lundi 28 mai 2018


Aux chers visiteurs de ce jour,  l’Intelligence Artificielle – I.A – où la grande question qu’elle sera peut-être celle qui règnera sur la destinée des Sapiens ;  et comment définir sa consistance exactement,  d’en établir un classement ?  Le fameux cerveau d’Einstein n’était pas plus gros,  au contraire,  pour qu’enfin la communauté scientifique finisse par admettre que l’intelligence est cette faculté de la rapidité de la transmission d’informations par les neurones  avant tout. On sait aussi aujourd’hui,  ce cerveau,  qu’il n’est pas  seul à régner pour cette noble fonction de l’esprit,  notre système digestif y a sa part de travail, -  aussi on a tout intérêt à la prudence pour le  choix de nos aliments - .     Notre planète,  ce gigantesque être vivant,  comme l’énonçait  Léonard de Vinci est parsemée de ces petits neurones que nous sommes,  ce qui me convainc  que transmettre toutes nos pensées entre nous les humains, ne pourra qu’être bénéfique à sa survie.  Oui,   merci  Internet.  Oui,  de cette réflexion,  je n’hésite pas à transmettre mes propres histoires familiales comme cette lettre à ma sœur pour un léger différend.  Point bar comme vient de m’écrire un de mes frères.


Ah quand j’étais riche, lalalalalalala
- plutôt que :
Ah si j’étais riche,   de cette chanson juive.

Lorsqu’on se réfère   à un parti lié
  On perd quelques frères faut-il les tuer ?
  Souvent avec grâce  on reconnaît l’erreur
On sort de l’impasse    en écoutant son cœur 
 Mais quand on est tenace n’osant perdre la face
  Relations de grimaces :   bonjour les angoisses !

(extrait de ma chanson « La Valse des Missiles » dans ce blog au 12 avril 2018)

Ma vraie richesse !
 N’est- il pas ?  Comme le disait si souvent,  Charlotte,  mon ex-épouse.

Petite sœur,

Partant de cette conversation téléphonique dimanche,  hier avec toi,  concernant cette brutale réaction de Jean-Marie, qui a décidé de m’effacer avec mépris parce que je voulais savoir pour quelle raison il stoppa ces 50 €, qu’il m’avait versés deux mois,  suite à cet élan du cœur que fut   la proposition de Polo (et non la mienne) :   qu’une participation collégiale minime de mes frères cadets,  m’aurait apporté  une petite amélioration dans mon confort que ma faible pension ne me permet pas -    un Polo qui m’a surpris et que finalement je connaissais assez mal,  moi qui le prenais pour un radin - ,   que d’après toi ,  je n’avais pas à rappeler ce passé à Jean-Marie de mes différentes aides à tous mes frères,  sous le prétexte qu’à l’époque j’en avais les moyens.  C’est tout juste s’il n’y avait pas un peu de reproche de ta part.   J’aurais donc été à vos yeux un être arrogant étalant sa richesse par ces différentes participations  à votre bien-être.   Le grand frère arriviste qui se pavane dans sa Ferrari ou sa Rolls,  démontrant sa supériorité et délivre ses oboles dans une parfaite insouciance qui ne pouvaient en rien faire souffrir son patrimoine.  C’est bien ça dont il s’agit Claudine ?   Si c’est comme ça que vous m’avez jugé,  que toute ma réussite n’avait fait qu’à me trouver face à la jalousie fraternelle,  je le regrette amèrement.   Par ailleurs,  j’avais espéré en m’appauvrissant,  ayant choisi cette nouvelle voie,  celle d’un troubadour libéré de toutes les contraintes financières – oh non,  pas par lâcheté de celui qui veut fuir les soucis,  mais par vocation bien réelle ! – Oui, j’avais cru pouvoir être plus près de vous.  Hélas !,  ce fut exactement le contraire.  Mes petits frères et leur descendance  se mirent,  non pas à me  mépriser plus encore,  non,  bien pire:  avoir pitié de moi...  et ça,  je ne puis le supporter.  Eh oui!,  sans doute encore un peu trop d'orgueil.  J'ai encore du chemin à parcourir. 
Je t’embrasse
Le Doyen,  hélas !




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