Je lis ce matin un extrait, grâce à Philippe Dion,
professeur de philosophie, cette conclusion d'une auteure scientifique à propos
du mensonge des élites et des politiciens.
Moi personnellement, mes propres réflexions sont que
l'Homme est une erreur de la Nature et je ne vois pas de solution.
Déjà Robert Badinter, en fin de sa vie, avait répondu à Augustin
Trapenard, animateur de « La Grande Librairie »
:
« L’Homme ? Une bête qui tue !
Mais
cette éminente dame du savoir, a-t-elle encore un peu d’espoir ? Quand elle écrit :
On doit faire communauté. Parce
qu’aujourd’hui on voit que l’individualisme est l’un des pires aspects du
libéralisme économique hyper-financiarisé et dérégulé. On voit à quel point le
libéralisme est une menace pour la société et pour la planète.
Claire Nouvian.
L’Écologie du XXIe siècle.
Le Seuil, 2019.
Un peu surpris quand même, au lendemain de
la Fête de la Musique, pourquoi cher Professeur ce texte de Claire Nouvian ? Ah oui, je sais (ou ne sait pas, après tout)
... Une question très socratique, au
fond ! Après l’euphorie
inconsciente, le retour à.… la recherche du Graal, de la Vérité ?
À ce bât qui blesse, l’Individualisme, oui, au fond...Mais de la marmite de Pandore...Ô
Espoir, pour te servir, cette chanson ...
Ta gueule Georges ! Tu ne vois pas la dernière Info ? La
Bombe libérale a de nouveau frappé !
C’est sans espoir, mais je continue à
chanter, c’est élément Terre, chers
bêtes qui tuent.
L’Essénienne ?
Une voie, un chemin très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ? Oui, par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps. En bref, sortir du nationalisme...dans un premier temps: être Européens...ensuite , peut-être Terriens...si notre Planète tiendra le coup encore.
Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants
Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire », il doit être pur
Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi
J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents
Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant
J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant
Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça
Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion
Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille
Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement
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