dimanche 31 janvier 2021

 

Oh oui, comme l’énonça Adam Smith au Siècle des Lumières, apparaît sur la Toile, grâce à Internet, cette main invisible qui préside à nos destinées.   Pas plus tard qu’à cet instant précieux où je me retrouve, poussé par une force mystérieuse à me lever en pleine nuit, répondre à cette impulsion, me voilà face au petit écran et pianote sur le clavier ce texte, que j’espère, sera lu par le plus grand nombre possible...et remercie ceux qui le liront avec attention ; mais surtout qu’ils se sentiront eux-mêmes envahis par cette volonté transcendantale pour diffuser mon message.  Certains souriront, me prenant pour un illuminé, un fou. Je ne les contredirais pas, c’est possible. Dans le monde que nous subissons, cette multitude infernale de faits, de nouvelles plus souvent alarmantes...de constater, avant toute chose, les attitudes morbides qui touchent une partie du genre humain, il est parfaitement possible que mon propre esprit soit dérangé.    Enfin, nous savons que le ridicule ne tue pas !  Par contre, la peur du ridicule ? …Là, je n’en suis pas sûr !  Permettez-moi donc de continuer cet énoncé, face à ce postulat qui dicte ma conduite et ainsi rejoindre la grande fratrie des Hommes qui respectent la Vie avant tout.

 La nuit précédente, celle du 30 janvier 2021, je clôturais ce roman de Marc Lévy au nom tout aussi évocateur « C’est arrivé la nuit », tome un d’une trilogie que je ne manquerai pas de suivre, une fiction de neuf hackeurs face à des hommes de pouvoir et d’argent mal intentionnés...Percutant de vérité, selon le journaliste littéraire du Monde, Nicky Depasse.

   Mais venons-en à cette idée qui me donne cette opportunité.   Il me revient en mémoire cette citation de Brillat-Savarin que j’avais retenu de son livre « La Physiologie du Goût » : « L’avenir des nations dépend de la façon de ses peuples à se nourrir », J’y ajouterais bien :

L’avenir des nations et des hommes en général dépendra de leur façon de gérer, de maîtriser leur propre peur face à la maladie et à la mort.   


By the way :

 

 À propos de nous, simples mortels, cette chanson écrite déjà trente-trois ans auparavant, avec la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)
, un peu plus tard.


L’Essénienne ? 






Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui,  par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,  vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref,  sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite ,  peut-être Terriens...si  notre  Planète tiendra  le coup encore.  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant

J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement

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