Jean Jouzel à propos de la COP 25
:
« Pour la première fois en
19 ans de négociations climatiques, je repars sans avoir vu d’avancées. »…Et
l’ancien vice-président du groupe scientifique du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du
climat) poursuit : : « Un monde bas carbone
implique un nouveau mode de développement qui n’est pas tourné vers la
croissance du PIB. La croissance économique se révèle incompatible avec la
lutte contre le réchauffement climatique. »
Au fond,
Break/fric...
ze solution
Car, à mon humble avis, pour rappel, que l'on ne résoudra pas les problèmes avec ce qui les a engendrés (selon Einstein): décisions politiques (et hélas!, que politiques pour décider), taxes carbones, sanctions économiques...etc. (toujours une question de fric, comme si c'était l'unique solution)
Dollar ! Dollars !
Dollar ! dollars ! Dollar ! dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollar ! dollars
J’avais un rencart
Avec une belle qui n’fume pas
De plus végétarienne
Moi qui mange comme une hyène
Hormis les insectes !
On est plutôt charognard
Quoi c’est infecte ?
Mais nous vivons du trépas
Dollar ! Dollars Dollar ! dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollar ! dollars
Du sang et des cris
Défilent dans mon esprit
Je vois des chevaux qu’on abat
Comme du vulgaire bois
À grands coups de masse
Par des hommes d’autrefois
Qui n’ont rien compris
Que voulez-vous que la bonne y fasse ?
Dollar ! dollars ! Dollar ! dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollar ! dollars
De la politique de l’autruche
Ressurgissent les extrêmes
Qui « nazisent » les « je t’aime »
Même si l’Euro les condamne
Ils dansent toujours dans la ruche
Du quartier de Notre dame
Les dollars te vaguent à l’âme
C’est une question de « How much ? »
C’est que du papelard
Soufflerait Gainsbar
Allumant sa gitane
Pour se cacher de ses fans
Mais en réalité cette timidité
Te mène sur le billard
Et j’oubliai la cloppe
Dans l’dernier « sex-shop »
Plus d’habit de cowboy
Qui me collait à la peau
Mon Smith and Wesson
Jeté dans la Seine
Je partis comme un homme
Aimer Marie-Madeleine
-Quoi tu n’as pas de dollar ?
Me dit-elle au plumard
Hélas !, je n’suis pas Johnny
Et m’exilai tout petit
Et je pris la guitare
En pensant aux dollars
C’est ici que finit cette histoire
Mais ce n’est qu’une histoire de dollars
Guitare-basse: Alan Booth ;
Guitare : Roland Kert ;
Piano : Rudy Mynaerts ;
Batteries : Bob Darch
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