Béni soit Facebook pour les témoignages que nous
pouvons dès lors partager... en
constatant avec joie que de vieilles connaissances ressurgissent...
sensibilisées, dans ce cas personnel, par une petite histoire de fourmis de
jardins rescapées d’un feu de bûche, grâce à la main rédemptrice de l’homme
fautif. Oui, fautif de ce besoin quasi maladif de réchauffer sans cesse son
corps ; ce qui nous fragilise, jusqu’à, oui, j’insiste, à ces rares
moments de grâce lorsque notre âme nous rappelle à l’ordre divin de la Vie
avant tout ; que nous puissions y pallier en devenant
acteurs dans un Monde où l’Homme a son rôle à jouer.
Des fourmis et des hommes
L’idée d’un titre, ayant presque la même assonance que
ce film de Gary Sinise : « Des souris et des hommes »,
tiré du roman de John Steinbeck, - serait-ce l’amorce que j’attendais pour
enfin me décider, tête baissée, vers un essai autobiographique sous le label :
« Des fourmis et des hommes » ? Sur ce
sujet...surprise, j’en ai des larmes ! Mon
filleul Christophe s’y intéresse. En
zieutant sur Google, il me signale que « Des fourmis et des hommes »,
existe déjà : un ouvrage signé Rémy
Chauvin, professeur en biologie animale à la Sorbonne, disparu en 2009. Laissons donc cet entête avec respect à l’éminent
scientifique disparu. De toute
façon, avant le titre, bien que parfois cela soit, comme dit plus haut, l’amorce,
il y a d’abord ce travail de « fourmi », indispensable à l’élaboration
de quel que soit l’ouvrage. Je pense que
le premier bénéfice, avant tout succès, est une victoire sur soi-même...et j’espère
atteindre cette sérénité d’un William Styron quand il écrit :
« L’écriture
est pour celui qui la pratique une leçon permanente de modestie, d’humilité.
Jusqu’au mot FIN. C’est une lutte intérieure perpétuelle ».
Aujourd’hui, 23 avril...on
fête les Georges ! Sauf que pour moi,
cela me rappelle un bien triste dimanche : quatre années que Charlotte, mon épouse,
décidât de s’enfuir la veille, pendant mon absence, avec la complicité d’une
nouvelle amie avec laquelle elle se mettra en ménage. Pour sa sécurité déclara-t-elle
à la police...soi-disant se réfugiant chez son fils...moi qui n’avait que tendresse
pour elle, enfin ! Quand on est la belle-mère d’une juriste qui officie dans
l’enceinte du Palais de Justice, on connaît les formules pour incriminer le
conjoint...et j’écrirai ma dernière chanson. C’est vrai, plus jamais je ne
reprendrai la guitare.
.
LA DH du jeudi 27 mars 2008. Article de presse de Jean-Philippe de Vogelaere.
Ghosting
Paroles et musique Georges Salles
Créé à Rochefort lundi 12 juin 2017
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment très mal …
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus.
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement crédible.
Comment c’est possible on s’aimait si fort
Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre
Elle toujours disponible de cœur et de corps
Oui nous étions amants … depuis si longtemps
Tout seul au matin, dans la triste demeure
Le pain quotidien n’a plus de saveur.
Et quand vient le soir dans le lit trop froid
Plus le moindre espoir d’être toi contre moi.
Pas encore une semaine et déjà l’avocat!
Un divorce ? C’est ton choix et… ma migraine!
Refrain 2
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment mal …très mal
Oh oui que j’ai mal… mal…
À vingt ans peut-être que…,
Mais à nos âges extrêmes,
Bien drôle cette époque
Des libertés souveraines
Des tempes grises !
Le temps n’a plus de prise.
« Plus de jeunesse ? »,
Non surtout: « Plus de vieillesse ! »
Les aînés font la fête, voguent d’îles en îles.
De vraies marionnettes de la mode qui défile.
Refrain 3
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps
Elle partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement crédible.
Partir …Moi aussi, je m’en irai… loin des terres…
Loin des souvenirs où toujours je te vois.
Il me faut oublier et pardonner ce parjure !
Voguer loin, très loin … Une nouvelle aventure ?
Qui sait ? Me restera-t-il assez de force pour hisser la voile
Qui poussera l’esquif et mon cœur meurtri vers une âme loyale ?
Si cela devait arriver, je sais déjà que cela me fera encore plus mal
Quand je t’oublierai vraiment … que tu ne seras plus que néant.
Oui nous étions amants…depuis si longtemps
Souvenir de mon bateau détruit en mer par un cargo en face du Surinam en 2005, le Spirit of Sindbad, VIA 52, Cotre Alu dériveur intégral et puis j'ai connu Charlotte...On s'est marié...enfin, pour un certain temps!
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