.../...Et quand on est tenace /N'osant perdre la face
Relations de grimaces /Bonjour les angoisses!
On n’est plus très loin de la guerre « Intégral ». Ne nous y trompons pas. Le syndrome de « l’État unique »
est bien implanté dans la psyché de Poutine.
Non, cher Président Zelensky, ce ne sont pas des obus, des missiles ou des
troupes militaires sur le terrain qui sauveront l’Ukraine. Les sages de l’UE ne peuvent écarter la menace
nucléaire. Sans être un expert, moi l’homme de la rue à Bruxelles - et
veuillez pardonner cette prétention -, j’ai beau chercher dans les tréfonds
de mon cerveau occidentalisé, je ne vois qu’un remède : l’Adieu aux armes
qui ne déplairait pas à Hemingway. Là,
est la véritable victoire ! « Nous
autres » * (qui méritons de vivre libre) et avant la reddition, balancez
depuis vos drones, jusqu’à Moscou, cet ouvrage éponyme d’Evgueni Zamiatine,
interdit par Staline, (moins coûteux que les milliards nécessaires aux armes assassines).
La Grande Russie a besoin de
renouer avec la culture pour qu’elle redevienne ce Grand frère que nous avons
tant aimé.
Et pour la xième fois :
La Valse des missiles
Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
Les petites guerres de Babel auraient pu
être risibles
Le Coran ou la Bible au fond c’est le même
missel
Mais le fanatisme odieux jette de la poudre
aux yeux
Comme on ne voit plus rien est-on encore
humain ?
Maintenant des missiles se lancent sur des
villes
C’est quoi ces missiles qui tombent sur les
villes ?
Refrain :
La Valse des missiles cadence la ville
Même si c’est à trois temps se compte en
mourant (bis)
Lorsqu’on se réfère à un parti lié
On perd quelques frères faut-il les
tuer ?
Souvent avec grâce on reconnaît l’erreur
On sort de l’impasse en écoutant son cœur
Mais quand on est tenace n’osant perdre la
face
Relations de grimaces, bonjour les
angoisses !
De nobles militaires nous protègent du
dehors
Et d’autres en manque de guerres, en dedans
font des morts
Menacent qu’ils prolifèrent pour que marche
l’exode
Sont surtout solidaires aux usines d’armes
qu’ils rodent
Certains de ces travailleurs ont parfois
des coups de cœur
Ils déposent le fusil quand de jeunes
filles défilent
Refrain B
Et quand valsent les missiles (il) vaut
mieux ne pas être une fille
Ça viole en moins de temps qu’une valse à
trois temps (bis)
Étrange petite planète du monde des
affaires
Bien des hommes s’endettent pour le métier
de la guerre
Et d’autres font la fête liquidant leurs
surplus
Enfin ça réveille l’Histoire évolue
Orgueil, fric et panique sous des airs
démocratiques
Mais sont les trois tyrans qui perturbent
notre temps
Refrain C
La valse des missiles cadence la ville
Et toujours à trois temps pour que comptent
les marchands
La valse des missiles cadence la ville
Comptez vite, comptez vite, il ne reste presque
plus de temps
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