu ?
Comble mon bonheur
Fais rire mon cœur
Soleil que fais-tu ?
Donne l’énergie
Donne-moi la vie.
samedi 27 avril 2024
« Messieurs, encore un effort »
Certes, Elisabeth Badinter a raison... mais cette
interpellation, à mon humble avis, est bien plus révélatrice qu’un simple
message pour régler des questions d’ordre ménager ? Mon imagination me porte à croire que cela
pourrait être comme une graine qui s’implante dans notre ADN « pour le meilleur des mondes », déjà
suggéré le siècle dernier par Aldous Huxley.
Oui, en ce troisième millénaires, tous les
ingrédients me semblent réunis pour qu’enfin nous soyons capables de prendre
les bonnes décisions et assurer le règne du Vivant ; comme prendre conscience que l’envoi de migrants au Rwanda, proposé par le Gouvernement de Rishi Sunak ne fasse pas l’unanimité et
provoque des polémiques ; ce qui me réconforte de croire en l’Homme de ce
XXIème siècle. La Livre Sterling
servirait-elle à livrer quelques-uns de nos frères d’Afrique en pâture dans un
pays qui se relève à peine du massacre des Tutsis ? La moindre étincelle ou la goutte d’eau qui
déborderait dans ces pays en quête d’industrialisation, pourrait se déclencher comme un volcan en éruption . Ces
raz de marée de cette jeunesse (en majorité subtropicale) débarquant dans nos
cités de l’UE ou des Îles britanniques n’agit-elle pas par élan mimétique
propre au genre humain ? Il paraît que
ce serait une des conditions indispensables à la survie de notre espèce… et
pas qu’elle d’ailleurs.
Cette grande Dame, veuve
depuis peu de Maître Robert Badinter, qui rehaussa la noblesse de l’esprit de
la France dans sa Constitution par l’abolition de la peine de mort, au début
des années quatre-vingt, m’incite, par le titre de son ouvrage littéraire, à
dévoiler une pensée qui depuis bien des décennies ne me lâche pas concernant
ces exodes massifs qui, suite aux problèmes climatiques, ne feront que
s’accentuer. Défis auxquels la communauté scientifique et politique se doivent
de se concerter évidemment, avec cette réflexion en amont: qu’à tout problème, il
existe une solution ; sinon le
problème n’existerait pas ! L’éminent professeur médecin physiologiste
Claude Bernard, ami de Balzac, avait conclu : « Il y a quelque part une idée directrice qui
préside à la conservation des êtres… ». Aux vues des avancées technologiques, j’ai tendance à croire qu’il y en aurait autant (de ces idées) que le nombre de
galaxies au-dessus de nos têtes… que le télescope James Webb ne
démentirait certainement pas. Aussi cette hypothèse (fiat lux de ma bonne étoile,
sans doute), du fait que ce sont nos villes démocratiques qui attirent cette
jeunesse bouillonnante de besoin d’être et de faire parmi nous, citoyens
protégés et urbanisés… mais, continuellement en désaccord. Nous voyons
que les débats politiques et économiques
n’aboutissent à rien d’autre
que de trouver les millions, voire les milliards d’euros, à dresser des
remparts, des ghettos et des primes pour
les rapatriements et soudoyer quelques dirigeants avides, exporter nos villes ne
serait-ce pas la meilleur solution ? C’est
une métaphore évidemment pour en ériger de nouvelles à taille humaine au milieu
de nulle part.
Qu’est-ce qu’une ville après
tout ? Un agglomérat de commerces, d’entreprises, lieu de culture et de
rencontre, d'habitats, d’écoles et d’universités, d'hôpitaux, des bureaux de police et des Tribunaux (des bons et des méchants, il y en aura toujours), etc. . Avec
les moyens dont nous disposons actuellement, ne dites
pas que c’est impossible d'éduquer des volontaires afin de bâtir des micros cités, les
nouvelles villes du futur autonomes et utiles.
Un exemple pour construire
une de ces micro villes d’utilité planétaire :
Encore un problème majeur de
notre époque nucléarisée… Projet, qui devrait être, en grande partie, financé
par les entreprises exploitant les centrales nucléaires. En effet, à ma connaissance, le stockage des
résidus reste un sujet tabou, avec de nombreuses inconnues quant à la sécurité
à long terme pour notre biosphère. En plus,
ces déchets radioactifs sont enfouis pas très loin des zones humides à grande
densité d’activité humaine. Pourtant,
sur la surface de notre globe, des déserts arides, en raison de la sècheresse,
hostiles à la vie, tapissent des millions d’hectares qui ne profiteront pas
de la moindre goutte d’eau parfois pendant des décennies. Je vous pose la question que vous soyez dirigeants politiques, scientifiques,
d’entreprises ou d’un empire du WEB (GAFAM), est-ce que bâtir
des pyramides dans ces lieux ensablés pour y enfouir, sous leurs pentes, véritables boucliers à
l’épreuve du temps, ces déchets radioactifs serait-ce une idée utopique ?
Il faudrait que s’y implante
une cité à proximité pour abriter les milliers de travailleurs avec leur famille. Enfin, selon l’humaniste Théodore Monod (qui
traversait encore à plus de quatre-vingt-dix ans à dos de méhari, le
Sahara), l’utopie est quelque chose qui n’est pas encore arrivé.
Les Pyramides »,
sur une musique rock de Jean-Marie Dorval, (quel talent ce devenu ami, dès lors ! Oui l’amitié c’est une question de projet en commun).Une véritable symphonie, où j’ai même réussi à y placer mes mots.
Bon réveil pour ce dimanche prometteur pour la Planète.
(Je sais, vous avez raison, je mérite le prix Nobel, avec Jean-Marie, bien sûr !...)
Pas d'accord? Bon, la chanson du siècle... Non plus? ...Bien, juste celle de maintenant à partager avec vous. Merci amis lecteurs!
Les pyramides, bibles de pierre.
Homme, homme tu cours bien vite pour lancer tes satellites
Aucun progrès ne peut se faire si le passé t’indiffère
Regarde un peu ces pyramides qui furent bâties bien avant Rome
N’est-il pas là ce précieux guide : le Grand ‘œuvre qu’on cherche en somme
Parmi les sept merveilles du monde que les poètes glorifièrent
Victor Hugo des plus lucides
Décrit la Grande Pyramide la surnomma Bible de pierres
Observez bien les pyramides des blocs de pierre tellement parfaits
Grâce à l’outil qui les taillait Certaines rumeurs parlent de laser
Le message me semble clair Permettez-moi cette hypothèse
De la chanter me met à l’aise
Qui dit laser dit nucléaire pour éclairer ce grand mystère
Comment pourquoi ces pyramides ?
Des pyramides…suis-je stupide
Mais je m’inquiète pour les techniques
Qui gèrent les déchets atomiques
Ça ressemble plus à du suicide
Chers marchands de nucléaires pourquoi ne pas faire des pyramides
Pour y stocker toutes ces matières dans les endroits les plus arides
Loin des rivières sources de vie
De toutes les mers qui en ont marre des marées noires
Des pyramides
Allons bâtirent des pyramides
Avec tous ceux qui cherchent à faire
Avant que tout ne soit plus que désert
Sauvons la Terre avec l’aide des pyramides
Rien que de penser aux pyramides
On oublierait de faire la guerre
Les nations même les plus rudes
Devront s’unir du Nord au Sud
Les bâtisseurs d’empires le défi est de taille
Le germe de vos idées naîtrait des entrailles
De celles que le poète perçut comme une bible
Une bible de pierre pour retrouver la Foi
De plusieurs millénaires… sonne bien fort le glas
De toutes ces guerres pour qu’on puisse enfin vivre en paix.
mardi 23 avril 2024
Et comme toujours le dollar va-t'en guerre (61 milliards pour l'Ukraine, 13 pour Israël et 8 pour Taïwan)
Arrangements et guitare-basse: Alan Booth Pierrot de Biesme guitare Batterie Bob Darch Piano Rudy Mynaert Duo avec, pour la partie en anglais, Joëlle Neef
…/…en fait la langue yougoslave n’existe pas, que finalement je trancherai par « Anglais, Français pour vous le dire ! » :
La Vie, la Vie...la Vie…
Yougoslavie, Yougoslavie
You, Gosses, la Vie !
Anglais, Français pour vous le dire :
La vie, la vie, la vie !
Yougoslavie,
Faut-il traduire
You, gosses, la vie ;
C’est bien le contraire de mourir.
La vie, la vie, la vie !
You’s -for the friends
Gosses -Means the children
You, gosses, la vie
La vie -The life and not the end!
You, gosses, la vie!
Yougoslavie!
Y-a-t-il sur Terre plus joli nom
Yougoslavie
Each land would love to sheare his name
Yougoslavie!Yougoslavie!
Yougoslavie Yougoslavie!
You, gosses, la vie!
Anglais, Français pour vous le dire :
La vie, la vie, la vie !
Yougoslavie...You !
mercredi 17 avril 2024
À l’aube du 15 avril dernier, j’avais écrit sur mon blog, « mesparaboles.blogspot.be » :
.../...Notre psyché est totalement en infraction
avec la vie sur la planète. Notre cerveau est comme un moteur mal
alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son
manque de discernement.../...
Oui, entre autres ?
Et nous pourrions, quoique l’un découlant des autres, également citer – oui
je dis bien citer, car c’est de l’agglomérat excessif, les cités, les villes de
plus en plus tentaculaires qui croissent comme des furoncles, des tumeurs,
résultat d’une sédentarisation excessive et engendrant des politiques impuissantes
à résoudre la bonne entente entre les humains -.Ne nous leurrons pas, nous le savons parfaitement bien que le « chacun
pour soi » est la tendance qui prime dans nos esprits et qui peut
entraîner les pires actes dont l’Histoire est parsemée d’écueils.
Donc revoir l’évolution
des villes pour l’ensemble du Vivant me semble une grande priorité.
Ah, ces villes surpeuplées ...(et les conséquences)!
Envers et contre tous…Peut-être, le cheminement du vers
Me plonge parfois dans des décors – Non, pas imaginaires ! –
Non !Je précise, bien au contraire, plutôt très terre-à-terre.
Le « tous » et pas « tout » ; le premier désignant l’humanité
Avec tout ce qu’elle a engendré, en bien ou en mal ;
L’autre, le monde du vivant et vibrant dans sa globalité
De notre planète, qui dans l’univers avec sa bonne étoile:
Le soleil, danse comme une amoureuse à son premier bal.
C’est vrai qu’elle semble, aux yeux du cosmos, si juvénile…
Pourtant déjà, pareille à une vieille en fin de vie près du poêle,
Toute ridée ; se souvenant de ses garçons et même de ses filles
Qui l’ont abandonnée, préférant les tentations des villes.
Dans une ville de fracas, où les chantiers battent
Le rythme des vies qui viennent, ou qui partent
Sous ce ciel enfumé que percent des sirènes
D’ambulances folles, d’ambulances trop pleines.
Pour faire face aux buildings, les petits toits des logis
Veulent tenir bon, mais craquent sans oraison.
Refrain :
La ville se transforme et nous transforme
La ville change son cœur de pierre
La ville voudrait devenir énorme
La ville s’écoule vers une autre ère.
Dans cette ville de fracas, qui trop tôt nous réveille,
On n’a plus besoin de réveille-matin :
Des grues gigantesques nous tirent du sommeil
Et nous lâchent pêle-mêle aux ingrats lendemains.
Les bosses et les fosses, que l’on côtoie,
Ressemblent à des tombes ; il ne manque que les croix.
Dans cette ville de fracas de travail éternel,
L’orgueil va bon train dans ces tours de Babel.
On y chasse la nature à grands coups de pioches.
On y chasse la vertu à grands coups dans les gosses.
On y prend son parti, se croyant libéré;
Mais la pleine liberté, c’est surtout d’être entier!
Les besoins de la ville, non contente des hommes,
Pour jouer au Soleil s’en est prise à l’atome :
Cette ville de lumière nucléaire débile,
N’a-t-elle rien compris après Tchernobyl ?
C’est aussi dans cette ville, au service de Caïn,
Que l’on dit à Dieu : « Non ! Retourne d’où Tu viens ! »
Ô ville ! Cité d’autrefois, quelle que soit ta culture,
Les rires d’enfants résonnaient dans l’air pur.
Ô ville ! Toi qui servais la vie et protégeais nos filles
Déterminais si bien la tâche et le maintien ;
Délimitais tes droits à de simples murailles,
Ton cœur avec le nôtre, battait dans tes entrailles.
lundi 15 avril 2024
À la fin de
sa vie, Badinter disait :
L’Homme est
un animal qui tue...
Oui, ce
gigantesque être vivant qu’est la Terre est bien frappée d’un cancer que sont ces
radicaux libres : nous les Homo Sapiens.
Notre psyché
est totalement en infraction avec la vie sur la planète.Notre cerveau est comme un moteur mal
alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son
manque de discernement. Au vu des événements...
Adieu ce
fameux cinquième commandement :
« Tu
ne tueras point ! »
Coupables ?
Mais bien sûr que nous sommes coupables...Moi comme les
autres !
Déjà,
il y a plus de vingt-et-un siècle, sous les yeux des apôtres,
Un
Ponce Pilate s’en lavant les mains, abandonna à la plèbe et aux marchands
Qui
décidèrent du sort de ce Fils de l’Homme – et de Dieu pour les croyants .../...