Mon indéfectible admiration
pour le genre humain
Mon indéfectible admiration pour le genre humain vient d’en prendre
un coup.
En effet, le documentaire de Patrizia Marani, « Gluten, l’ennemi public ? »*, diffusé sur Arte , hier mardi 13 avril 2021 , non pas à l’égard de la réalisatrice et des scientifiques indépendants qui nous apportent leurs lumières et leurs mises en garde au sujet de la malbouffe industrialisée, - je précise « indépendants », car d’autres experts, nous le savons, sont à la solde de certains groupes financiers). Force est de constater notre impuissance, aussi bien celle de nous, les individus, que celle de nos États, face aux grands lobbies de l’industrialisation alimentaire mondiale. Pas sûr, que ceux-ci, toujours à la recherche de plus de rendements et de profits, voient d’un bon œil ce mois de jeûne du Ramadan qui vient de commencer. Bien que, ceci dit en passant, sans pour cela me sentir soumis à ce culte, le jeûne me semble être le premier bon pas vers une santé meilleure. Un peu de repos pour nos enzymes ne peut leur faire que le plus grand bien. D’ailleurs, dans nos moments de lucidité de consommateurs raisonnables, attentifs à nos dépenses, nous pourrions ainsi réduire quelque peu nos budgets. Imaginons un jour de jeûne par semaine. Au bout de l’année, cela ferait presque deux mois d’économie. Mais, je le répète, cela ne ferait pas l’affaire des grands distributeurs mondiaux. Dès qu’il y a un arrêt... Encore cette brusque alerte des Médias affolées par ce navire-tanker qui bloquât (que quelques jours) le Canal de Suez. Affolement du rendement, du Capital (devenu incontrôlable selon Karl Marx en cas d’excès). L’évidence du glyphosate mortifère ne touche pas encore la conscience des grands cartels producteurs... et l’UE, par ses règles de gouvernance (vote à l’unanimité), reste quasi paralysée et ne peut donc prendre les mesures qui s’imposent aux yeux de la majorité des Européens. Sommes-nous des spectateurs amorphes, endormis asphyxiés? Qu’attendons-nous ? Cette Pandémie, tel un Léviathan courroucé, viendrait-elle enfin nous ramener à plus de dignité, puisqu’en ce moment nous méditons derrière nos masques, hésitant à quels vaccins nous soumettre, une fois de plus...ou non !
*Mais à propos du gluten, ce qui n'a pas été relevé dans ce reportage, il y a trente ans, j'avais lu que des chercheurs constatèrent la tendance à la schizophrénie de souris de laboratoires nourries uniquement aux grains de blé...et, dès lors ma propre conclusion: qu'est-ce que nous mangeons le plus, nous les anciens chasseurs-cueilleurs, n'est-ce pas notre fameux pain quotidien, (avec ou sans gluten - d'ailleurs, sorry chers distributeurs, je m'en fous) ? Pardonnez-moi ce comportement un peu belliqueux . Normal vu ma consommation de brioches du matin!
PR. extrait de mon blog du 28 novembre 2020:
À quand le vaccin de l’immortalité ? (Qui servirait à quoi sur cette planète à l'agonie!)
Oui, tout cela devient ridicule à mourir; mais, cette fois, pas d'ennui. Les dommages collatéraux ? C'est face aux contraintes promulguées provoquant cette pression infernale, où, inexorablement, nos cerveaux fragiles finissent par ne plus pouvoir nous maîtriser; déjà en constatant ces bévues policières où se déchaîne la haine de l'autre. Je plains autant ces quelques recrues du service de l'Ordre que ce Michel tabassé presqu'à mort...Et de quel ordre? Celui de la délectation d'un pouvoir qui profite de cette aubaine qu'est la santé publique? L'exaltation d'un système coercitif ? Ne nous trompons pas: l'Homme est bien un loup pour l'Homme - et cela fut dit bien avant Hobbes ou Voltaire, du temps des Romains! Mais d'après moi, c'est une insulte à l'égard des animaux que l'on considère comme des êtres inférieurs. L'évolution sociale humaine est totalement perverse....Pour moi, ce qui est sûr, on est de moins en moins heureux sur Terre!
À propos de nous, simples mortels, cette chanson écrite déjà aussi trente-trois ans auparavant avec, un peu plus tard, la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)
.
L’Essénienne ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire