vendredi 12 décembre 2025

 

Dermatose nodulaire bovine...

 

Et voilà nos vaches de nouveau sous les feux de la rampe !  Dommage collatéral du réchauffement climatique...des insectes piqueurs venus d’Afrique ?   Et nos experts véto (et économiques n’est-ce pas ?), face aux cris du cœur des agriculteurs et éleveurs, mais seul le politique tranchera pour ce dilemme : abattre ou non le cheptel.

On a déjà connu ça dans les années 90, avec la maladie de la vache folle et ce fameux virus « le prion ».  Delà, à l’époque, juste avant un certain Noël de fin du millénaire précédent, cette prière en complainte qui n’a évidemment aucun fondement scientifique. Une inspiration poétique (enfin, si on veut ?) puisque, justement,  les fêtes de la nativité approchent.    


PR.

 Ce retour vers les années 90, la crise de la vache folle, à la veille de Christmas    je me souviens avoir écrit cette chanson « Amour vache » avec en final cette conclusion « Les vaches nous pardonnent ».

  « Histoire ancienne ? Raison de plus d’en avoir fait, à l’époque, cette chanson » :

Les vaches nous pardonnent

Cliquez sur ce lien pour écouter l'extrait musical    

 

Après la parabole des vaches grasses et puis maigres

Il y en a d’autres plus folles devenues boucs émissaires

Qui donnent un goût de vinaigre au vin parlementaire

 

Amour, amour, amour,

 

Chacun son parapluie pour le sort de ces vaches

On parle d’Europe unie, mais là ça se relâche

J’appelle les nostalgiques des cowboys d’Amérique

 

Amour, amour, amour,

 

J’ai comme un léger flash faudrait conduire ces vaches

Vers l’Est jusqu’en Asie plutôt que les brûler

Pour cultiver le riz en Inde elles sont sacrées

 

Amour, amour, amour,

 

Si mauvaise pour le grill qu’elles aient droit à l’exil

N’oublie pas que l’une d’elle contribue à la joie

Dans la Crèche à Noël auprès de l’Enfant Roi

 

Avec ou sans lasso un petit rien d’aventure

Vous reviendrez plus purs l’esprit moins mercantile

Ce ne sont pas que des mots qui sortent d’un évangile

 

Amour, amour, amour,

 

Après la parabole des vaches grasses et puis maigres

Les seules que je crois folles sont les histoires des hommes

Mais même à ceux trop pègres les vaches leur pardonnent

Amour, amour... 

 

Leur pardonnent

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire