C’était au temps où on
rigolait !
Homo Laboris :
De tous les animaux
Un seul sur cette Terre
Pleure pour trouver du boulot
Homme à tout faire
Parfois la guerre
Homo Laboris serait son nom ?
Refrain :
Fana du boulot
Oui c’est le temps de l’Homo
Laboris
Homme qui suis-je
Causa le litige
Qui fâcha Dieu
Qu’on soit curieux
Malédiction :
Pour cette question
(Coup
de sifflet)
Allez, tous au boulot !
Fana du boulot
Oui c’est le temps de l’Homo
Laboris
(../...)
Mais où est ce temps
Où Brel nous chantait
C’était au temps
Où on rigolait
Main dans la main
Les hommes les dames
Imaginaient
D’autres programmes
Que le boulot
Ha le bon temps
De l’Homo Erectus !
(Chûût,
ils dorment !)
Et ensuite à Arthur Rimbaud :
Mais la noire alchimie et les saintes études
Répugnent au blessé, sombre savant d'orgueil;
Il sent marcher sur lui d'atroces solitudes.
Alors et toujours beau, sans dégoût du cercueil,
(…/…)
Je n’ai
que dix-huit ans
Dans ce
combat de mille ans
Pour
calmer cette révolte
J’ai
besoin d’amitié
Méprisé
rejeté
Avant de
naître orphelin
De
l’amour désinvolte
D’un
couple sans destin
Plus
d’amis plus d’études
Mon
diplôme la solitude
Plus de famille
une vie rude
Sera mon
premier prélude
Chacun a
droit à l’amitié
Et je
trouverai ma destinée
Pour
vivre l’Éternité
Le vent
la mer et le soleil
Nous
porteront vers l’Éternel
Face à
l’immensité
Des
besoins de la cité
Là le
cœur est second
Loin
derrière la Raison
Compagnons
de la rue
M’ont
trouvé ingénu
M’ont
promis beaucoup d’or
C’est un
sort qui dévore
J’ai
cherché la Lumière
Parcouru
mers et terres
Pour
trouver enfin nu
L’Amour
m’est apparu
De cet
amour appelé Soleil
Dix mille
enfants au cœur si pur
Qui même
aux yeux de la Nature
Feront en
sorte qu’elle s’émerveille
Car notre
amour est éternel
Un clic pour écouter cette chanson
Je la dédie à Jean-Baptiste de la Salle et à Don Bosco
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