Presque l’Épilogue
et la Croisée des chemins
À chaque problème la
solution, n’est-ce pas ? Et parfois il faut des millions, voire des
milliards d’années, pour qu’elle finisse
par apparaître. Un être doté, sans doute d’un instinct de survie plus
intense que d’autres, pour lui et sa famille, son groupe, découvre, constate par son observation du milieu dans
lequel il évolue, par hasard ou suite à
une pugnacité sans relâche - ce qui va
souvent de pair : le fameux Eureka d’Archimède ou la pomme de Newton - apporte sa contribution à la bonne
évolution des choses. Il me semble que la foi est l’élément le plus déclencheur. De là, la philosophie devait entrer dans la danse
avec toute sa spiritualité que nous connaissons (ou essayons de connaître) en imaginant un dieu créateur
ou destructeur à souhait, qui existerait ou non. Nous constatons des avancées technologiques, médicales,
d’aller de plus en plus loin, de
communiquer de mieux en mieux. Ce qui nous fait des bonds fantastiques qui nous
rassurent quant à nos destinées, encore inimaginables le siècle dernier. Hélas, nous
constatons aussi les comportements
belliqueux, pervers et égoïste du genre humain qui s’aggravent ! Mais tout ça nous le savons ! Est-il nécessaire de le ressasser encore ? Toutes mes excuses, chers visiteurs, je glisse une fois de plus vers la négativité.
Enfin, à toute action une
réaction! Me voilà comme sur la terre battue à Roland-Garros à renvoyer
de mon revers impitoyable cette balle effrontée qui ne vise qu’à me rabaisser
dans le clan des perdants. À ras du filet quelques unes de mes idées et de mes réflexions,
c’est le moment car ce blog donne son dernier set.
Ce sera pour demain et aujourd’hui, juste cette chanson pour tous les enfants du
monde qui souffrent encore du manque d’amour et de la faim, composée en lisant un article sur des
escadrons de la mort à Bogota, il y a
plus de trente ans.
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