À la fin de
sa vie, Badinter disait :
L’Homme est
un animal qui tue...
Oui, ce
gigantesque être vivant qu’est la Terre est bien frappée d’un cancer que sont ces
radicaux libres : nous les Homo Sapiens.
Notre psyché
est totalement en infraction avec la vie sur la planète. Notre cerveau est comme un moteur mal
alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son
manque de discernement. Au vu des événements...
Adieu ce
fameux cinquième commandement :
« Tu
ne tueras point ! »
Coupables ?
Mais bien sûr que nous sommes coupables...Moi comme les
autres !
Déjà,
il y a plus de vingt-et-un siècle, sous les yeux des apôtres,
Un
Ponce Pilate s’en lavant les mains, abandonna à la plèbe et aux marchands
Qui
décidèrent du sort de ce Fils de l’Homme – et de Dieu pour les croyants .../...
On
l’appelait
L’Essénien ?
Ont-ils survécus ? Oui, par l’oubli de
leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,
vecteur de conflits depuis la nuit des temps.
Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants
Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire », il doit être pur
Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi
J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents
Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant
J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant
Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça
Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion
Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille
Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la Terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement
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