À travers le mur de mes sens,
Je pressens d'autres emmurés vivants.
J'écris, c'est un mystère
Je vis, c'est un miracle
Depuis des siècles et des siècles, je crie : Au SECOURS !
On me répond : Attendez votre tour.
(Paul Valet le
poète, alias Dr. Georges Schwartz)
Évidemment,
qu'on a tous nos sens en alerte face à l'impitoyable ascension du Covid-19...et
que, dès lors, mes textes, je le constate, n'intéressent plus grand nombre de
lecteurs.
Priorité à l'Info, aux experts de la santé,
aux politiques, historiens et philosophes.
L'un d'eux, Aurélien Barrau, de
son studio parisien, me surprendra. En
effet, le hasard d’avoir pu suivre son télé cours, vu le Confinement*. Il proposait aux jeunes étudiants universitaires
«de laisser les belles Citations (du passé j'imagine), pour qu’ils s’orientent
plutôt vers la Recherche au CNRS".
Étonnant pour un prof de Philo !
Mais l’ennemi est aux portes de la cité, n’est-ce pas ? La France aussi a un réel besoin de nouveaux
cerveaux scientifiques.
Au fond, je
reconnais que donner mon avis sur la question risque d’irriter, voir agacer. Pardon !
Silence donc, du moins pour le
Coronavirus et ses conséquences. In fine,
nous observons qu’elles ne sont pas toutes négatives pour la planète ! On en tirera sans doute les leçons pour l’avenir. Cela me rappelle la crise du pétrole en 1973
où la vitesse fut limitée, et l’est restée définitivement depuis. À l’époque, derrière le volant de ma nouvelle
SM Maserati-Citroën, le trentenaire que j’étais, en avait des crampes, habitué
à vaincre le bitume à près (ou +) de 200Km/H, pour arriver à Nice de Bruxelles,
en moins de sept heures.
Oui, chers
amis-lecteurs, en ce temps-là, je ne lisais pas des Paul Valet, que je découvre
grâce aux invités de François Busnel sur le plateau de la Grande Librairie. (France
5 mercredi soir) : « Le Monde n’existe
pas » d’après l’un d’eux, Fabrice Humbert, le titre de son dernier livre.
Oh
que si, grâce à eux, ces écrivains, ces poètes, ces romanciers !
Mais non, à l'époque, je "performais"...
Mais non, à l'époque, je "performais"...
*Oui, volontairement avec un grand C. À mon humble avis,
Confinement sera historique comme la Révolution de 1789.
« Mayday, mayday Grande terre malade ».
Mayday, Mayday …
Refrain :
Mayday,
Mayday ! Grande
Terre Malade
À quoi servent les
discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt
en chœur cette ballade,
Ah !, ce qu’il
faudrait c’est un bon docteur !
Les océans se
fâchent, la banquise se relâche !
Des villes, même
comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue
le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le
tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday,
Mayday …
Un enjeu de
taille : les déchets nucléaires !
Certains
scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je
préfère, le fond des cratères ;
La lave c’est
pratique, ça lave aussi docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans
des usines de tristes combines
Pour vendre
d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les
abeilles, devenues inutiles.
Les champs de
pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore s’il n’y
avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition
et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette
chanson plus d’une cinquantaine ;
En plus des
pollueurs règnent des affameurs !
Mayday,
Mayday ! Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et,
comble de malheur
Des marchands
d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce qu’il faudrait c’est
un bon docteur !
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Disons surtout, une armée de psychiatres!
Arrangements: Philippe Capon
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire