Avant mon départ de Corse
Courriel d’adieu à ma très chère
voisine, prof d'anglais à Bastia, arrière-petite-nièce de Winston Churchill qui m’apporta la veille un
extrait (d’un journal culturel) d’une conversation du philosophe Denis Lafay *qui a eu l’idée heureuse de réunir deux esprits libres et indépendants, Edgar
Morin et Pierre Rabhi, et de les faires débattre à bâtons rompus sur le monde,
le temps qui va, la crise sanitaire...
Ah chère Florence !
Encore un grand merci...cette dernière attention,
suite à ce léger différend avec le président de Vicciolaja concernant le fait
que mes chiens courent dans ce hameau privé et laissent parfois leurs
traces chez les voisins...il a parfaitement raison, c'est son rôle et ce n'est
certainement pas facile. Bien sûr qu'il y a de l’exagération ! Il
n'y a évidemment pas que mes chiens. J'oublie cet incident sans
conséquence, sauf qu'il est bénéfique pour moi par ce petit texte que tu viens
de me remettre. Je vois que tu as souligné quelques passages que tu
souhaites sans doute m'apporter du baume au cœur du fait du grand écart de nos
âges respectifs. Oui de t'avoir rencontré, je partirai plus jeune, comme
un amoureux qui n'a que vingt ans.
Que d'amour en Toi
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