mercredi 12 août 2020

Ce mercredi matin, au saut du lit, surpris, je pense à une ancienne amie, perdue de vue depuis plus de quinze années. Heureusement, j'ai toujours son adresse Mail, et je m'empresse de lui envoyer un courriel pour avoir de ses nouvelles.    Elle répondra à mon mail et  me signale  son numéro de portable.  Pour moi j'y décèle comme une invitation...et  je l'appelle.  Sa voix n'a pas changé,  chaude, sensuelle.  C'est la chose que j'aime le plus chez cette femme, sosie d'Ophélie Winter ...À une autre époque de ma vie, elle fut

la muse de ma chanson "Silhouette". 

Georges Froès g.salles.froes@gmail.com

07:54 (il y a 3 heures)
À Laurence
Oui c'était toi...Quand tu te promenais avec Kenzo, ton petit scottish noir,
  dans ce parc, tous les matins.  Intrigué et charmé pour cette belle inconnue,
  je t'avais glissé un petit mot sur un bout de papier.


C’est peut-être ça l’histoire de « La Belle et la Bête » ! 
Celle d'un vieil homme qui retrouve ses traits de jeunesse  
Du moins dans ses rêves lorsqu'il revoit la divine silhouette
De nouveau prince charmant succombant à la belle prêtresse !



Silhouette, silhouette l’amour survient dès l’instant
Qu’une silhouette te met en fête quand tu t’aperçois qu’un aimant
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est quelque chose
Qu’il faut laisser agir en soi
Comme une pause

Silhouette, silhouette un moment de flou relâchement
L’âme tranquille qui cache l’éveil dirige tes pas vers ta belle ;
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

C’est ce moment-là, sans que tu le veuilles
Il brûle en toi comme un soleil

Silhouette, silhouette réponds à ton cœur tout en fête
N’attends pas, fais le premier pas ; elle te sourira. C’est comme ça
Te rapproche d’elle, la rend éternelle,
Pourtant juste avant
Tu planais dans le vent

Ne pas penser ; va spontanément
N’freine pas l’élan au droit d’aimer


Silhouette, silhouette, même si elle s’en va n’t’en fais pas
D’autres silhouettes, silhouettes passeront bien souvent près de toi
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Jusqu’à ce que la tienne te vienne par le vent
Qui seront plus belles, de plus en plus belles
Belle silhouette



Ainsi une image se fixe en vous et, pour le restant de vos jours,
 elle s'y ancrera définitivement.






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