Avec
le temps on n’aime plus, chantait le poète
Sûr qu’avec le temps, il avait vachement
raison Léo Ferré,
Plus il passe, ce fameux temps, les leçons du passé n’ont
toujours pas suffi. Serait-ce intrinsèquement lié aux lois de l’Évolution ?
Et qu’il serait temps - oui encore lui !
- de définir autrement les Homo sapiens sapiens
(adjectif latin signifiant « intelligent, sage, raisonnable, prudent » par ... non ma plume m’interdit de coucher
sur la Toile ce qui me vient à l’esprit pour définir mes contemporains dont la
première syllabe pourrait aisément se substituer à sapiens.
Pardons
mes frères de nous culpabiliser encore et encore une fois de plus. N’empêche, petite remarque comme ça dit en
passant, la méthode du bon docteur Coué et de nos Savants linguistes – et voilà
l’erreur, il n’y avait pas que le latin à l’époque « tous les hommes ne
sont pas égaux face au Savoir » ; delà, comme l’avoir déjà écrit, chanté, semé à
tout vent sur les réseaux Internet ma Valse des missiles (Un clic sur ce lien pour écouter la chanson)
, ce qui est plus probant, ce
dernier couplet de cette chanson :
.../... Orgueil, fric et panique
Sous des airs démocratiques,
Mais sont les trois tyrans
Qui perturbent notre temps .../...
Et ici, je pense que nous
sommes tous d’accords, c’est bien la panique qui a aveuglé ces jeunes soldats
du Tsahal qui ont abattu leurs propres compatriotes. Perversité redoutable de leurs adversaires?
Unstoppable la chanson de Sia, reprise
par le trio du corps médical, « Les Soignantes » (Abigaël, Aïcha et
Amandine...Comme une Porche lancée à grande vitesse, sans frein) ...Le
cours des événements, quoi !
Oui avec le temps, on n’aime
plus... les hommes.
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Chant et guitare : Georges Salles.
Contrebasse : Françoise Massot.
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