« Les choses sont sans espoir ?
Pourtant {...} déterminés à les changer »,
Oui, c’est mon cercle vertueux, comme un éternel retour que
ne démentira pas un certain Nietzsche ... Je répète encore cette réflexion de F.S Fitzgerald,
déjà énoncée ce six juin dernier sur mon blog– et je doute que ce ne sera
pas la dernière fois : comme la
commémoration du débarquement des alliés en 44 -, tellement j’adhère à
cette idée de fatalisme (qui s’impose de plus en plus par cette guerre en Ukraine
et les massacres en Palestine) et que néanmoins au fond du tunnel, on croit (ou
on rêve) voir une petite lueur d’espoir.
Mais au fond, sans chercher à lancer le débat philosophique - et que les
Maîtres dans ce domaine me pardonnent - d’émettre que toute pensée, aussi
farfelue qu’elle n'y paraisse, ait sa légitimité d’être partie intégrante du
Cosmos. Pensée plus souvent interrogative, n’est-ce pas ?
« ...Et quand dans l’au-delà débarquera mon âme
Trouverais-je la réponse à ces lois qui condamnent
Les élans, les idées survolant les frontières
Des États languissants qui perturbent la Terre ?»
Mayday, mayday Grande terre malade ».
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Guitare solo, chœur et prise du son : Philippe Capon
Clavier : Danny Vandenbosche
Contrebasse : Françoise Massot
Mayday, Mayday …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt en chœur cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Les océans se fâchent, la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday, Mayday …
Un enjeu de taille : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère, le fond des cratères ;
La lave c’est pratique, ça lave aussi docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans des usines de tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles, devenues inutiles.
Les champs de pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus d’une cinquantaine ;
En plus des pollueurs règnent des affameurs !
Mayday, Mayday ! Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
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