Et moi, qui n'est que moi, constate qu'il n'y a pas que les humains qui ont perdu la boule. Et je dis en rime :
Avis aux conducteurs de Porsche
La fin du monde est proche
Bien sûr, mon côté
terre-à-terre mérite vos critiques
Mes chansons auraient-elles un caractère politique ?
Possible ! Ah !,
si j’avais l’art de me déguiser
en clown
De la dérision face aux malheurs pour contrer
les cyclones !
Mais les places sont prises par ces envoyés des
Cieux
Oui, ces artistes qui manient la dérision pour le bien
du public,
Un peu du contraire pour créer
le contraste. N’est-ce pas mieux ?*
*Non, ce n'est pas spécialement mieux, mais ça rime!
*Non, ce n'est pas spécialement mieux, mais ça rime!
Mayday, Mayday
…
Refrain :
Mayday,
Mayday ! Grande Terre Malade
À
quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt en chœur cette ballade,
Ah !,
ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Les
océans se fâchent, la banquise se
relâche !
Des
villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau
la boue le vent, il manque encore le
feu ;
Tapis
dans le tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday, Mayday
…
Un enjeu de taille : les déchets nucléaires !
Certains
scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part je préfère le fond des cratères ;
La
lave c’est pratique, ça lave aussi
docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans des usines
de tristes combines
Pour
vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout
pour les abeilles, devenues inutiles.
Les champs de pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore
s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En
mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le
temps de cette chanson près d’une cinquantaine
En
plus des pollueurs règnent les affameurs !
Mayday, Mayday !
Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce
qu’il faudrait
c’est un bon docteur !
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