Première approche avec
Maëlle* pour interpréter mes chansons
*Ma petite-nièce
Certes, cela ne sera
pas facile de trouver un terrain d’entente pour que germe cette complicité
indispensable ! À mon humble avis, il me semble que la réalisation
de quelle que soit la chose, elle aura plus de chance de se réaliser avec cette connivence
? Comment, entre une jeune fille de vingt
printemps à l’avenir prometteur, et moi avec, si Dieu le veut, mes
quatre-vingts balais dans moins de trois ans, atteindre cette alchimie et
qu’aboutisse l’œuvre? En ce qui
nous concerne, il s’agit de chansons. Musicalement,
Maëlle a de bonnes bases ; elle est à sa dixième année de piano, se propose à suivre des cours de chants; elle fait partie d’un petit
groupe de jeunes musiciens qui sont à la recherche de textes…et qui font que me
voilà ! Serait-ce enfin la chance pour
mes complaintes?
Le hic qui déjà
apparaît, à part au moins l’une : « Un Homme c’est naturellement
bon », dont elle raffole, qui
nous rappelle Jean-Jacques Rousseau, créée
en 1987 pour les cinq milliards de Sapiens qui peuplaient alors la planète et qu’à ce seuil des bientôt huit milliards, d’abord,
au vu des évolutions, Coronavirus compris avec allons-y chers Européens, brusquement amputés du Brexit, relancez vos vieilles peurs du siècle passé, le Péril Jaune, une aubaine pour nos "made in UE" moins 1! - , j’émets des doutes. L’Homme ne serait (peut-être) plus jamais
naturellement bon; cette mélodie devrait plutôt se ranger au musée des travaux inutiles. Mes derniers textes - qui ne lui parlent pas, comme elle dit - reflètent une réalité
beaucoup plus appropriée (migration, pollution, chômage) et seraient donc plus
en adéquation avec notre ère. Et oui, ici tout se complique. Dilemme entre une jeunesse qui doit évidemment
s‘affirmer et la vieille garde sur les arrières.
Aussi PR, voici en audio les deux chansons qui se controversent:
« un homme c’est naturellement bon » ;
Je le chante depuis juin 1987, l’humanité fêta alors ses cinq milliards d’individus.
C’est la chanson qui modifia complètement ma vie qui fait Que aujourd’hui je te rencontre toi et tous les autres.
« Un Homme, c’est naturellement bon ! »
ET cette dernière écrite en 2017 à bientôt 8 milliards:
Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
Aussi PR, voici en audio les deux chansons qui se controversent:
« un homme c’est naturellement bon » ;
Je le chante depuis juin 1987, l’humanité fêta alors ses cinq milliards d’individus.
C’est la chanson qui modifia complètement ma vie qui fait Que aujourd’hui je te rencontre toi et tous les autres.
« Un Homme, c’est naturellement bon ! »
(avec la guitare de Francis Goya)
Un homme c’est naturellement bon
Deux hommes c’est déjà différent
À trois commencent les chuchotements
Quatre hommes peuvent devenir inquiétants
Pourtant un homme c’est naturellement bon
Un homme c’est naturellement bon
Deux hommes c’est déjà différent
À deux ils se prennent pour quelqu’un
Ici, commence l’anonymat
Qui fait des autres des forçats
Pourtant un homme c’est naturellement bon
À deux, c’est déjà différent
À trois commencent les chuchotements
Majorités, minorités, vous voilà !
Malheur qui transgressera les lois
La force n’est pas dans l’isolement
Un homme seul n’a jamais raison
À trois commencent les chuchotements
Quatre hommes peuvent devenir inquiétants
Le droit exalte les passions
Éclate en combat de mille ans
Ces guerres abattent les sentiments
Ici on tue sans émotions
Des hommes naturellement bons
À cinq* en comptant par milliard
Cinq milliards d’hommes seuls dans le brouillard
Qui cherchent sans trop bien le savoir
La flamme qui redonnera l’espoir
Qu’un homme c’est naturellement bon
Un homme c’est naturellement bon
Mais quand les fléaux de la terre
Surgissent comme des cris de colère
S’éveillent soudain des hommes nouveaux
Des hommes qui feront ce qu’il faut
Ils redeviennent tous solidaires
Ensemble des hommes c’est beau !
* crée en 1987, à cette époque nous étions cinq milliards à peupler la planète
Avis aux Eurosceptiques qui tentent de la voir à nouveau morcelée en petits États. C’est la planète toute entière qui appelle à nous réunir en grandes Nations pour qu’y règne cette idée maîtresse de la préserver avec tous les êtres qui l'occupent et ce droit légitime qu’ils devraient avoir d’y circuler pour leur propre survie.
Paroles Georges Salles
Musique Jean-Marie Dorval
Vivre et encore vivre par de-là les guerres
Fuir ces zones hostiles où tombent des missiles
La transhumance humaine parcourt mers, monts et plaines
On rêve de terres promises, de villes qui sécurisent
Parfois, ils ne sont que deux et semblent presque heureux
Il soutient sa belle, leur décision est claire
En elle cette semence qui donne tout son sens
Aux besoins de la Terre ; elle porte la vie en elle
Hélas, les sédentaires ont imposé leurs lois,
Bloquent par des frontières, pourtant l’unique voie !
Voilà que la planète finit par perdre la tête,
Enfante la terreur par quelques massacreurs !
Mais enfin se réveillent du fond de la cité
Mille voix et plus encore, regards qui s’émerveillent,
De voir en ces marcheurs, non pas des imposteurs,
Mais des êtres forts. Présente nécessité.
Et pour les mécontents, dont l’esprit statu quo
Les mettrait au ghetto ; de voir d’un mauvais œil
Cette marée de migrants allant vers la Norvège.
N’est-ce pas un privilège que d’être terre d’accueil ?
À tort ou à raison que les dieux me pardonnent
De perdre mes illusions sur le destin des hommes.
Chacun ses opinions quant aux sorts des nations :
Ces lieux mêlés du sang des bons et des méchants.
Vivre et encore vivre par de-là les guerres
Loin des zones hostiles où tombent les missiles
Parfois en cours de route il soutiendra sa belle
Cela ne fait aucun doute elle porte la vie en elle
Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
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