jeudi 14 janvier 2021

 



C'est arrivé la nuit (Éditions Robert Laffont/ Versilio - septembre 2020)


Cher Professeur  et   amis lecteurs,

Cela va peut-être vous étonner.   Dans un précédent courriel* je vous faisais part d'abandonner la lecture du dernier roman de Marc Lévy. 

* J'avais écrit:

mercredi 11 novembre 2020

 Cette nuit

In fine , cher Professeur, je me sens plus en adéquation avec Bergson que Marc Lévy...Cependant ce  dernier, par le titre de son dernier ouvrage: " C'est arrivé la nuit" que, contrairement à toi - sans doute vu mon incompétence dans le domaine de l'Informatique - je n'arrive pas à y trouver un quelconque plaisir, mais surtout de l'irritation et de l'ennui, il n'a pas tort.  Cette nuit, me voilà brusquement pris de curiosité pour le grand Bergson .


Bonne nuit


 Évidemment que j'allais reprendre ce livre .  On ne peut pas juger un ouvrage aux premières pages.  La narration de ce roman se situant dans le milieu informatique, moi l'ignare,  je l'avais abandonné dès le premier chapitre,  pour me consacrer plutôt à H. Bergson.   Enfin après deux ou trois semaines, le bouquin  gisant tristement sur ma table de chevet et, question aussi de respecter  le célèbre auteur, lauréat du Prix Goncourt,  qui ne gribouille pas n'importe quoi; mais encore, je l'avoue,  de me déculpabiliser suite à cet achat impulsif.    Grand bien me fasse!  En m'y plongeant à nouveau,  cette fois  j'ai un tout autre regard en parcourant les pages.  Sans doute que mon ange m'a envoyé ce message: "- Georges, si tu veux exister dans ce Monde et le comprendre, il est temps que tu t'y mettes à t'intéresser à toutes ces nouvelles techniques  de communication".    Cette fiction   relate le parcours de  neuf  hackers.  Ils  s'attaquent à la cupidité de ceux qui dirigent les  labos pharmaceutiques,  lorsque  par exemple   le prix des doses d'insuline  augmente ; que les assurances en profitent pour faire trainer les dossiers;   que  certains diabétiques, plus démunis, la coupent par trois, voire quatre,  avec les conséquences fatales.   Ces corsaires de la Toile se retrouveront confrontés à d'instigateurs puissants, pourvoyeurs de psychoses,   disposant de troupes qui inonderaient les réseaux sociaux de fausses informations.  Nous savons, comme l'écrit Marc Lévy,  que "terroriser la population est le moyen le plus efficace pour donner force et voix aux mouvances populistes".     C'est de la dynamite !   Mais rien ne m'étonne plus vraiment. 

Autre chose, encore l'autre soir, à l'émission "La Grande Librairie" animée par  François Busnel, le quasi prologue de Camille Kouchner au sujet de son livre " La Familia grande"  dévoilant  cette période de son adolescence où son frère jumeau fut victime de viols successifs de la part du  beau père, Olivier Duhamel,  cet éminent politologue bien proche de la famille du Président Macron.   

 Toutes ces "confidences" mises aux grands jours ! (Bien que, et je l'apprends à l'instant,   ces dernières  fussent déjà  révélées à l'époque par sa tante, la comédienne Marie-France Pisier, décédée en 2011, qui ne pouvait supporter le silence et la passivité de  sa sœur, Évelyne Pisier, écrivaine, ex-épouse de Bernard Kouchner).  Dans ces cas d'inceste...qui a raison?  Faut-il révéler cela au grand public sur les plateaux de télévision ou régler ça en famille?  Sans doute que ce livre est un S.O.S.  bien utile à la grande fraternité des Humains! 


À propos de S.O.S. , pourquoi pas rappeler cette chanson:

Mayday, mayday …Grande Terre malade! 

Cliquez ici pour écouter cette chanson

Mayday,  Mayday  …

Refrain :

Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade

À quoi servent les discours envers les pollueurs.

Chantons  plutôt en chœur  cette ballade,

Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !

 

Les océans se fâchent,  la banquise se relâche !

Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.

L’eau la boue  le vent, il manque encore le feu ;

Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.

 

Mayday,  Mayday  …

 

Un enjeu de taille  : les déchets nucléaires !

Certains scientifiques conseillent le fond des mers.

Pour ma part, je préfère,  le fond des  cratères ;

La lave  c’est pratique, ça lave aussi docteur

 

Mayday,  Mayday  …

 

Il  germe dans des  usines  de  tristes combines

Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;

Surtout pour les abeilles,  devenues inutiles.

Les  champs de pétrole,   pas ce dont elles raffolent !

 

Mayday,  Mayday  …

 

Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,

En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !

Le temps de cette chanson plus  d’une cinquantaine  ;

En plus des pollueurs  règnent des affameurs !

 

Mayday,  Mayday !  Grande terre malade !

Ce cri d’alarme et, comble de malheur

Des marchands d’armes, des victimes en cascade !

 

Oui!, ce qu’il  faudrait c’est un bon docteur !

Disons surtout,  une armée de psychiatres!

Arrangements: Philippe Capon

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