Ah chère Florence,
Depuis cette
délicate attention à cette veillée de Noël,
Combien d’années
déjà ? Dès lors , ma surprise et ma curiosité,
Il est si rare de
rencontrer la belle personne !
Me souvenir de vous,
dès lors, ne m’avait jamais quitté...
Vous m’aviez fait
part, à l’époque, de vos soucis, et je m’en inquiétais.
De vous avoir revue rayonnante
avec votre grand garçon,
Fut ce que j’espérais
le plus ; aussi je quitterai la Corse,
Rassuré de vous
savoir heureuse.
Silhouette
.
Silhouette, silhouette l’amour survient dès l’instant
Qu’une silhouette te met en fête quand tu t’aperçois qu’un aimant
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
C’est quelque chose
Qu’il faut laisser agir en soi
Comme une pause
Silhouette, silhouette un moment de flou relâchement
L’âme tranquille qui cache l’éveil dirige tes pas vers ta belle ;
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
C’est ce moment-là, sans que tu le veuilles
ça brûle en toi comme un soleil
Silhouette, silhouette réponds à ton cœur tout en fête
N’attends pas, fais le premier pas ; elle te sourira. C’est comme ça
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent
Ne pas penser ; va spontanément
N’freine pas l’élan au droit d’aimer
Silhouette, silhouette, même si elle s’en va n’t’en fais pas
D’autres silhouettes, silhouettes passeront bien souvent près de toi
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Jusqu’à ce que la tienne te vienne par le vent
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Belle silhouette
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