Les larmes de la Terre se mêlent à celles des hommes
Oui, fin de l’automne en Indonésie, maintenant au Maroc à Safi, ce dimanche dernier...Ces intempéries, ces pluies diluviennes!
Larmes humaines,
ô larmes des hommes,
Vous coulez au matin et au soir de la vie,
Vous coulez inconnues, vous coulez innombrables,
Vous coulez invisibles et intarissables,
Vous coulez comme coulent les ruisseaux de pluie,
Dans la profonde nuit, à la fin de l'automne.
Fiodor Tiouttchev
Un des plus grands poètes russes (1803-1873)
Je ne la chanterai jamais assez:
Mayday, mayday Grande terre malade ».
Cliquez ici pour écouter cette chanson
Guitare solo, chœur et prise du son : Philippe Capon
Clavier : Danny Vandenbosche
Contrebasse : Françoise Massot
Mayday, Mayday …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons plutôt en chœur cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !
Les océans se fâchent, la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.
Mayday, Mayday …
Un enjeu de taille : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère, le fond des cratères ;
La lave c’est pratique, ça lave aussi docteur
Mayday, Mayday …
Il germe dans des usines de tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles, devenues inutiles.
Les champs de pétrole, pas ce dont elles raffolent !
Mayday, Mayday …
Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus d’une cinquantaine ;
En plus des pollueurs règnent des affameurs !
Mayday, Mayday ! Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !
Oui!, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire