mercredi 13 juin 2018


Presque l’Épilogue et la Croisée des chemins

À chaque problème la solution,  n’est-ce pas ?  Et parfois il faut des millions, voire des milliards d’années,  pour qu’elle finisse par apparaître.  Un être doté,  sans doute d’un instinct de survie plus intense que d’autres,   pour lui et sa famille,  son groupe,  découvre,  constate par son observation du milieu dans lequel il évolue,  par hasard ou suite à une pugnacité sans relâche -  ce qui va souvent de pair : le fameux Eureka d’Archimède ou la pomme de Newton  - apporte sa contribution à la bonne évolution des choses.    Il me semble que  la foi est l’élément  le plus déclencheur.  De là,  la philosophie devait entrer dans la danse avec toute sa spiritualité que nous connaissons (ou essayons  de connaître)  en imaginant un dieu créateur ou destructeur à souhait,  qui existerait ou non.   Nous constatons des avancées technologiques,  médicales,  d’aller de plus en plus loin,  de communiquer de mieux en mieux.  Ce  qui nous fait des bonds fantastiques qui nous rassurent quant à nos  destinées,  encore inimaginables le siècle dernier.  Hélas,   nous constatons  aussi les comportements belliqueux, pervers et égoïste du genre humain qui s’aggravent !  Mais tout ça nous le savons !  Est-il nécessaire de le ressasser encore ?  Toutes mes excuses, chers visiteurs,  je glisse une fois de plus vers  la négativité.  Enfin,  à toute action une réaction!  Me voilà  comme sur la terre battue à Roland-Garros à renvoyer de mon revers impitoyable cette balle effrontée qui ne vise qu’à me rabaisser dans le clan des perdants. À ras du filet quelques unes de mes idées et de mes  réflexions,  c’est le moment car ce blog donne son dernier set.
  Ce sera pour demain et aujourd’hui,  juste cette chanson pour tous les enfants du monde qui souffrent encore du manque d’amour et de la faim,  composée en lisant un article sur des escadrons de la mort à Bogota,  il y a plus de trente ans.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire