lundi 3 décembre 2018

Ah, en France!  

Quand on se réfère /  À un parti lié /  On perd quelques frères
Faut-il les tuer ? /  Souvent avec grâce/  On reconnaît l’erreur
On sort de l’impasse /   En écoutant son cœur  / Mais quand on est tenace
N’osant perdre la face /  Relations de grimaces /  Bonjour les angoisses



Extrait de  " La Valse des Missiles" (en remontant au 4 avril 2018 sur mon blog: 
"mesparaboles.blogspot.be"


Ah, la France !   Son peuple,  ses révolutions qui se suivent,  mais ne se ressemblent pas.  Auparavant on coupait les têtes,  maintenant on brûle des voitures.  Les vieilles digues institutionnelles cèdent face à la fièvre jaune en gilet.  Bien sûr qu’il y a toujours les plus virulents qui cassent… jusqu’à ses symboles les plus profonds,  bafoués par la folie et l’ignorance.  Nous sommes à l’aube du vrai changement.  La  sixième République n’est plus loin. De toutes ces confrontations,  ces débats d’experts,  de journalistes,  philosophes,  politiciens de la majorité ou l’opposition,  diffusés sur les chaînes,  dans le calme ou l’émotion… des nouveaux visages apparaissent,  tels de preux chevaliers. Aussi des artistes,  des acteurs célèbres.  Un Franck Dubosc,  les larmes à peine dissimulées, soudain apparaissant sur la Toile pour s’adresser à cette France profonde en colère et qui souffre, des paroles peut-être les plus adaptées pour calmer les esprits : « Je vous aime ! »   
Qu’attends-Tu,  Toi Frère Macron pour le dire aussi.  Car j’en ai la conviction :
Tu les aimes aussi,  ces terribles Français.

Et je réponds à l’acteur-humoriste et réalisateur de « Tout le monde debout »,  film finalement très suggestif et,  pourquoi pas provocateur,  tant qu’on y est ?  -  Cher Franck Dubosc,  hélas,  on ne résoudra pas les problèmes,  avec les moyens qui les ont engendrés  (Selon A.  Einstein). 





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire