jeudi 6 octobre 2022

 



Horeca, j'ai trouvé ! 

Lettre à un ami 

Et ici je ne m'adresse qu'à Toi, contrairement à cette habitude d’expédier à tout vent la moindre pensée et où j'ai la faiblesse de croire qu'elle soit porteuse d'une graine de positivité, et que, par la majorité des non-réponses, dois-je pour cela en conclure que ces silences soient systématiquement des marques d'indifférence et qu'il ne sera donc jamais possible d'ouvrir le débat ?   Là, c'est vrai, c'est mon acrasie qui me pousse à cette négativité.  Heureux, ce soleil du matin qui me fait voir les choses différemment !    

Personne ne réagit à ce projet de changer le nom de la Petite rue des Bouchers par la rue des Végétariens.  Mon souhait est de faire de ce lieu un porte étendard - aubaine de se situer au cœur de la capitale de l'UE - d'orienter notre façon de nous nourrir de manière   à nous ouvrir vers des horizons plus optimistes pour l’avenir du Vivant...Et blablabla !  On n'arrête pas de nous seriner sur ce genre de propos.  Et c'est donc tout-à-fait logique que la Vox Populi préfère s’abstenir à tout commentaire.  De toute façon, on n'accorde rarement à l'autre le pouvoir de parler au nom de l'universel et de retranscrire l'ordre du monde. (Ce que m'explique Michaël Foessel dans son livre "Le temps de la consolation », téléchargé sur mon Ebook).  Idées nouvelles et traditions sont assez souvent en conflit.  Cependant, il faut admettre que cette dernière, la tradition, apporte un certain réconfort.  Aussi je crois avoir trouver - et ce sera d'autant plus fort - que plutôt changer le nom de la Petite rue des Bouchers par la rue des Végétariens, « Ici dans la petite rue des Bouchers, il n'y a que des restaurants végétariens" en tant que label à développer.   On garderait donc l'ancien nom. 

 

Bien à Toi 


By the way :

 

 À propos de nous simples mortels, cette chanson écrite déjà aussi trente-trois ans auparavant, avec, un peu plus tard, la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)


L’Essénienne ? 






Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui,  par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,  vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref,  sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite ,  peut-être Terriens...si  notre  Planète tiendra  le coup encore.  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant

J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourras aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants

Vaut mieux mourir sainement

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