Un certain coût... |
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Ce livre est né il y a trois ans. Je rédigeais alors une thèse d’histoire sur le travail des femmes et des hommes dans l’artisanat et le commerce aux XIXe et XXe siècles, explorant à cette occasion des études sur leurs places respectives dans des domaines très divers de la société. Au fil de mes recherches, je suis tombée sur |
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Ce petit livre est fabuleux....
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Extrait
.../... Je tiens à rassurer les lecteurs, la solution que je propose a déjà fait ses preuves pour la moitié de l’humanité ! Renaud le disait déjà mieux que moi dans sa chanson « Miss Maggie » en 1985, évoquant la politique mise en place par Margaret Thatcher alors Première ministre du Royaume-Uni. Il y exprime avec impertinence et humour son aversion pour les hommes et leur « morale guerrière », les désignant comme responsables des pires actes commis par l’humanité : les génocides, la création des armes de destruction massive, mais aussi les violences quotidiennes. À l’inverse, il souligne l’absence des femmes dans ces atrocités et leur rend hommage, tout en égratignant Margaret Thatcher à la fin de chaque couplet.
Aussi, comme le chante Renaud, les femmes sont pacifiques, comparées aux hommes. Tout comme eux, elles sont capables de violence, mais en proportion elles s’y adonnent très peu. Alors, n’aurions-nous pas tous intérêt à nous comporter… comme les femmes ?
Lucile Peytavin.
Le coût de la virilité.
Anne Carrière, 2021.
Merci,
cet extrait de Lucile me rappelle une ancienne émission "Thé ou café" de Catherine Ceylac où dos à dos, elle posait la question à Pierre Arditi : "Si vous étiez une femme..." et le grand comédien répondit sans hésiter " Mais je suis une femme tous les jours! ".
Par ailleurs, à ton précédent courrier électronique intitulé "Carte Blanche " de Mathieu Golinvaux qui s'inquiète pour les restrictions de financements de la Région wallonne, démontrant, qu'au contraire, l'UPFF+ joue un rôle très positif aussi bien sur le plan national qu'international, moi l'homme de la rue ( de la Petite rue des Bouchers, plus précisément

) et ancien restaurateur, permets-moi, cher Philippe, de prendre la balle au bond. Tous ses imbroglios politiques, où le bon sens n'a plus vraiment sa place, puisque c'est de Carte blanche qu'il est question, cela me fait penser au menu du chef et de sa mayonnaise qui aurait raté. Déjà nos grands-mères savaient comment la rattraper. On en reprend une petite cuillère à café et , dans un bol à part, une même quantité d'eau froide, et on tourne avec un fouet énergiquement; progressivement en y incorporant la mayo trop liquide qui retrouvera sa consistance. Pareil en politique et surtout quand il s'agit de budgets. Plein d'idées se chevauchent , il faut en trouver la bonne et s'y tenir à fond. Il y en a certainement une quelque part. qui préside à la conservation des Êtres , comme nous disait Claude Bernard.
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