Bonjour Jean-Marie Defossez,
À coach-respiration, Philippe, Yann, jean-Marie, jean-Philippe, Jacques, laurent, Roselyne, N., Florence, christian, Christian, Lucjanssensclassic@gmail.com, claudine, pompom, anne, Nicole, barbara, eve, Dominique
|
C'est avec un grand intérêt que d’avoir
suivi votre discussion avec Anne Ghesquière (Métamorphose) en vidéo qui me
donne ce plaisir de vous écrire...joie de sortir de mon vague à l’âme,
(trop souvent dans la déprime par la vision que m'offre l’actualité) - pour
découvrir le Nerf Vague qui me donne envie de surfer
sur cette déferlante de bon sens que vous proposez. Vous me réjouissez d'autant
plus que parallèlement vous soulignez l'importance d'une alimentation plutôt
basée sur le cru. Vague serait-il le leitmotiv qui conviendrait le mieux
pour définir nos élans pour aller vers l'Autre, même quand on est dans son creux
? Je profite donc de cette planche de salut que vous venez de m’offrir,
cher Docteur de zoologie, pour rejoindre la Terre des hommes de bonne volonté
et continuer à croire que mes chansons ont bien leur rôle à jouer.
Exemple celle -ci,
l'Essénienne,
À propos de nous simples mortels, cette chanson écrite déjà aussi trente-trois ans auparavant, avec, un peu plus tard, la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)
.
L’Essénienne ?
Une voie, un chemin très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ? Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps. En bref, sortir du nationalisme...dans un premier temps: être Européens...ensuite , peut-être Terriens...si notre Planète tiendra le coup encore.
Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants
Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire », il doit être pur
Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi
J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents
Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant
J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant
Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça
Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion
Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille
Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la Terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire