dimanche 10 mai 2020


.../... que
 je nommais Divine dans un précédent courriel,
Merci de votre présence, toi et ta fille Aude, - Aïe, ce lapsus !
Oui, j’avais tapé sur le « i » et lisait « Aide » ; et, comme venue du ciel,
Me vint cette pensée :  nos enfants ?  Le meilleur remède à ce virus !
Quelle délectation ce samedi ensoleillé à la veille de fêter Maman !
Ce tableau, qu’un Van Gogh aurait peint …  Des fleurs vibrantes
Sur l’herbe apprivoisée.   Que de joies… des plus petits aux plus grands !
Nous profitions de ce moment, parlions librement, en toute détente.
Enfin presque, car j’appréhendais cette rencontre en face-à-face,
Suite à toujours mon besoin d’aimer, ne voyant pas cet océan
Qui nous séparait … dans ton cœur, je souhaitais une petite place.
Déjà par mes chansons - et ici   je te remercie de t’être abstenue
De commentaires ; l’élégance d’un silence est mieux qu’une critique -
Et Maëlle est apparue, c’est mise au piano ; nous étions tous émus.
Merci pour cette info de Vincent Lindon …mais n’est-ce pas un peu fanatique
Ce discours, me semble-t-il ?   Enfin je ne suis pas dans le secret des dieux !
Et justement en pensant au divin, cette révélation me tombait des cieux :
Il y a plus de vingt ans, promenant mon chien sur un chemin de campagne.
Je méditais, comme la plupart des humains, sur la question du Bien et du Mal*,
M’adressant au Tout Puissant…Une réponse fulgurante, des paillettes d’or
Couvrirent subitement mon fidèle ami quadrupède, avec ces mots peu banals
Qui se figeront à jamais dans mon esprit et probablement jusqu’à ma mort :

« L’ennemi c’est ma Puissance
L’Amitié ma récompense »

 Sorry !   Que disais-je ? Ah oui, ce malaise de mes égarements épistolaires ?
Agréable surprise de m’être rendu compte de mon erreur. 

Avec toute ma gratitude



*PR, cette chanson qui, suite au Coronavirus en ce moment,  n'est plus vraiment dans le contexte, puisqu'on ne circule plus sur les routes.


Le Mal et le Bien
Héros et terroristes 


Un clic pour écouter cette chanson

..

Sur une Musique de Jean-Marie Dorval qui m'inspira ces mots en 1999:


Le Mal ou le Bien 

C’est une vieille histoire
Le Mal ou le Bien
Fin d'un millénaire
Et toujours ce refrain

Des hommes sur des routes
Qui ne mènent à rien
Parce qu’ils ont des doutes
Est-ce mal ou bien

Combien de ruptures
Complices du Malin
Croyant être pures
Ont fait pire que bien

Est-ce bien ou mal
Question de maintien
Ou réponse fatale
Qui fait mal aux seins

Là-bas pas très loin
Ils quittent leurs biens
Envahis de haine
Alourdit leur peine

Que répondre à ça
Plus en plus de soldats
Défilent dans ce bal
Font-ils bien ou mal

Armée qui fait mal
Armée qui fait bien
On choisit son camp
Ou on fait semblant

Est-ce plus mal encore
Question de faire bien
Toute façon les morts
                                                          Ne nous diront rien 

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