En ayant lu « La Physiologie
du Goût » de Brillat-Savarin, une de ses citations avait tout particulièrement
retenu mon attention : « L’avenir des Nations dépend de la façon
dont ses peuples se nourrissent ».
Hélas, en ces derniers jours où l’humanité dans sa majorité par sa malnutrition,
est aussi fragilisée confrontée à ce nouveau virus, les divergences intellectuelles
s’accroissent tellement que s’y mélangent par la suite les actions adaptées ou
non à la sauvegarde du Vivant sur la planète... À quand la Résultante de ces différentes
forces d’opinions qui, telle un grand phare, nous éclairera la route positive
pour nous conduire vers des devenirs meilleurs ? Peut-être au fond qu’ils en manquent encore quelques-unes
dont la mienne ! Aussi, - et n’hésitez
pas à contredire ma vision de « comment je vois l’avenir du monde »
que comme je ne suis pas Einstein, accablé après Hiroshima et Nagasaki en 1945,
qui eut ce soubresaut littéraire « Comment je vois le monde »,
vous n’aurez pas trop de scrupules à rire (ce qui est bon pour la santé) de mes
illuminations, - oui aussi, toujours au
service de cette plume que me démange et, depuis peu, a remplacé définitivement
ma guitare, n’ayant plus vraiment l’âge à jouer les baladins pour quelques
concerts occasionnels, j’ajouterais à cette vision de Brillat-Savarin : «
l’avenir des nations – et j’irais plus loin encore – de leur faune (dont
nous Sapiens) et de leur flore dépendra, probablement la façon de ses peuples
de leur faculté à éliminer leurs déjections, déchets de toute sorte, plastiques, sanitaires
et radioactifs, etc...Et depuis peu, ceux
aussi sur la trajectoire des satellites.
Satellites, satellites ??? Ah oui, sur une œuvre de Jean-Marie Dorval
qui deviendra un de mes grands amis (l’amitié, c’est surtout une question de
complicité), pianiste / compositeur de grand talent qui enregistrait au
même studio que le mien, à savoir, Studio D.E.S à Bruxelles, près de la Place
de Brouckère, une symphonie intitulée « Panique dans la ville » qu’il
dédiait au peintre surréaliste Paul Delvaux qui venait de nous quitter en 1994
». Cette musique orchestrale me faisait
penser à Beethoven. Tout de suite, pour une
de mes chansons « La Ville » j’y voyais mes mots s’y intercaler. Le Maestro accepta, vu mon enthousiasme. Il
m’aidera plus tard, aux arrangements d’une bonne dizaine de mes chansons. La K7 audio qu’il m’avait remise alors pour
mes paroles de « la Ville », curieusement ne voulurent jamais
s’accoupler aux notes de Jean-Marie Dorval.
Durant une année cet enregistrement resta au fond d’un tiroir, l’oubliant
presque, jusqu’au jour où Jacques Chirac est face aux télévisions du Monde
entier pour répondre aux journalistes, suite à sa victoire aux élections
présidentielles en mai 1995. Stupeur, il déclare que la France allait reprendre
ses essais nucléaires dans le Pacifique à « Mururoa » (déformation
voulue du nom d’origine « Moruroa », vous éviter les confusions)!
Par magie, dans un état quasi inconscient,
la K7 se retrouva dans mon walkman audio et, en moins d’une heure, cette partie symphonique pris l’allure d’un véritable oratorio qui s’adressait bien sûr à Monsieur le
Président de France. Nous y reviendrons, mais ici mon propos n’est pas ce cri
adressé à la France, mais sur cette même musique, dont j’avais finalement
racheté les droits, surtout suite à l’arrêt
définitif le 27 janvier 1996 du dernier essai atomique à Mururoa, (je précise que cet album « Mururoa »
avait été boycotté en France, bien que le premier Ministre Lionel Jospin me remerciât pour ce disque
déposé à Matignon -même la Culture de ce pays n'aime pas trop qu'on critique son nucléaire ) , j’incluais un autre texte : « Les Pyramides »
pour enfuir tous les déchets radioactifs en bâtissant de nouvelles pyramides
dans les déserts arides. Ce Sahara
occidental me semble un bon endroit pour ce projet qui nécessiterait des
milliers d’emplois dans cette contrée pas vraiment autonome. Delà pourquoi, cette réflexion de cette vague
migratoire de jeunes Africains à Ceuta, ce Brahim Ghali, leader du mouvement
indépendantiste du Front Polisario, du Maroc et de la France partenaires pour
le phosphate bien sûr, mais qui pourraient diplomatiquement en accord avec l’Espagne
adopter une politique commune et se lancer dans cette œuvre colossale de créer
des pyramides et y stocker les déchets radioactifs en surabondance vu l’activité
des Centrales atomiques.
À l'attention de Mr. Bernard Doroszczuk, président de l'A S N (Autorité de sûreté nucléaire)
Pour rappel de mon blog
Hier, par Arte, aux 28 minutes animés par Élisabeth Quin et ses chroniqueurs , concernant la visite de frère président Emmanuel Macron en Tunisie, le débat avec le Professeur Philippe Chalmin, économiste, m'a directement fait penser à une idée folle qui depuis des années me tient à cœur quand j'appris que l’Hexagone est le premier partenaire commercial du pays d'Hannibal et ses éléphants. Et savoir que les Tunisiens n’attendent pas spécialement des aides financières, mais des investisseurs qui pourraient donner de l’occupation aux jeunes générations. Il serait bien d'aller frapper à la porte de chez Apple qui vient de réaliser vingt milliards de dollars de bénéfice en un trimestre pour leur proposer de financer l'édification de pyramides qui serviraient à stocker tous les déchets radioactifs produits par les nombreuses centrales nucléaires françaises qui doivent être bien inquiètes de voir la Seine qui déborde. L’eau et le nucléaire, pas très bon cette association. Alors qu’il y a des pays où il ne pleut pas.
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