" -Je me marre, je pensais être le seul con, mais maintenant je sais que j'ai un frère..."
Ma réponse
Cher frère,
On s'est un peu côtoyé c'est vrai... qui me fait ce plaisir d'entretenir cette furtive correspondance, et te remercie encore de tes réactions parfois acerbes - c'est tjrs mieux que des silences -. Ce dernier texte du blog qui, et tu as raison, semble tout-à-fait farfelu, introduira ce qui me tient le plus à cœur: le problème de la bouffe. Puis-je te rappeler - ce que je peux dire à ce stade de ma vie à l'aube mes quatre-vingts ans - que le titre initial de cet essaie devrait s'intituler " J'avais tout faux" . En effet, j'ai perdu mon bateau qui n'a jamais rempli sa mission vers les boat people en Mer de Chine, bateau qui devait abriter un petit groupe "Instincto" (pas de cuisson des aliments) , mais qu'un Jean-Louis avait réussi à chasser et prendre le contrôle absolu du Spirit of Sindbad; mes chansons???, n'en parlons pas (comme disait Martine, une de mes anciennes copines : si t'avais du talent ça ce saurait!) ; et ma dernière épouse, que tu as rencontrée à la Péniche à Wavre, m'a quitté depuis deux ans . Quand ça te tombe dessus à plus de septante ans c'est assez inattendu. Mais je peux t'informer qu'au Tribunal de Dinant pour le prononcé du divorce ( la seule fois que je la reverrai) ce sont que des vieux qui divorcent. C'est donc dans l'air du temps, et je me dis souvent qu'elle a bien fait. Les mamys préfèrent les petits-enfants que les papys vieillissants. C'est comme les abeilles, à la veille de l'hiver elles jettent les faux-bourdons hors de la ruche. Au fond, - mais des lamentations est-ce bien nécessaire dans ce monde qui ne cherche qu'à se distraire? -, j'avais pensé à "Faux-bourdon" comme titre au singulier. C'est vrai que le pluriel me tentait , mais avais-je le droit d'associer les autres à mes idées, par " Nous avons tout faux".
En fin
... Fani, de nouveau un cyclone en Inde !
... Fani, de nouveau un cyclone en Inde !
« Mayday, mayday Grande terre malade ».
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Mayday, Mayday …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt en chœur cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Les océans se fâchent, la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday, Mayday …
Un enjeu de taille : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère, le fond des cratères ;
La lave c’est pratique, ça lave aussi docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans des usines de tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles, devenues inutiles.
Les champs de pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus d’une cinquantaine ;
En plus des pollueurs règnent des affameurs !
Mayday, Mayday ! Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Arrangements: Philippe Capon
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