.../... que
je nommais Divine dans un précédent courriel,
Merci de
votre présence, toi et ta fille Aude, - Aïe, ce lapsus !
Oui, j’avais
tapé sur le « i » et lisait « Aide » ; et, comme venue du
ciel,
Me vint
cette pensée : nos enfants ? Le meilleur remède à ce virus !
Quelle
délectation ce samedi ensoleillé à la veille de fêter Maman !
Ce tableau, qu’un
Van Gogh aurait peint … Des fleurs
vibrantes
Sur l’herbe
apprivoisée. Que de joies… des plus petits aux plus grands !
Nous
profitions de ce moment, parlions librement, en toute détente.
Enfin
presque, car j’appréhendais cette rencontre en face-à-face,
Suite à toujours
mon besoin d’aimer, ne voyant pas cet océan
Qui nous
séparait … dans ton cœur, je souhaitais une petite place.
Déjà par mes
chansons - et ici je te remercie de t’être abstenue
De
commentaires ; l’élégance d’un silence est mieux qu’une critique -
Et Maëlle est
apparue, c’est mise au piano ; nous étions tous émus.
Merci pour
cette info de Vincent Lindon …mais n’est-ce pas un peu fanatique
Ce discours,
me semble-t-il ? Enfin je ne suis
pas dans le secret des dieux !
Et justement
en pensant au divin, cette révélation me tombait des cieux :
Il y a plus
de vingt ans, promenant mon chien sur un chemin de campagne.
Je méditais,
comme la plupart des humains, sur la question du Bien et du Mal*,
M’adressant
au Tout Puissant…Une réponse fulgurante, des paillettes d’or
Couvrirent
subitement mon fidèle ami quadrupède, avec ces mots peu banals
Qui se figeront
à jamais dans mon esprit et probablement jusqu’à ma mort :
« L’ennemi
c’est ma Puissance
L’Amitié ma
récompense »
Sorry ! Que
disais-je ? Ah oui, ce malaise de mes égarements épistolaires ?
Agréable
surprise de m’être rendu compte de mon erreur.
Avec toute
ma gratitude
..
Le Mal ou le Bien
*PR, cette chanson qui, suite au Coronavirus en ce moment, n'est plus vraiment dans le contexte, puisqu'on ne circule plus sur les routes.
..
Sur une Musique de Jean-Marie Dorval qui m'inspira ces mots en 1999:
Le Mal ou le Bien
C’est une vieille histoire
Le Mal ou le Bien
Fin d'un millénaire
Et toujours ce refrain
Des hommes sur des routes
Qui ne mènent à rien
Parce qu’ils ont des doutes
Est-ce mal ou bien
Combien de ruptures
Complices du Malin
Croyant être pures
Ont fait pire que bien
Est-ce bien ou mal
Question de maintien
Ou réponse fatale
Qui fait mal aux seins
Là-bas pas très loin
Ils quittent leurs biens
Envahis de haine
Alourdit leur peine
Que répondre à ça
Plus en plus de soldats
Défilent dans ce bal
Font-ils bien ou mal
Armée qui fait mal
Armée qui fait bien
On choisit son camp
Ou on fait semblant
Est-ce plus mal encore
Question de faire bien
Toute façon les morts
Ne nous diront rien
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