Il faut savoir qu'on est toujours l'espoir d'un autre...
mercredi 25 juin 2025
dimanche 22 juin 2025
Je lis ce matin un extrait, grâce à Philippe Dion,
professeur de philosophie, cette conclusion d'une auteure scientifique à propos
du mensonge des élites et des politiciens.
Moi personnellement, mes propres réflexions sont que
l'Homme est une erreur de la Nature et je ne vois pas de solution.
Déjà Robert Badinter, en fin de sa vie, avait répondu à Augustin
Trapenard, animateur de « La Grande Librairie »
: « L’Homme ? Une bête qui tue !
Claire Nouvian.
L’Écologie du XXIe siècle.
Le Seuil, 2019.
Un peu surpris quand même, au lendemain de
la Fête de la Musique, pourquoi cher Professeur ce texte de Claire Nouvian ? Ah oui, je sais (ou ne sait pas, après tout)
... Une question très socratique, au
fond ! Après l’euphorie
inconsciente, le retour à.… la recherche du Graal, de la Vérité ?
À ce bât qui blesse, l’Individualisme, oui, au fond...Mais de la marmite de Pandore...Ô Espoir, pour te servir, cette chanson ...
Ta gueule Georges ! Tu ne vois pas la dernière Info ? La
Bombe libérale a de nouveau frappé !
C’est sans espoir, mais je continue à
chanter, c’est élément Terre, chers
bêtes qui tuent.
L’Essénienne ?
samedi 21 juin 2025
Aujourd'hui, Fête de la musique? Eh bien hommage à la chanson
Quand la chanson est reconnue
CLIQUEZ ICI POUR ECOUTER CETTE CHANSON
Quand une chanson voit le jour
(Hommage à Charles Trenet)
mardi 17 juin 2025
« Les choses sont sans espoir ?
Pourtant
{...} déterminés à les changer »,
Puisque tu l’avais si bien écrit, cher Francis Scott Key Fitzgerald, prophète sans le savoir puisque disparu avant (en 1940) de l’ignominie des Nazis ...La guerre, la guerre ! Nous y voilà à son éternel retour, comme
dirait Nietzsche...L’Iran maintenant !
Aussi, faisant partie, je l’espère, de ces gens déterminés, je me
répète...Mais finalement, ça devient lassant, n’est-ce pas ?
Pauvres de nous, ces hommes que nous sommes,
dominés par :
Orgueil, fric et panique
Sous
des airs démocratiques
Mais sont les trois tyrans
Qui perturbent notre temps !
Et pour la xième fois :
La Valse des missiles
Un
clic sur ce lien pour écouter la chanson
Arrangements : Alan Booth
Les petites guerres de Babel
auraient pu être risibles
Le Coran ou la Bible au fond
c’est le même missel
Mais le fanatisme odieux
jette de la poudre aux yeux
Comme on ne voit plus rien
est-on encore humain ?
Maintenant des missiles se
lancent sur des villes
C’est quoi ces missiles qui
tombent sur les villes ?
Refrain :
La Valse des missiles cadence
la ville
Même si c’est à trois temps
se compte en mourant (bis)
Lorsqu’on se réfère à un
parti lié
On perd quelques frères
faut-il les tuer ?
Souvent avec grâce on
reconnaît l’erreur
On sort de l’impasse en
écoutant son cœur
Mais quand on est tenace
n’osant perdre la face
Relations de grimaces,
bonjour les angoisses !
De nobles militaires nous
protègent du dehors
Et d’autres en manque de
guerres, en dedans font des morts
Menacent qu’ils prolifèrent
pour que marche l’exode
Sont surtout solidaires aux
usines d’armes qu’ils rodent
Certains de ces travailleurs
ont parfois des coups de cœur
Ils déposent le fusil quand
de jeunes filles défilent
Refrain B
Quand valsent les missiles
(il) vaut mieux ne pas être une fille
Ça viole en moins de temps
qu’une valse à trois temps (bis)
Étrange petite planète du
monde des affaires
Bien des hommes s’endettent
pour le métier de la guerre
Et d’autres font la fête
liquidant leurs surplus
Enfin ça réveille l’Histoire
évolue
Orgueil, fric et panique sous
des airs démocratiques
Mais sont les trois tyrans
qui perturbent notre temps
Refrain C
La valse des missiles cadence
la ville
Et toujours à trois temps
pour que comptent les marchands
La valse des missiles cadence
la ville
Mais comptez vite, comptez vite,
il ne reste presque plus de temps
samedi 14 juin 2025
Kai ta hetera
Pour parler
comme les anciens Grecs, l’ancêtre du « etc. », à savoir : « Kai ta hetera » signifiait «
...et d' autres choses ».
Réflexion, suite
à un épais bouquin qui, depuis des années, se languissait tout en haut de ma bibliothèque,
quasiment inaccessible. Enfin, je m’étais décidé à le lire, intrigué
par ce titre de roman : « L’Évangile
du fou » de la plume de Jean-Edern Hallier. Roman assez déroutant effectivement de ce journaliste écrivain,
très polémiqué sur les plateaux de télé du temps au Pouvoir de celui qu’il
considérait comme un traître : le Président François Mitterrand. Hélas, Ô ingratitude de ce soi-disant ami devenu
président, aussi noble que fut sa mission, celui-ci l’avait écarté du système
gouvernemental, alors qu’il l’avait aidé à gagner les élections présidentielles
face à Valéry Giscard d’Estaing ! Rien d’étonnant qu’à la première occasion, ce prolifique auteur,
– on se venge comme on peut -, informera le grand public de l’existence secrète
de la Mazarine, fille illégitime du grand chef de l’hexagone à l’époque... Ce qui
accentuera évidemment l’inimitié entre l’Homme du Pouvoir et cet autre homme de
l’Info...Donc, comme dit plus en amont: un écrivain très « polémiqué » !
Bien que l'on soit un peu vacciné après avoir lu du Céline et du Philippe Roth, la surprise ne manque pas en parcourant cet inépuisable verbiage littéraire, manuscrit de sa mère morte, comme il le répète souvent... Mère qu’il prétendait ne pas aimer, mais où l’on perçoit, en parcourant les pages, l’intensité du chagrin de ce fils doué pour lancer les équivoques en parlant d’elle...Qu’elle fut une grande amie de Saint-Exupéry...qu’il est question d’un Charles de Foucauld, l’aristo dépensier, devenu saint...d’un Laurence d’Arabie... Et, à chaque fois, au lieu du simple et court « etc. », si pratique pour le narrateur, ce Hallier des mots, pour clôturer ses énumérations, usait du « HEC Cetera » à gogo... Que, in fine, pour en avoir le cœur net, je consultai Wikipédia, qui du latin « et Cetera » me conduira au grec de « Kai ta hetera » (signifiant : et d' autres choses). Effectivement, il me semblait raisonnable de passer à autre chose.
Pas très jojo mon blog du 12 juin dernier au sujet de ce "surveillanticide" à Nogent, qui vient de blesser encore une fois, au plus profond de sa chaire, le corps de l’Enseignement...Non pas que je veuille minimiser la douleur, suite à l’acte meurtrier...Je prie pour cette jeune mère de famille qui s’est trouvée là au mauvais endroit et au mauvais moment sur le chemin d’un adolescent au « cerveau fragile* », frappé de démence assassine.
Et que dire au
sujet de ces nouveaux projets « Deep
sea Mining » que lancent les USA et la Norvège en vue d’exploiter
les fonds marins et le fleuve Amazone, pour extraire
des terres rares et des minéraux précieux, nécessaire à la fabrication des nouvelles
batteries pour, entre autres, les véhicule électriques (non polluant ???)
En conclusion de
cette émission, nous le savons, mais nous le rappelle Léa Salamé :
Comment ? Par la raison et le bon sens que s’évertuent les
observateurs et les scientifiques, les experts d’inculquer aux masses
consommatrices ...mais encore atteindre la psyché, l’ADN de chaque Individu qui
la compose...
Aussi par le cœur, le rôle d’une chanson :
Petit rappel:
« On assiste à l’effondrement des océans en direct » constate le chercheur Olivier Adam (Sorbonne/CNRS), qui souligne qu’au rythme actuel, « il n’y a aucune raison qu’il reste des cétacés dans les océans d’ici quarante à cinquante ans ».
(GoodPlanet Mag du 27 mars 2024).
Ah oui aussi, ce rapport de la scientifique Véronique Lesage (trouvé sur le Web)!
Les baleines agissent comme une pompe qui remet en circulation le poisson et le zooplancton ingéré en profondeur à la surface sous forme de matière fécale riche en azote. Ces nutriments sont essentiels à la production primaire de l'écosystème marin. Les baleines sont des sentinelles de la santé des milieux marins.
..ET pour la énième X
PM: Échouage de quatre cachalots à Coxyde (Belgique).
Novembre 1994.
Mais en venant les voir j'avais mon clebs infernal
Je n'ai plus qu'en mémoire cette odeur tombale
Hurlant comme loup devenu fou
Cette vue insolite l'a rendu triste
Et je hurle
Ne gâche pas l'eau des Cachalots
jeudi 12 juin 2025
Et toi chère Françoise Dolto, qu’en penses tu de ces adolescents qui tuent ?
Oui mais, cet adolescent au couteau, puisqu'on reçoit quelques nouvelles infos : une surveillante l'aurait réprimandé parce qu'il embrassait une fille...ce qui l'aurait rendu fou? Il imaginait sans doute dans son monde virtuel que les pulsions amoureuses soient parfaitement légitimes. Cette réalité brutale, de la garde institutionnelle, le ramène d'un coup à la réalité du système coercitif où, hélas, partout dans le monde, il ne voit que haine et vengeance aveugle... Et voilà, une victime de plus...Non, deux!
PR. Issue du drame du Bataclan qui nous avait marqué à jamais, cette chanson :
Je t'aime mon enfant...
Les jeunes souffrent et s’entretuent à coup de marteau... Et, l’I. A., pourra-t-elle régler ce problème ahurissant ? Selon le philosophe Éric Sadin, « rien n’est plus urgent de garder vivantes les institutions où s’élabore la vie, qu’il s’agisse des écoles, des parlements ou des tribunaux » ...Et moi, simple homme de la rue, puis-je ajouter : le maintien des familles, du couple parental, et les « je t‘aime mon enfant »
PR...Ce n'est pas très ancien, ces kamikazes qui nous terrorisaient... quand j'écrivis cette chanson:
Duo avec Joëlle Neef
J
lundi 9 juin 2025
En ce Lundi de
Pentecôte, et que hier encore, je rappelais ce poète disparu, Marcel Ginion, (opération du Saint Esprit qui sait s’Il
ne me tombe pas à l’instant sur la tête ?)
En fait, ce
fut grâce à son poème « Marie-Madeleine ». Il m’était venu l’idée de le chanter... de là
naquit ce lien complice qu’on appelle : amitié.
Petite
recherche dans Wikipédia où je viens de lire :
Les Évangiles divergent quant au fait qu’elle ait
effectivement assisté à la crucifixion, et l’absence de traces de son passage
sur Terre a laissé le champ libre à l’imagination des artistes.../...
« Le nom de Marie Madeleine résonne profondément chez les
nombreuses personnes qui ont l’impression que leurs voix et leurs histoires ne
sont pas entendues ou valorisées, {.../...}
Aussi, très bonne idée l’ami Marcel... et voilà pour te servir :
Marie-Madeleine
(Poème de Marcel Ginion 1917-2005)
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Grâce aussi à Jean-Marie Dorval pour les arrangements
Et tu fus la plus belle, Marie-Madeleine
Comme un fruit défendu d'un superbe limon.
Comme un très beau péché dans tous ceux que l'on traîne,
Comme un pieux mensonge après les grands sermons.
J'ai brûlé mon visage à tes seins de prêtresse
Colporteuse d'amour sur les chemins de Dieu
Et j'ai bu le calice de ma folle jeunesse
Sous le reflet changeant de l'éclair de tes yeux.
Tu étais du mélange de silice et de glaise
D'une argile craquée au grand feu des maudits
Où s'accouple l'ivraie et les blés de Genèse
Sur les Terres brûlantes de l'espace interdit.
Pauvres amants perdus dans le piège du monde
A ton corps de poussière se confient tout haut
Dans le gris des matins aux lueurs vagabondes
Ils repartent transis avec les chemineaux.
Marie-Madeleine dans ta chambre enfin close
Si ton âme s'inquiète près du vieux chandelier
Ne te crois pas coupable de l'épine des roses
La faute en est aux dieux de nous avoir créés.