« Nous sommes appelés à renaître, à congédier en nous le
vieillard amer !!! »
D’accord…très belle citation de Christiane Singer que je découvre à l’instant,
et ce Nous "m'intimise" en quelque sorte vers cette pensée
profonde de l’écrivaine disparue en 2007 à soixante-quatre ans; d’y déceler une
petite lueur au travers de cette muraille d’années de mes doutes et de mes
frustrations qui m’entoure... et me freine à toute envie. C’est donc à méditer ? Mais non ! Rebondissons au plus vite sur
ce précieux conseil…Voilà ce petit rappel d’une impulsion existentielle qui
m’était venue en 1987 :
L’Essénienne ?
Arrangement digital: Jean-Marie Dorval
Une voie, un chemin
très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de
Jésus.
Ont-ils
survécus ? Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non
affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit
des temps. En bref, sortir du nationalisme...dans un premier
temps: être Européens...ensuite , peut-être Terriens...si...
Écoutez les amis un
instant
J’ai trouvé le
chemin éternel
Que nous soyons de
simples mortels
Dans l’ensemble
nous restons vivants
Je vous parle au
nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut
agir en mesure
Qu’en chassant cet
enfer du dedans
Pour « bien
faire », il doit être pur
Que du fond de
l’abîme où nous sommes
On puisse encore y
trouver des hommes
Est la preuve de
l’amour infini
De Celui qu’on
appelle ainsi
J’ai le remède pour
vivre longtemps
Suffit d’être dans
le mouvement
Manger du frais et
du vivant
Vous garderez
toutes vos dents
Ce qui permet
d’être souriant
Dilate le nez
évidemment
Il faut que l’air
entre en dedans
Et nous aurons
l’heur bien portant
J’évite de cuire
mes aliments
Avant de les
prendre je les sens
Je recherche les
vrais artisans
Le moins possible
le toutvenant
Le lait de vache je
le laisse aux veaux
Le sein de maman
pour les poupons
Quant à l’alcool et
le tabac
Faut être fol pour
aimer ça
Méditation sans
référence
Oublie l’ennemi
c’est ta puissance
Esprit tranquille
bien au repos
Permet d’agir sans
confusion
Vibre dans le vent
comme les saisons
Le vrai bonheur est
au présent
Se manifeste alors
l’Originel
De ton instinct qui
te réveille
Et tu seras bien
dans ta peau
Pourra aimer tout
comme il faut
Quant à la terre
pour les suivants
Vaut mieux mourir
sainement
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