Hélène
de trois
Eh oui ! Puisque la mère de mes enfants et de ceux
conçus avant de me connaître, Dominique et Brigitte, dont l’aîné obligera à son
premier mariage à dix-huit ans avec un certain Roland H, presqu’aussi jeune ;
union qui ne dura que quatre années
quand elle débarquera bien plus tard dans ma vie à 27 ans et moi 25 ; ce
qui constituera le deuxième serment devant Monsieur le Maire à la commune de
Woluwé-St-Lambert (commune du grand Bruxelles) ; cette Anglaise (Louisa)
imprévue, qui m’attendait sur le quai face au Coloba à Antibes en fin septembre
1987, fut la belle excuse qu’elle justifiera aux enfants
pour se mettre directement en ménage avec son thérapeute. Lui
aussi avait dû un peu en rajouter pour conforter sa nouvelle position auprès d’elle…et
de mes voitures de collection qu’il lorgnait avec envie (curieux pour un
médecin !) Il deviendra le troisième mari.
Ah ces Hélène ! Une guerre en plus ? Non, je le rappelle cela se passa très bien
dans le calme (Du style : d’accord
tu gardes la Rolls, mais moi je reprends mon vélo !) C’est
vrai que d’avoir toujours le droit de plonger mon regard dans ses yeux d’émeraude
aurait pu provoquer un conflit digne d’être conter dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère
(ma première lecture à neuf ans, dévoré avec passion!) C’est en traçant ces lignes que mes idées se
regroupent...Hélas !, décédée en septembre 2016, - cérémonie auquel je n’assisterai
pas sous cette légère influence de Charlotte, ma deuxième épouse depuis dix ans…qui
me quittera, sans prévenir, cinq mois plus tard pour se mettre avec une copine
qu’elle rencontra un mois plus tôt (qu’a jailli ce cri : cette chanson « Gosting »,
mais c’est loin du propos). Le Père Homère, oui Homère aussi !, le curé de sa paroisse ne lui donnera pas que l’extrême onction (très
fervente dans sa foi catholique). Le
toubib cocu était tombé après sa mort sur de la correspondance. Il y lira que sa femme s’était unie au saint
homme d’église dans des rites un peu sorciers au fond de l’Afrique noire. Simple retour de manivelle…le Karma sans
doute. Tu vois toubib : bien mal acquis
ne profite jamais ou, en tout cas, pas définitivement : cette belle Hélène en état de faiblesse du
corps, et manipulée par son bon docteur …Pour le curé ? Qu’il aurait aussi profité de l’âme en peine
(c’était votre
période de disputes et, paraît-il, du fait que s’envolaient tes espoirs d’être
reconnu comme Pasteur pour ta molécule MK2 contre le Sida qui n’avait pas
abouti… et l’alcool en plus ? …), âme en peine fragilisée
aussi par vos rapports devenus tendus …que le prêtre l’aurait peut-être
exorcisée…de toi ? Acte de foi, de la charité chrétienne qui de
toute façon avait permis d’installer une officine médicale en plein cœur du
Congo qu’elle avait financée. C’était
une grande dame, je suis fier d’avoir partagé avec elle vingt ans de vie. Je t’ai aimée Hélène…et je sais que c’était
réciproque.
Ah oui, « Gosting »…Mais
c’est une autre histoire …et beaucoup moins calme (mon régime alimentaire
n’est plus pareil) . Vous comprendrez en
écoutant cette chanson. !
OUI, JE REPARS AVEC CETTE CHANSON EN PLUS À MON RÉPERTOIRE ET ENCORE , ME REVOILÀ ANIMÉ POUR DE NOUVELLES AVENTURES. CHANSON TRISTE? MAIS NON, C'EST LA VIE QUI REVIENT OU QUI CONTINUE, COMME CE TITRE "GOSTING" QUI VA ÊTRE MON CAS.
Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
LA DH du jeudi 27 mars 2008. Article de presse de Jean-Philippe de Vogelaere.
Ghosting
Paroles
et musique Georges Salles
Créé à Rochefort lundi 12 juin 2017
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment très mal …
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus
un seul contact… je n’existais plus.
Pourquoi
de tels actes de silence absolu ?
On
s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre
serment se fit sur la Sainte Bible
Notre
union était parfaitement crédible.
Comment c’est possible on
s’aimait si fort
Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre
Elle toujours disponible de cœur et de corps
Oui nous étions amants … depuis si longtemps
Tout
seul au matin, dans la triste demeure
Le
pain quotidien n’a plus de saveur.
Et
quand vient le soir dans le lit trop froid
Plus
le moindre espoir d’être toi contre moi.
Pas
encore une semaine et déjà l’avocat!
Un
divorce ? C’est ton choix et…
ma migraine!
Refrain 2
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment mal …très mal
Oh oui que j’ai mal… mal…
À
vingt ans peut-être que…,
Mais à nos âges extrêmes,
Mais à nos âges extrêmes,
Bien
drôle cette époque
Des libertés souveraines
Des tempes grises !
Des libertés souveraines
Des tempes grises !
Le temps n’a plus de prise.
« Plus
de jeunesse ? »,
Non surtout: « Plus de vieillesse ! »
Non surtout: « Plus de vieillesse ! »
Les
aînés font la fête, voguent d’îles en
îles.
De
vraies marionnettes de la mode qui défile.
Refrain 3
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus
un seul contact… je n’existais plus
Pourquoi
de tels actes de silence absolu ?
On
s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre
serment se fit sur la Sainte Bible
Notre
union était parfaitement crédible.
Partir …Moi
aussi, je m’en irai… loin des terres…
Loin des souvenirs où toujours je te vois.
Il me faut oublier et pardonner ce parjure !
Voguer loin, très loin … Une nouvelle aventure ?
Qui
sait ? Me restera-t-il assez de
force pour hisser la voile
Qui poussera
l’esquif et mon cœur meurtri vers une âme loyale ?
Si cela
devait arriver, je sais déjà que cela me fera encore plus mal
Quand je
t’oublierai vraiment … que tu ne seras plus que néant.
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