lundi 8 décembre 2025

                                            By by Vietnam and Indochine!

Au fond, c’était en 1987... du réchauffement climatique, à part quelques rares scientifiques, ce n’était pas vraiment la grande préoccupation du monde des humains qui, avec fierté carillonnèrent leur victoire, d’avoir franchi le cap des cinq milliards d’Homo-sapiens ;   je venais alors d’atteindre... l’âge de la maturité ou de la sagesse, c’est à voir ?  Bref, à mes 45X 6 juin (donc, le premier en 1942), je composai cette complainte :     

 

« Un Homme, c’est naturellement bon »

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Son épilogue :

 

.../...Mais quand les fléaux de la Terre

Surgissent comme des cris de colère

S’éveillent soudain des hommes nouveaux

Des hommes qui feront ce qu’il faut

Ils redeviennent tous solidaires

Ensemble des hommes...c’est beau.

 

Peut-être que je me trompe mais il me semble que les catastrophes climatiques de plus en plus courantes, provoquent une certaine lassitude des ONG humanitaires, mais aussi des médias.  C’est aussi, je crois, la politique du « nous d’abord » de certains États (nous le savons) qui bloquent dorénavant les moyens financiers. Le drame aussi sont ces nouvelles règles économiques où la priorité est la course à l’armement.  In fine, dans certains secteurs le travail ne manque pas...Quant aux ONG, assistances sanitaires et médicales, on en a surtout besoin là où il y a les guerres


Des hommes nouveaux qui feront ce qu’il faut... ils ne sont plus vraiment disponibles ! 

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          Mayday, mayday Grande terre malade ».



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 Guitare solo, chœur et  prise du  son : Philippe Capon
Clavier : Danny Vandenbosche
Contrebasse : Françoise Massot

Mayday,  Mayday  …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons  plutôt en chœur  cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !

Les océans se fâchent,  la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue  le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.

Mayday,  Mayday  …

Un enjeu de taille  : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère,  le fond des  cratères ;
La lave  c’est pratique, ça lave aussi docteur

Mayday,  Mayday  …

Il  germe dans des  usines  de  tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles,  devenues inutiles.
Les  champs de pétrole,   pas ce dont elles raffolent !

Mayday,  Mayday  …

Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus  d’une cinquantaine  ;
En plus des pollueurs  règnent des affameurs !

Mayday,  Mayday !  Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !

Oui!, ce qu’il  faudrait c’est un bon docteur !

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