mercredi 27 janvier 2021

 Pas mal cette réflexion que  Marc Lévy rapporte à la 257ième page de son dernier roman "C'est arrivé la nuit" :

…/…Le hasard,  c'est la forme que prend Dieu pour passer incognito; 

lorsqu'Il leur sourit, les athées appellent cela de la chance. 

Est-ce qu'on se lie aux gens par hasard, ou parce que in fine  ils nous apportent quelque chose?.../…

Et, c'est aussi par hasard qu'il m'arrive d'écrire une chanson, comme par exemple :


Silhouette   :



Silhouette, silhouette l’amour survient dès l’instant
Qu’une silhouette te met en fête quand tu t’aperçois qu’un aimant
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est quelque chose
Qu’il faut laisser agir en soi
Comme une pause

Silhouette, silhouette un moment de flou relâchement
L’âme tranquille qui cache l’éveil dirige tes pas vers ta belle ;
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est ce moment-là, sans que tu le veuilles
Il brûle en toi comme un soleil

Silhouette, silhouette réponds à ton cœur tout en fête
N’attends pas, fais le premier pas ; elle te sourira. C’est comme ça
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

Ne pas penser ; va spontanément
N’freine pas l’élan au droit d’aimer


Silhouette, silhouette, même si elle s’en va n’t’en fais pas
D’autres silhouettes, silhouettes passeront bien souvent près de toi
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Jusqu’à ce que la tienne te vienne par le vent
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Belle silhouette

( La rencontre avec une certaine Laurence, dans un parc  à  Bruxelles par une matinée ensoleillée de l'été 1992),   

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