Mon Cher Georges, 

 Avant de publier et soutenir des avis sans fondement, il faut s assurer de connaitre le dossier dont on parle, 

Ce ne semble pas être ton vas, je suis disposé d en parlé en connaissance approfondie, de manière salutaire, quand tu veux, chez moi, au Bar toujours ouvert aux amis pour un échange constructif, 

 

Amicalement, 

P.

P.	19 mars 2025 16:51 (il y a 19 heures)
P.

Tu as raison Pourtant tu sais mon admiration pour le peuple d'Israël.  Mais ces derniers massacres m’ont fait perdre la raison... et déjà, en pensant à tous mes amis Juifs, je le regrette vivement. Mais c'est trop tard, c'est envoyé...comme ces bombes et missiles.  Enfin je faisais allusion à une minorité...J'aurais dû préciser

 

 

Réponse à mon ami P.:

 

Je sais ce que j’ai déclenché et risque d’ajouter encore un peu plus de confusion ; mais j’ai confiance dans l’esprit juif et sa volonté à clarifier toutes les situations.  Bien sûr, il y a une souffrance partisane où le désir de vengeance pourrait sembler légitime ; mais c’est valable pour les deux camps, qui fait que ma propre souffrance – sans chercher à me justifier pour autant – serait plutôt d’ordre cosmique où je crois que chaque homme est un lieu saint.  Comment la folie de certains ont pu déjà assassiner un Yitzhak Rabin qui ne cherchait que la Paix ?  Tu vois l’effroyable pensée belliqueuse d’un parti, à quoi ça mène : parce qu’ils ont peur de l’autre parti.  Nous vivons (plutôt survivons) dans un monde de masculinité dominante qu’il serait temps de modifier par plus de féminité. Dans la nature nous avons des exemples tels que la lionne et l’ourse qui protègent leurs petits de ces mâles prédateurs qui n’en feraient qu’une bouchée pour éliminer la future concurrence.  Heureusement qu’il y a eu une Golda Meir pour dire « Forget » à un Moshe Dayan affaibli, prêt à pousser sur le bouton nucléaire !  Et ce Benyamin Netanyahou me semble un grand malade aussi.

 

 Et pour conclure que, conformément au Talmud, je pense comme un Juif et j’ai donc le sentiment d’être en harmonie comme m’avait conforté ma fiancée juive à Paris quand je créai mon cri « Halabjã » en 1988 ... Ecoute bien ce que je dis dans cette chanson.

 

Salut à Toi, P., mon Ami