Aux chers visiteurs de
ce jour, l’Intelligence Artificielle – I.A
– où la grande question qu’elle sera
peut-être celle qui règnera sur la destinée des Sapiens ; et comment définir sa consistance exactement,
d’en établir un classement ? Le fameux cerveau d’Einstein n’était pas plus
gros, au contraire, pour qu’enfin la communauté scientifique
finisse par admettre que l’intelligence est cette faculté de la rapidité de la
transmission d’informations par les neurones avant tout. On sait aussi aujourd’hui, ce cerveau, qu’il n’est pas seul à régner pour cette noble fonction de l’esprit, notre système digestif y a sa part de
travail, - aussi on a tout intérêt à la prudence pour le choix de nos aliments - . Notre
planète, ce gigantesque être
vivant, comme l’énonçait Léonard de Vinci est parsemée de ces petits
neurones que nous sommes, ce qui me convainc
que transmettre toutes nos pensées entre
nous les humains, ne pourra qu’être bénéfique à sa survie. Oui, merci Internet.
Oui, de cette réflexion, je n’hésite pas à transmettre mes propres
histoires familiales comme cette lettre à ma sœur pour un léger différend. Point bar comme vient de m’écrire un de mes
frères.
Ah quand j’étais riche, lalalalalalala
- plutôt que :
Ah si j’étais riche, de cette chanson juive.
Lorsqu’on se réfère à un parti lié
On perd
quelques frères faut-il les tuer ?
Souvent avec
grâce on reconnaît l’erreur
On sort de l’impasse en écoutant son cœur
Mais quand on
est tenace n’osant perdre la face
Relations de
grimaces : bonjour les angoisses !
(extrait de
ma chanson « La Valse des Missiles » dans ce blog au 12 avril 2018)
Ma vraie richesse !
N’est- il pas ? Comme le disait si souvent, Charlotte, mon ex-épouse.
Petite sœur,
Partant de cette conversation téléphonique dimanche, hier avec toi, concernant cette brutale réaction de
Jean-Marie, qui a décidé de m’effacer avec mépris parce que je voulais savoir
pour quelle raison il stoppa ces 50 €, qu’il m’avait versés deux mois, suite à cet élan du cœur que fut la
proposition de Polo (et non la mienne) : qu’une participation collégiale minime de mes
frères cadets, m’aurait apporté une petite amélioration dans mon confort que
ma faible pension ne me permet pas - un Polo qui m’a surpris et que finalement je
connaissais assez mal, moi qui le prenais
pour un radin - , que d’après toi , je n’avais pas à rappeler ce passé à
Jean-Marie de mes différentes aides à tous mes frères, sous le prétexte qu’à l’époque j’en avais les
moyens. C’est tout juste s’il n’y avait
pas un peu de reproche de ta part. J’aurais donc été à vos yeux un être arrogant
étalant sa richesse par ces différentes participations à votre bien-être. Le grand frère arriviste qui se pavane dans
sa Ferrari ou sa Rolls, démontrant sa
supériorité et délivre ses oboles dans une parfaite insouciance qui ne pouvaient
en rien faire souffrir son patrimoine. C’est
bien ça dont il s’agit Claudine ? Si c’est comme ça que vous m’avez jugé, que toute ma réussite n’avait fait qu’à me
trouver face à la jalousie fraternelle,
je le regrette amèrement. Par ailleurs,
j’avais espéré en m’appauvrissant,
ayant choisi cette nouvelle voie,
celle d’un troubadour libéré de toutes les contraintes financières – oh non,
pas par lâcheté de celui qui veut fuir les
soucis, mais par vocation bien réelle !
– Oui, j’avais cru pouvoir être plus près de vous. Hélas !,
ce fut exactement le contraire.
Mes petits frères et leur descendance se mirent, non pas à me mépriser plus encore, non, bien pire: avoir pitié de moi... et ça, je ne puis le supporter. Eh oui!, sans doute encore un peu trop d'orgueil. J'ai encore du chemin à parcourir.
Je t’embrasse
Le Doyen, hélas !
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