samedi 1 octobre 2022

 

Cher...STP, apporte-moi une bonne nouvelle.  Cette addiction, tu peux - tu en as le pouvoir de... –

 

Tiens comme promis (en retombant sur un de mes anciens textes de "mesparaboles.blogspot.be" ... (et te l'envoie en son intégralité), cette chanson Gosting dont je t'avais vaguement parlé hier au Lac de Genval, en observant un couple, une femme et un homme se tenant par la main, plutôt assez âgés ; qui marchaient comme des jeunes amoureux.  Vers où, vers quelle destinée commune, quel projet les animait à ce point de les voir si heureux ? - Nous ne le saurons pas, mais eux sûrement ; l’avenir se dessinait dans leur regard !  

 

 « Il n'y a plus de vieillesse" t'avais-je exclamé. 

 

 Bonne écoute et porte toi bien

 

 Métamorphose

Ce mercredi 29 septembre 2021, grand tournant ...Adieu cette morosité que je traîne depuis le 23 avril 2017.  Il aura donc fallu près de cinq ans pour que ma chanson Gosting où je crie ma douleur aux rythmes d’une guitare débridée... mais qu’en final c’est plutôt sur des notes douces que je chante en prière pour retrouver une âme honnête, convaincu, depuis des décennies, qu’on devient quelqu’un à partir de deux.  Savoir que ce quelqu’un vous attend vous transforme votre psyché complètement...Et aujourd’hui, j’ai eu beau me pincer, ce n’est pas un simple rêve, elle existe.  La soif de revivre me revient d’un coup, comme sous l’effet d’un élixir d’amour ?   

Cette rupture en avril 2017 n’était pas la première, mais cette fois, maman nous ayant quitté depuis 2012, où puis-je aller retrouver un peu de réconfort ? 

(Quoi de plus doux de plus tendre 

Que le cœur d'une maman

Qui donc sait mieux nous comprendre 

Et calmer tous nos tourments ? /...)

"Maman", qu'on entendait sur les ondes radio dans les années cinquante par Georges Guétary, Luis Mariano et Tino Rossi ... que j'interprète également lors d'une fête au Collège Ste Gertrude à Nivelles.  J'avais quatorze ans.  

Tout désemparé, j’avais perdu ma personnalité, ma dignité de ne plus croire en moi...Rien n’était plus vrai que les mots de Christophe André, écrivain et psychiatre et coauteur avec Alexandre Jollien et Matthieu Ricard du livre « À nous la liberté » que je lis en ce moment : .../...personne n’est parfaitement et totalement autonome et indépendant sur le plan affectif.  Ça, ça n’existe pas dans l’espèce humaine : l’humain est un animal social, qui ne peut survivre correctement en solitaire, /...  

 


Un clic sur ce lien pour écouter la chanson

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Ghosting

Paroles et musique Georges Salles  

Créé à Rochefort lundi 12 juin 2017

 

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment très mal …

 

Elle partit comme ça … s’est évanouie !

Plus un seul contact… je n’existais plus.

Pourquoi de tels actes de silence absolu ?  

On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.

Notre serment se fit sur la Sainte Bible

Notre union était parfaitement crédible.   

 

Comment c’est possible on s’aimait si fort

Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre

Elle toujours disponible de cœur et de corps  

Oui nous étions amants … depuis si longtemps

 

Tout seul au matin, dans la triste demeure

Le pain quotidien n’a plus de saveur. 

Et quand vient le soir dans le lit trop froid

Plus le moindre espoir d’être toi contre moi.

Pas encore une semaine et déjà l’avocat !   

Un divorce ?  C’est ton choix et… ma migraine !

 

Refrain 2

Comment c’est possible …/…

…/…depuis si longtemps

 

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment mal …très mal

Oh oui que j’ai mal… mal…

 

À vingt ans peut-être que…,  
 Mais à nos âges extrêmes,

Bien drôle cette époque
 Des libertés souveraines 
 Des tempes grises !  

 Le temps n’a plus de prise

 « Plus de jeunesse ? », 
 Non surtout : « Plus de vieillesse ! »

Les aînés font la fête, voguent d’îles en îles. 

De vraies marionnettes de la mode qui défile.   

 

 

 

Refrain 3

Comment c’est possible …/…

…/…depuis si longtemps

 

 

Elle partit comme ça … s’est évanouie !

Plus un seul contact… je n’existais plus

Pourquoi de tels actes de silence absolu ?  

On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.

Notre serment se fit sur la Sainte Bible

Notre union était parfaitement crédible.  

 

 

Partir …Moi aussi, je m’en irai… loin des terres…

  Loin des souvenirs où toujours je te vois.   

Il me faut oublier et pardonner ce parjure !

Voguer loin, très loin … Une nouvelle aventure ?    

Qui sait ?  Me restera-t-il assez de force pour hisser la voile

Qui poussera l’esquif et mon cœur meurtri vers une âme loyale ?

Si cela devait arriver, je sais déjà que cela me fera encore plus mal  

Quand je t’oublierai vraiment … que tu ne seras plus que néant.

 

 Oui nous étions amants…depuis si longtemps   


Souvenir de mon bateau détruit en mer par un cargo en face du Surinam en 2005, le Spirit of Sindbad, VIA 52, Cotre Alu dériveur intégral et puis j'ai connu Charlotte...On s'est marié...enfin, pour un certain temps !   

 

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