Pétrole
et gaz, un cadeau de Dieu !!!
Serait-ce la devise, la ligne de conduite qui présiderait à Bakou en ce
précieux temps de réflexion à la Cop 29 ?
Ne serait-ce pas plutôt la part du Diable ? *
Quant à la question des devises, que
l’on passe par le Yuan, le Rouble ou l’Euro, on en revient toujours aux Dollars,
n’est-ce pas ?
*Petit clin d’œil
à l’Américain John Irving pour son roman : « L’Œuvre de Dieu, la
Part du Diable »
Si vous voulez, petite distraction pour ce weekend - une petite histoire chantée
en country à propos du Dollar. (En cliquant sur « mesparaboles.blogspot.be »)
Bon Dimanche
Un clic pour écouter la chanson
Dollars ! Dollars !
Dollar ! Dollars ! Dollars ! dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollars ! dollars
J’avais un rencart
Avec une belle qui n’fume pas
De plus végétarienne
Moi qui mange comme une hyène
Hormis les insectes !
On est plutôt charognard
Quoi c’est infect?
Mais nous vivons du trépas
Dollars ! Dollars Dollars ! Dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollar ! dollars
Du sang et des cris
Défilent dans mon esprit
Je vois des chevaux qu’on abat
Comme du vulgaire bois
À grands coups de masse
Par des hommes d’autrefois
Qui n’ont rien compris
Que voulez-vous que la bonne y fasse ?
Dollars ! Dollars ! Dollars ! Dollars !
Le Dow Jones monte et descend
Se pourfend en pour cent ;
Fait la pluie le beau temps
Dollar ! dollars
De la politique de l’autruche
Ressurgissent les extrêmes
Qui « nazisent » les « je t’aime »
Même si l’Euro les condamne
Ils dansent toujours dans la ruche
Du quartier de Notre dame
Les dollars te vaguent à l’âme
C’est une question de « How much ? »
C’est que du papelard
Soufflerait Gainsbar
Allumant sa gitane
Pour se cacher de ses fans
Mais en réalité cette timidité
Te mène sur le billard
Et j’oubliai la clop
Dans l’dernier « sex-shop »
Plus d’habit de cowboy
Qui me collait à la peau
Mon Smith & Wesson
Jeté dans la Seine
Je partis comme un homme
Aimer Marie-Madeleine
-Quoi tu n’as pas de dollar ?
Me dit-elle au plumard
Hélas !, je n’suis pas Johnny
Et m’exilai tout petit
Et je pris la guitare
En pensant aux dollars
C’est ici que finit cette histoire
Mais ce n’est qu’une histoire de dollars
Guitare-basse: Alan Booth ;
Guitare : Roland Kert ;
Piano : Rudy Mynaerts ;
Batteries : Bob Darch
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