« Que si ce n’est pas toi qui le
fais, qui le fera? que si tu ne le fais pas maintenant, quand le
feras-tu ?; que si tu le fais que pour toi, t’es pas vraiment digne d’être
un homme ».
Le souci d’écrire où je crois atteindre quelques humains,
avec moi en ligne de mire en tant que premier lecteur, car qui se soucierait
plus de moi que moi ?, mais pas que de moi, sinon qui serais-je, prêchait
déjà cette maxime juive de plus de vingt siècles ? D’accord, cette prise
de conscience existentielle a mis un certain temps pour que je puisse admettre
ma propre singularité ! Aussi, à ce
jour, il n’est plus question de remettre aux calandes grecques mes visions de
comment je vois le monde – Oui, je sais, Einstein l’a déjà énoncé! – Unique le père de l’atome brisé ? Mais c’est relatif, nous sommes tous uniques…vous
et moi censés nous surpasser. Chaque Homme,
il me semble, peut atteindre sa propre transcendance… et alors n’est-il pas de
son devoir d’agir en conséquence ?
- Un peu présomptueux,
petit Georges, ne trouves-tu pas ? À ce titre de te sentir unique, te
permet-il d’énoncer ce genre d’affirmation? On dirait que tu tournes autour du
pot. Quels sont tes fameuses visions ?
-
I
have a dream…Zut, Martin
Luther King l’avait déjà dit !
D’ailleurs
ce n’était pas un rêve, mais une façon d’introduire son sujet. Ces hommes-là même s'ils rêvent , ils agissent surtout! Mais encore une fois je pense l’avoir - et pas
que moi - dit et rereredit : « À
chacun son destin ! », Einstein, Martin Luther King et moi, sans
oublier Sœur Theresa, Donald Trump, le
Pape François et Rabbi Jacob, on a tous sa particularité qui fait que les
polémiques politiques concernant le réchauffement climatique, la pollution, la
déforestation, les migrations de masse… que le propre de l’homme n’est plus le
rire, (sauf en se moquant du cinquième
commandement « tu ne tueras point ! »), mais l’orgueil
de domination de l’Autre, cet autre, cet étranger. Oui j’ai des visions, mais je les énoncerai
demain dimanche. Aujourd’hui , veille du 14 juillet
2019, les Français sont en fête !
Feux d’artifices, musiques tonitruantes qui traversent les murs et les
fenêtres. Impossible de me concentrer.
En attendant:
En attendant:
Mayday, mayday Grande terre malade ».
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Mayday, Mayday …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt en chœur cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Les océans se fâchent, la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday, Mayday …
Un enjeu de taille : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère, le fond des cratères ;
La lave c’est pratique, ça lave aussi docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans des usines de tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles, devenues inutiles.
Les champs de pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus d’une cinquantaine ;
En plus des pollueurs règnent des affameurs !
Mayday, Mayday ! Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Arrangements: Philippe Capon
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